Sociologie de l`éducation

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Zicola Michaël le 18 septembre 2007 L2 Sciences de l’Éducation
Sociologie de l’éducation
« LES ACTEURS DE LA MACHINE
ECOLE.»
Citation : « L’éducation a pour objet de superposer, à l’être individuel et
social que nous sommes en naissant, un être entièrement nouveau. Elle
doit nous amener à dépasser notre nature initiale : c’est à cette condition
que l’enfant deviendra un homme .»
(Sources : Émile Durkheim, Éducation et sociologie, PUF, Paris, 1989.)
Préambule et contextualisation et problématique
Préambule et contextualisation :
*On parle aujourd’hui de la crise de l’école , de l’école en danger, de ses acteurs mal formés
(les éduqués) ou qui forment mal (les éducateurs , enseignants ou formateurs).
*On cite aussi les méthodes qui seraient inadaptées ainsi que les transmissions de consignes
d’un « monde » scolaire à l’autre dans une crise sociale des connaissances et des
emplois.
*Nous sommes en STAPS et en EPS particulièrement touchés, notre travail d’exploration
microsociologique d’avant thèse s’intitulait « Les professeurs d’EPS : métier en voie de
mutation ou de disparition » . Nous sommes sociologiquement et politiquement à la
croisée du chemin .
Problématique :
« 160 000 jeunes sortent du système éducatif sans diplôme ce qui représente 40% des 1625 ans . » Que faire ?
« 180 000 jeunes en situations de handicap vont rejoindre l’école de la maternelle à
l’université . » Comment faire pour leur intégration -inclusion ?
(sources:Constats du ministère et des instituts de sondages pour l’année 2007.)
 Il faut monter que la situation est certes difficile mais que des innovations sont
nécessaires et que de nombreux acteurs résolvent dans leur quotidien ces problèmes , il
faut aller voir !
INTRODUCTION SOCIOLOGIQUE
(Définition -Épistémologie et paradigme)
Définitions
La sociologie en terme généraux est défini comme la science qui a pour vocation de décrire
le plus fidèlement possible la société et son fonctionnement par le jeu de ses acteurs .
« L'ambition théorique de la sociologie de la connaissance se trouve ainsi limitée, en
même temps que s'ouvrent devant elle de vastes et nombreux terrains d'enquêtes
empiriques. Karl Mannheim émet l’idée que les points de vue que les groupes ont sur le
monde réel s’expliquent en fonction de leur position sociale .
La sociologie de l'éducation, plus particulièrement celle de l'enseignement, s'efforce de
comprendre les fonctions et les effets de l'école et de l'université dans des structures
sociales données. Des événements sociaux et politiques attirent d'ailleurs de plus en plus
l'attention sur cette question des rapports réciproques, des adaptations et inadéquations
entre les institutions scolaires et les fonctions de la société globale.
C'est du reste l'un des domaines où la réflexion sociologique étayée par des enquêtes
débouche le plus directement sur des applications pratiques. »
(Sources : Jean Cazeneuve, sociologue, Université Paris Sorbonne, Encyclopédiae
Universalis , 1999, version 5 numérique et Association Internationale des
Sociologues de Langue Française .)
Épistémologie et paradigme :
*La sociologie de l’éducation de langue française a mis en lumière l’importante
diversification de ses objets et des questions auxquelles elle se propose de
répondre, mais il a surtout insisté sur le tournant d’ordre paradigmatique qu’elle
aurait pris à l’aube des années quatre-vingt.
*De fait, rompant avec les théories de La Reproduction, de nombreux travaux
s’efforcent depuis lors de réintroduire l’approche ethnographique en sociologie
de l’éducation et d’ouvrir ces quasi-« boîtes noires » qu’étaient jusqu’alors la
classe, l’établissement ou la « communauté » à l’aide des scalpels
méthodologiques et paradigmatiques utilisés dans les travaux anglo-saxons
inspirés par l’interactionnisme symbolique, la phénoménologie sociale ou
l’ethnométhodologie.
