dirigeant tout en préservant mon autonomie. J'ai évidemment beaucoup appris à vos côtés. Sur
un plan plus personnel, je vous remercie d’avoir été présente, de m’avoir soutenue et d’avoir
su trouver les mots dans les moments difficiles. Pour tout cela, je vous adresse mes
remerciements respectueux et ma profonde reconnaissance.
J’adresse tous mes remerciements à Monsieur le Professeur Dominique Lauque pour m’avoir
permis d’accéder aux dossiers médicaux des services des urgences du CHU. Je remercie
également tous les experts avec lesquels j’ai eu l’honneur de travailler dans le cadre de cette
thèse : Marie Tubérie, Florence Leymarie, Laurent Molinier, Sylvie Saivin, Meyer Elbaz,
Paul-Louis Vervueren, Joëlle Micallef et l’ensemble des collaborateurs du réseau des CEIP-
Addictovigilance français. Sans vous, évidemment, ce travail n’aurait pu exister.
Je salue tous mes collègues du service de Pharmacologie Médicale et Clinique, mes collègues
du service de Pharmacologie de la Faculté de Pharmacie, et mes anciens collègues de l’unité
des Essais Cliniques CHU-promoteur. Je ne peux pas citer tout le monde mais vous avez tous,
d’une façon ou d’autre, partagé et suivi les avancées de cette thèse. Vous m’avez aidée, que ce
soit par un conseil, un mot d’encouragement, ou tout simplement des discussions pour me
changer les idées, et je vous en remercie.
Je remercie aussi tout particulièrement Anne Roussin, peut-être pas directement pour la thèse,
mais pour tout le reste. Fabien Despas, merci infiniment pour tes conseils, tes relectures, tes
critiques, et, cerise sur le gâteau, ton expertise pour tout ce qui touche à la puériculture. Gaëlle
Barencourt, ne change rien, tu es magique ! Merci pour ta joie de vivre et ton sourire. Je
n’oublie pas bien sûr Laure Pourcel, toujours souriante et disponible pour un petit conseil ou
une proc SAS sur post-it, et Olivia Cazou, pour tes conseils avisés, ton expérience et ton
écoute. Céline Caillet, je te remercie pour ta gentillesse et ta bonne humeur (reviens-nous vite
pour siffloter et chanter), Julie Dupouy, pour ta vivacité (et tes racines béarnaises, que je
partage à une Cathédrale près), JP Fournier, on a eu des parcours bien similaires cette année
entre les bébés et les thèses… de quoi alimenter discussions et débats (arrête les bonbons),
Vincent Bounes : on y a mis le temps, mais finalement, on l’a fait ! Et puis, il y a les « M1 »
qui m’ont aidée, et les « nouveaux » (« M2 », « Captor »), rencontrés pendant la dernière
ligne droite.