et d’en enrichir les débats, même si cela a dû impliquer un long
déplacement…
Merci à l’ensemble de mes collègues du CERISIS et de l’Institut d’Etudes du
Développement (IED) de l’Université catholique de Louvain, qui ont
constitué un environnement de travail stimulant sur le plan de la recherche
et très agréable d’un point de vue humain. Un immense merci à Florence
Degavre et Eric Mangez, dont l’appui a été aussi important que multiforme.
Au-delà du soutien et de l’amitié, ils me prouvent à chaque fois combien
recherche peut rimer avec relations solidaires et harmonieuses entre
collègues.
Merci aux collègues du CNAM pour les échanges réalisés lors du séminaire
doctoral.
Merci à Catherine Letocart et Nadine da Rocha pour les nombreuses
démarches liées à la cotutelle.
Je remercie également le Fonds National de la Recherche Scientifique belge
qui a financé la thèse et qui octroie aux chercheurs toute la liberté
nécessaire pour que leur passion intellectuelle puisse s’accomplir.
Merci à Maria Angela Campelo de Melo pour m’avoir accueillie à
l’Université Catholique Pontificale de Rio de Janeiro et tant d’autres
choses.
Merci à Laurent Fraisse pour les discussions passionnantes sur le Brésil et
Thomas Miessen pour celles sur l’espace public. Merci à Evaldo Martins
pour l’aide précieuse au niveau de la mise en page.
Je remercie aussi de tout cœur les relecteurs du manuscrit, pour leur
attention et l’ensemble de leurs suggestions fort pertinentes : Céline
Caudron, Lotte Damhuis, Patrick Depienne, Isabel Lemaître-Coelho, Sofia
Lemaître, Alain Loute, Eric Mangez, Yannick Sand et Silvia Terra Rafael.
Merci à tous mes proches qui m’ont tellement soutenue et encouragée. Je
dois en particulier immensément de force à mes très chers parents, mon
frère, Tiago, et mes sœurs, Sofia et Letícia, ainsi qu’à Math et Gégé, Mag,
Silvia, Steph et Jérôme, Emilien, Heitor et Darius, Céline, Julie et Nicolas,
Marie, François et Izabel.