*Il ne s’agit plus alors de débusquer les modes selon lesquels se réalise une
inégalité jouée d’avance et de dévoiler la méconnaissance ou les intérêts cachés
des acteurs, mais d’étudier « l’inégalité en train de se faire », « en prenant au
sérieux la rationalité des acteurs » et en tentant « de rendre compte de la manière
dont, en situation, ils construisent le social » .
*Suivant, avec retard, l’exemple de ses homologues anglophones, la sociologie de
l’éducation de langue française, rompant avec les paradigmes objectivistes, serait
devenue « constructiviste » et « compréhensive ».
(source : Normes et normativité en sociologie de l’éducation, Jean-Yves
Rochex, colloque AISLF 1994.)
INTRODUCTION ETHNOGRAPHIQUE
« L’usine , la machine , le mammouth École !»
A Les 5 grands principes
*Rappels du sens et des principes citoyens
*Mettre en parallèle les instructions officielles des disciplines
B Organisation de l’enseignement
*Les chiffres sont trompeurs une analyse fine s’impose ainsi qu’une comparaison
raisonnée entre les systèmes et les institutions.
*Le politique contraint l’utopie et les actes humains essentiels.
C Les acteurs : éduqués - éducateurs et les autres
*Les porosités et les passerelles entre les actes et les régulations des acteurs : que
faire des savoirs éclatés ? La méthode transdisciplinaire en acte collectif...
D La machine école : chiffres et dépenses
*L’argent, les moyens exponentiels, les idées non abouties face au « comment faire
confiance aux acteurs ? ». Le plan Langevin - Wallon en 1947 !
A Les 5 grands principes
Le système d'enseignement français est fondé sur de grands principes, certains inspirés de la
Révolution de 1789, de lois votées entre 1881 et 1889 et sous les IVe et Ve Républiques ainsi que
de la Constitution du 4 octobre 1958 : " l'organisation de l'enseignement public obligatoire gratuit
et laïc à tous les degrés est un devoir de l'État ". 5 principes : La liberté de l'enseignement - La
gratuité-La neutralité-La laïcité - L'obligation scolaire.
1 La liberté de l'enseignement
En France, le service public d'enseignement coexiste avec des établissements privés, soumis au
contrôle de l'État et pouvant bénéficier de son aide - en contrepartie d'un contrat signé avec l'État.
La liberté d'organiser et de dispenser un enseignement est une manifestation de la liberté
d'expression : elle est définie par la " loi Debré " n°59-1557 du 31 décembre 1959 sur la liberté
de l'enseignement et les rapports avec l'enseignement privé. Cependant l'État est le seul à délivrer
diplômes et grades universitaires : les diplômes délivrés par les écoles privées n'ont pas de valeur
officielle sauf s'ils sont reconnus par l'État. La réglementation des examens se fait à l'échelle
nationale.
2 La gratuité
Le principe de gratuité de l'enseignement primaire public a été posé dès la fin du XIXe siècle par
la loi du 16 juin 1881. La gratuité a été étendue à l'enseignement secondaire par la loi du 31 mai
1933. L'enseignement dispensé dans les écoles et les établissements publics est gratuit. Les
manuels scolaires sont gratuits jusqu'à la classe de troisième, ainsi que les matériels et fournitures
à usage collectif. Dans les lycées, les manuels sont le plus souvent à la charge des familles.
3 La neutralité
L'enseignement public est neutre : la neutralité philosophique et politique s'impose aux
enseignants et aux élèves.
4 La laïcité
Le principe de laïcité en matière religieuse est au fondement du système éducatif
français depuis la fin du XIXe siècle. L'enseignement public est laïque depuis les lois
du 28 mars 1882 et du 30 octobre 1886. Elles instaurent l'obligation d'instruction et la
laïcité de des personnels et des programmes. L'importance de la laïcité dans les
valeurs scolaires républicaines a été accentuée par la loi du 9 décembre 1905
instaurant la laïcité de l'Etat. Le respect des croyances des élèves et de leurs parents
implique : l'absence d'instruction religieuse dans les programmes, la laïcité du
personnel, l'interdiction du prosélytisme.
