STUPEFIANTS
A l’inverse des drogues « dures » qui
empêchent bien souvent de
conduire, il ne faut pas croire que les
drogues dites « douces » n’ont pas
d’effet néfaste sur la conduite.
STUPEFIANTS
Des effets sur la conduite
Une perception
déformée:
1. Champ de vision rétréci
2. Instabilité de l’image
3. Mauvaise appréciation des
distances et des vitesses
4. Difficulté de
reconnaissance des objets
5. Troubles du comportement
( surexcitation, agressivité
ou désintérêt)
6. Hallucinations…
Des décisions
incohérentes:
1. Euphorie qui peut entraîner
un sentiment d’invincibilité
2. Notion du temps et de
l’espace décalée
3. Analyse erronée des
situations
4. Décisions inadaptées
5. Prises de risques
fréquentes…
STUPEFIANTS
Conduire c’est décider d’être en
possession de tous ses moyens
Des conséquences:
On estime qu’environ 10 à 15% des accidents mortels seraient
dû à une conduite sous l’empire de produits stupéfiants, avec un
pic de 40% les nuits de week-end.
A savoir:
2 000 000 de consommateurs réguliers de cannabis en France,
5 000 000 de consommateurs occasionnels.
STUPEFIANTS
Conduire c’est décider d’être en
possession de tous ses moyens
Des conséquences:
On estime qu’environ 10 à 15% des accidents mortels seraient
dû à une conduite sous l’empire de produits stupéfiants, avec un
pic de 40% les nuits de week-end.
A savoir:
2 000 000 de consommateurs réguliers de cannabis en France,
5 000 000 de consommateurs occasionnels.
STUPEFIANTS
Comme l’alcool, la drogue met du temps avant d’être éliminée
par l’organisme.
Les effets peuvent durer de 2 à 7 heures pour le cannabis mais
jusqu’à plusieurs jours pour les drogues dures.
Il n’y a pas de drogues douces au volant. Toutes induisent des
effets plus marqués que ceux qui proviennent d’une alcoolémie
à 0,5 g/l. Elle présente un danger potentiel important car leur
consommation s’accompagne d’effets psychomoteurs
incompatibles avec la conduite.
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