Thème 3

Des situations
d’accroches.
Thème 3 : Corps humain et santé
• Thème 3C : De l’œil au cerveau : quelques aspects de la vision
Le cristallin, le
système optique
de l’œil.
La rétine et les
pigments rétiniens
De la lumière au message
nerveux: le rôle de l’œil.
Anomalie
des pigments
rétiniens.
Histoire évolutive
de la vision des
couleurs.
La vision, une
construction
cérébrale.
Cerveau et vision.
Des substances qui
perturbent la
vision.
Apprentissage et
plasticité
cérébrale.
Vue d’un myope
La myopie est un défaut
de vision, le myope voit
mal de loin mais bien de
près. Il y a plusieurs cause
dont un cristallin trop
souple…
www.essilor.fr
Vers la quarantaine, la lecture devient
difficile, le cristallin perd de sa
souplesse et n'arrive plus à faire le
point sur des objets proches. C'est
la presbytie.
www.hoya.fr
On cherche à comprendre en quoi l’œil est
un système optique et quelles sont les
caractéristiques de l'œil et du cristallin qui
permettent la vision.
La cataracte est une opacification totale ou
partielle du cristallin (lentille naturelle de l'œil), qui
entraîne une baisse de la vision.
www.ameli-sante.fr
La rétinite pigmentaire est une maladie d'origine généti
que qui se traduit par la dégénérescence progressive
des structures de la rétine, ce qui entraîne une baisse
progressive de la vue, d'abord nocturne, puis diurne. La
maladie évolue et la vision se «rétrécit» : le sujet a le
sentiment d'être dans un tunnel. Au fil des ans, le champ
visuel se rétrécit de plus en plus et le malade perd
souvent définitivement la vue vers 40 ans.
On cherche à montrer
que la vision dépend des
propriétés de la rétine.
La perception visuelle est une construction cérébrale.
http://www.parismatch.com/Actu/Sante/Retinit
e-pigmentaire-Enfin-l-espoir-d-un-traitement
Claude Monet, « Les
nymphéas », 1899
Claude Monet, « Le Pont
japonais », 1923
Œuvres de Monet à différents
moments de sa vie
Interprétation du test
a. Tout le monde voit 12.
b. Vision normale : 8 - Déficience rouge-vert : 3.
c. Vision normale : 5 - Déficience rouge-vert : 2.
d. Vision normale : 2 - La plupart des dischromates ne voient rien, ou de façon erronée.
e. Les sujets normaux et les dischromates très faiblement atteints ne perçoivent rien - Déficience rouge-vert : 5.
f. Vision normale : 26 - Protanopie : 6. Deutéranopie : 2.
Comment des substances comme le LSD,
peuvent-elles modifier la perception ?
Peinture
d'Alex
Grey
Inspirée et visionnaire, hallucinée et spirituelle, l’œuvre de Grey,
s’apparente en quelque sorte à une relecture de William Blake
par Aldous Huxley, c’est-à-dire à une approche rationnelle et
réfléchie de l’aspiration à la transcendance, qui vise à dévoiler
dans la réalité quotidienne le mysterium tremendumde la
présence divine, et pourquoi pas sous l’influence de drogues
hallucinogènes.
À ce titre, et bien qu’il ne le cite pas dans son manifeste,
l’influence d’Huxley sur Grey est indéniable, qui promouvait dès
1954 l’utilisation raisonnée de Mescaline à des fins spirituelles
et distinguait uneCASTE
intemporelle d’artistes visionnaires,
au nombre desquels il nommait Blake, van Gogh, Vuillard
http://www.psychoactif.org/psychowiki/index.ph
p?title=LSD,_effets,_risques.
Le LSD est le nom générique donné à un alcaloïde semi-synthétique dérivé de l’acide lysergique, obtenu à partir de
l’ergot de seigle : le L. S. D. 25 (acide lysergique diéthylamide), mis au point en 1938. C'est un hallucinogène
puissant, dont la consommation est appelée un trip (ouVOYAGE
). En France, le LSD a été expérimentée par
[1]
1,3% des jeunes de 17 ans en 2011. Il est classé comme stupéfiant.
Le cerveau crée le mouvement.
Lorsqu’on observe une image
statique, on aperçoit, un
mouvement de rotation. La
perception visuelle n’est pas
une simple restitution des
images formées sur la rétine.
http://slideplayer.fr/slide/1154218/
Présentation de l’éditeur
Un père ayant souffert d'une attaque cérébrale recouvre la totalité
de ses facultés intellectuelles. Un homme victime d'un infarctus se
remet à marcher. Une femme qui ne pouvait plus se tenir debout
retrouve l'équilibre...
Norman Doidge nous dévoile un sujet révolutionnaire : le cerveau
peut changer et se transformer par lui-même. Une découverte
médicale qui bouleverse le champ des neurosciences.
Le credo de cette révolution : la neuroplasticité, qui révèle les
pouvoirs étonnants du cerveau, capable de compenser des
déficiences, des lésions, de se RÉPARER , mais aussi de se
développer et de s'améliorer – non seulement pendant la petite
enfance, comme on le sait depuis longtemps, mais également à un
âge avancé...
Notre recherche s’intéresse
au phénomène de plasticité
cérébrale, responsable de la
réorganisation des aires
visuelles permettant une
récupération fonctionnelle
chez des patients atteints de
troubles visuels d’origine
centrale (hémianopsiques)
et d’origine périphérique
(névrites optiques).