La liberté religieuse a conduit à instituer une journée libre par semaine laissant du
temps pour l'enseignement religieux en dehors de l'école.
5 L'obligation scolaire
Depuis la loi Jules Ferry du 28 mars 1882, l'instruction est obligatoire. Cette
obligation s'applique à partir de 6 ans, pour tous les enfants français ou étrangers
résidant en France. À l'origine, la scolarisation était obligatoire jusqu'à l'âge de 13
ans, puis 14 ans à partir de la loi du 9 août 1936. Depuis l'ordonnance n°59-45 du 6
janvier 1959, elle a été prolongée jusqu'à l'âge de 16 ans révolus.
La famille a deux possibilités : assurer elle-même l'instruction des enfants (avec
déclaration préalable) ou les scolariser dans un établissement scolaire public ou
privé.
B Organisation de l’enseignement
Enseignement
supérieur
Enseignement
secondaire
Enseignement
primaire
Universités 82 Universités
STS-IUT (section de
techniciens
supérieurs –
institut universitaire
de technologie)
(enseignement technique)
Premier cycle, 11 à 15 ans
Deuxième cycle, 15 à 18
ans
Lycée
général
technologique
Collège
unique
:
proclamée !
Enseignement
préélémentaire
(maternelles), 2 à 6 ans
Enseignement élémentaire
(écoles primaires), 6 à 11
ans
CPGE (Classe préparatoire
aux grandes écoles) grandes écoles
Polytechniques, les ponts,
ENSA, etc.
et
fin
Le cycle noyau grande
section maternelle, CP et
CE1: les apprentissages
fondamentaux
La maîtrise corporelle
est actée (sept 2007)
Lycée professionnel
I
I
I
C Les acteurs : éduqués - éducateurs et les autres personnels
Les élèves
nombre d'élèves dans le premier et second degrés
12 111 900
nombre d'écoliers
6 626 500
nombre de collégiens
3 248 500
nombre de lycéens
1 512 900
nombre de lycéens professionnels
724 000
Détail du nombre d'élèves dans le premier et second degrés
public
10 086 700
privé
2 025 200
Les étudiants
nombre d'étudiants
2 275 000
dont universités (IUT compris)
1 421 700
dont classes préparatoire aux grandes écoles
108 100
dont sections de techniciens supérieurs et assimilées
305 200
Les apprentis
nombre d'apprentis (y compris C.P.A.)
401 500
Autres (second degré agriculture et spécial santé, etc.)
231 200
Les personnels enseignant et non enseignants
Écoles, collèges, lycées
1 143 555
Enseignants écoles, collèges et lycées
884 021
- dont public
739 112
non enseignants
259 534
146 471
Enseignants supérieur public
nombre d'enseignants
89 300
non enseignants
57 171
D la machine école : chiffres et dépenses
Les établissements
nombre d'écoles, de collèges et de lycées
67 581
nombre d'écoles
56 158
nombre de collèges
7 010
nombre de lycées
2 625
dont lycées professionnels
1 708
nombre d'écoles régionales d'enseignement adapté
80
Détail du nombre d'écoles, de collèges et de lycées
public
58 569
privé
9 012
Budget et finance
Dépense pour l'éducation 2004 en milliards d'euros
dépense totale de la société française pour l'éducation
(Etat, collectivités territoriales, entreprises, ménages, etc.)
116,3
Budget du ministère 2004 en milliards d'euros
64,6
Budget du ministère 2005 en milliards d'euros
66,0
(Sources et mise à jour : novembre 2006 source Internet , MEN)
1 PREMIÈRE PARTIE
Sociologie de l ’éducation : explorer un métier
complexe
11 "EDUQUER et FORMER" : UN METIER IMPOSSIBLE
*L’éducation est un processus qui engage par définition, un être inachevé dont il est difficile d’anticiper ou de
prévoir le devenir.
* L’éducation est une entreprise paradoxale, puisque la finalité qu’elle poursuit, à savoir l’autonomie du sujet
, conduit à sa propre abolition ! L’institution scolaire offre mais n’écoute que très peu la demande.
