JUIN 2013 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — N° 134 55
4b. - Quelles sont les méthodes vali-
dées pour le dépistage biologique ?
Intérêt, limites actuelles de l’inter-
prétation des résultats et limites
économiques.
4c. - Quelles sont les indications et
limites (hors situation de troubles
comportementaux aigus) du dépis-
tage biologique? Quelles sont les
conduites à tenir en fonction des ré-
sultats du repérage (y compris pour
la consommation de médicaments
psychotropes) ?
5. - Gestion des troubles comporte-
mentaux aigus et/ou cognitifs liés à
la consommation de SPA
5a. - Quels sont les signes d’alerte et
la conduite à tenir au poste de tra-
vail ? Quelle prise en charge, orga-
nisation des secours et orientation
médicale ?
5b. - Quelle est la responsabilité des
différents acteurs (entreprise, ser-
vice de santé au travail…) ?
professionnel (hors troubles com-
portementaux aigus) ?
3a. - Dans quelles circonstances
effectuer le repérage clinique de
la consommation de SPA ? Quels
signes d’appel peuvent susciter un
repérage clinique ? Quels sont les
moyens d’évaluation et quels sont
les outils du repérage clinique ?
3b. - Quels sont les acteurs du repé-
rage ? Quelles sont les conduites
à tenir en fonction des résultats
du repérage (y compris pour la
consommation de médicaments
psychotropes et de traitement de
substitution aux opiacés) ?
4. - Quelles sont les conditions et
modalités du dépistage biologique
de la consommation de SPA en mi-
lieu professionnel ?
4a. - Quelles sont les actions et les
responsabilités du service de santé
au travail ? Quelles sont les actions
et les responsabilités relevant de
l’entreprise (aspects juridiques et
réglementaires) ?
PRÉAMBULE
5 domaines jugés prioritaires ont
été retenus :
1.- Quelles sont les connaissances
actuelles des conséquences de
l’usage et du mésusage de SPA (al-
cool, produits illicites, médicaments
psychotropes, traitement de subs-
titution aux opiacés) susceptibles
de générer des troubles du com-
portement en milieu du travail ?
Quels pourraient être les bénéfices
attendus d’une meilleure prise en
compte du mésusage de SPA en
milieu professionnel ?
1a. - Données épidémiologiques
1b. - Coût économique et social
2. - Quels sont les déterminants
du milieu professionnel suscep-
tibles d’induire ou de renforcer des
consommations de SPA ?
3. - Quelles sont les conditions et
modalités du repérage clinique de
la consommation de SPA en milieu
Les différents acteurs impliqués dans l'élaboration de ces recommandations
Comité d'organisation • Dr Claudine Gillet, médecin du travail, addictologue, Nancy, présidente du Comité
d’organisation, coordinatrice logistique du Groupe de travail
• Dr Gérald Demortière, médecin du travail, addictologue, Cergy-Pontoise, coordinateur
du Groupe de travail
• Dr Benoît Fleury, gastroentérologue, addictologue, Bordeaux
• Pr Dominique Penneau-Fontbonne, médecin du travail, addictologue, Angers
• Dr Damien Duquesne, médecin du travail, addictologue, Lille
• Dr Éric Hispard, médecin du travail, addictologue, Paris
Bibliographie • Dr Corinne Dano, médecin du travail, addictologue, Angers
• Dr Éric Durand, praticien hospitalier, hôpitaux de Saint-Maurice *
complétée par les membres du Comité d’organisation et du Groupe de travail
Groupe de travail • Me Philippe Arbouch, avocat, Chartres
• Dr Patrick Bastien, médecin généraliste, Gérardmer
• Mme Stéphanie Berton, assistante sociale, Dunkerque
• Dr Philippe Bessières, médecin inspecteur régional du travail, Bordeaux
• Dr Colette Budan, médecin du travail, Nantes
• Dr Philippe Cleren, médecin du travail, Caen
• Mme Françoise Facy, épidémiologiste, Le Vésinet
• Pr Martine Galliot-Guilley, pharmacologue, Paris
• Dr Antoine Gérard, addictologue, Le Puy-en-Velay
* ancien conseiller médical à l'INRS