*Le métier d’éducateur peut-être qualifié « d’impossible » car comme le métier de la psychanalyse ou du
gouvernement des hommes , il s’exerce dans la sphère imprévisible du transfert (Identification, empathie,
séduction, conflit, amour, sublimation, etc.)
*Vous aurez compris que depuis toujours des tensions antagonistes sont au cœur du sujet scolaire.
(Source : J-P Resweber, Éduquer un métier impossible !, Editions Le portique, Strasbourg, 1999.)
12 "EDUQUER et FORMER" : UNE SINGULARITE EDUCATIVE
*Un métier qui porte un lourd héritage comme le dit S. Freud (1925 et 1934 in éducation et liberté) lorsqu’il
suggère pour ce difficile mais passionnant métier (les vacances oui mais pour survivre!) qu’il fluctue
entre le « Charybde de l’interdiction et le Scylla du laisser-faire. »
*On passe du métier impossible et actuellement à la mission impossible des enseignants mais l’institution
tient avec 15 millions de sujets - acteurs en formation.
*On demande beaucoup, voire tout à l’école : le peut-elle ? Enseigner, former et éduquer voire rééduquer, la
formation initiale , continue tout au long de la vie : des relais sont indispensables.
(NB : Charybde et Scylla sont deux caps dangereux dans détroit de Messine)
(Source : P-A Dupuis, La singularité éducative !, PUS, Strasbourg, 2000.)
2 DEUXIEME PARTIE.
Sociologie de l ’éducation : observation d’ un homme
seul ou d’un groupe
21 QU'EST CE QU'ETRE ENSEIGNANT ?
* Être enseignant, c'est maintenant faire un travail au sens d'une activité organisée et
programmée par un pouvoir central, c'est exercer un métier en mettant en oeuvre des
techniques apprises et des savoir-faire. En plus d'un travail et d'un métier, c'est une
profession. Par cela il faut entendre :
- L'exercice d'une activité intellectuelle qui engage la responsabilité
individuelle de celui qui l'exerce ; l'exercice d'une activité savante non routinière, non
répétitive
- La nécessité d'une formation longue et solide pour être capable d'exercer une
profession.
*Mais c'est aussi la transmission par un acteur des valeurs traditionnelles de
l'enseignement dans une société donnée ».
22 SUJETS – ACTEURS – FORMATEURS et AUTRES EDUCATEURS…
*Un exemple concret : projets et équipes pédagogiques en EPS. Un corps de 40 000
fonctionnaires qui centre son action sur la motricité humaine sous le regard de l’autre.
*Mettre ses compétences en commun pour un travail moins pénible.
*Le cœur de nos actions c’est comme le dit C. Pineau (1990) que « L’école est un lieu de
simulation où l’erreur demeure réparable » ou comme le dit le philosophe Alain
(1932) un lieu où on « lave l’ardoise ».
3 PERSPECTIVES ET PROSPECTIVES
31 le rapport au savoir
*La notion de rapport au savoir commence à se répandre dans le champ des sciences
humaines. Elle attire l'attention sur le savoir comme sens et plaisir et ouvre un espace de
dialogue entre disciplines. Mais par - là même elle court le risque de devenir attrape-tout.
*Bernard CHARLOT est professeur de sciences de l'éducation à l'Université Paris VIII
Saint-Denis; Il est l'un des «pères » de la notion, entreprend ici de lui donner statut de
concept. Ce faisant, il bouscule quelques idées reçues sur «les causes » de l'échec scolaire
et transgresse un tabou en avançant l'idée d'une sociologie du sujet. Prenant appui sur une
réflexion anthropologique, il explore diverses «figures de l'apprendre » et propose
plusieurs définitions du rapport au savoir. Ce livre repose sur un pari : rien n'est plus utile
que la théorie, dès lors qu'elle parle du monde, en un langage accessible à tous.
(Sources : CHARLOT B., BAUTIER E., ROCHEX J-Y. , Ecole et savoir dans les
banlieues... et ailleurs, A. Colin, 1992 et aussi Du rapport au savoir, Anthropos, 1997.)
32 Quelle école voulons-nous vraiment ?
*C’est bien de cela dont il s’agit dans un monde globalisé où l’éducation
devient un marché ou les dérogations explosent...(querelles entre
conflictualistes et externalistes, les savoirs traditionnels contre l’innovation
permanente, le faute des moyens, des ... , etc.)
*Les plans d’innovations venant de la base , des acteurs du quotidien ne sont
que peu suivis car sous pression politique.
*L’échec scolaire n’existe pas c’est toujours l’histoire d’un sujet qui échoue
pour lui et pour les autres avant tout ...Nous sommes plusieurs dans ce cas
pour témoigner !
4 CONCLUSION
*Jean Piaget énonce pour les sciences de l’éducation une loi de « prise de conscience » selon
laquelle nous prenons d’autant plus tardivement d’un fait (le fait éducatif en
sociologie) que celui-ci nous est plus familier.
*il faut impliquer les acteurs de terrain face aux experts et spécialistes, il faut être plus
nombreux pour une dialectique des progrès à faire , en cela les SE peuvent nous aider.
*En sociologie de l’éducation le passage est forcement interdisciplinaire car la pluralité des
approches , des objets et des méthodes dominent ; il faut donc produire de la Reliance
et du Sens pour tous les acteurs des mondes scolaires et universitaires.
*Pour le sociologue de l’éducation le facteur local est pris en compte, on va voir l’intérieur
de cette mini société , à l’intérieur des boîtes noires.(Cf : notre étude sur les parcours
scolaires de jeunes sourds sur plus de 10 ans.)
*La recherche en SE possède un double ancrage l’un scientifique et l’autre empirique en cela
les SH partagent le même paradigme .
Pour ancrer le cours de philosophie de l’éducation qui suivra celui-ci, les philosophes de
l’éducation nous alertent face au tout scientifique dans ce champ par leurs approches
des valeurs et de l’éthique qui sous tendent ces rapports sociaux et humains au cœur de
l’institution.
(Sources : Gaston Mialaret, Les sciences de l’éducation, PUF, Paris, 9e rééd 2002.)
Citation : « Savoir lire est tout .»
(Sources : Émile Chartrier dit Alain, Propos, Gallimard, Paris 1960.)
BIBLIOGRAPHIE PLUS TRANSVERSALE.
(Deux étoiles à lire **)
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pages.
**BOURDIEU Pierre et PASSERON Jean-Claude, Les Héritiers. Les étudiants et la
culture, Paris, Éd. de Minuit, 1966, 192 pages.
**CHARLOT B : Du rapport au savoir, Anthropos, Paris, 1997.
DEFRANCE B., Les parents, les profs et l'école, Syros, Paris, 1990.
DUBET François, Les Lycéens, Paris, Seuil, 1991, 313 pages.
DURKHEIM Émile, L'Éducation morale, Paris, Presses universitaires de France,
rééd. 1992, 256 pages
**DURU-BELLAT Marie et HENRIOT-VAN ZANTEN Agnès, Sociologie de l'école,
Paris, A. Colin, 1992, 233 pages.
LAHIRE Bernard, Culture écrite et inégalités scolaires : sociologie de l "`échec
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LAPASSADE Georges, Guerre et paix dans la classe : la déviance scolaire, Paris, A.
Colin, 1993, 63 pages.
**MEIRIEU Ph, ENSEIGNER, SCÉNARIO POUR UN MÉTIER NOUVEAU, ESF,
1989,8e édition, 1995.
PERRENOUD Philippe, Métier d'élève et sens du travail scolaire, Paris, ESF, 1994,
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**ROCHEX Jean-Yves et BOUVEAU Patrick, Les ZEP entre école et société, Paris,
Hachette, CNDP, 1996, 126 pages.
VANISCOTTE F., Les écoles de l'Europe, 1996, INRP IUFM de Toulouse
WOODS P., Ethnographie de l’école, A. Colin, 1990
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