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DE L’
DE L’
Usage à des fins médicales
Vers le début des années 1900, c’est en Allemagne qu’on a mis
au point la MDMA comme matériau de départ dans la synthèse
d’autres drogues. Dans les années 1970 et 1980, malgré l’inertie
du gouvernement fédéral à approuver la drogue et le peu de
recherches cliniques réalisées en la matière, la MDMA servait
d’outil psychothérapeutique destiné à améliorer la communication
avec les patients durant les séances de traitement. En 2000, on a
approuvé la MDMA comme médicament à usage limité à l’occasion
d’un court essai clinique afin d’évaluer son potentiel comme
traitement du trouble de stress post-traumatique. C’est au cours
des années 1980 que l’on a commencé à pouvoir se procurer de la
MDMA dans la rue.3, 6
Prévalence de l’usage
En 2004, le Centre canadien de lutte contre l’alcoolisme et
les toxicomanies (CCLAT) a ajouté l’ecstasy à la catégorie des
drogues hallucinogènes dont fait état son enquête auprès de la
population générale. Selon l’enquête, on a observé une hausse
de la consommation de drogues hallucinogènes de 4,1% chez les
Canadiens au cours de l’année précédant l’enquête.7
L’édition 2005 d’une enquête effectuée auprès des élèves
ontariens est la seule étude de portée provinciale à faire le point
sur la consommation d’ecstasy. Selon l’enquête, 4,4% des élèves
interrogés – dont la répartition se situe dans la fourchette allant de
0,6% chez les élèves de 7e année à 9,8% chez les élèves de 11e
année – ont déclaré avoir consommé de l’ecstasy. Cela représente
une hausse marquée depuis 1993, année où 0,6% des élèves
sondés avaient avoué en avoir consommé.8
Il existe des études semblables aux États-Unis, dont le National
Survey on Drug Use and Health, qui indiquent une augmentation
du taux de consommation de MDMA au cours de la vie chez les
personnes âgées de 12 ans et plus, ce qui est passé de 4,3% en
2002 à 5,2% en 2008.6
Les personnes responsables de l’étude Monitoring the Future (MTF)
du National Institute of Drug Addiction se sont dites préoccupées
par la perception selon laquelle le risque associé à l’usage de la
drogue a diminué au cours des dernières années – bien des gens
estiment qu’il s’agit d’une drogue « sans danger », ce qui pourrait
lui insuffler une vie nouvelle.3
Pendant les premières années de gloire de la MDMA, ses
consommateurs types étaient des jeunes de race blanche
qui faisaient partie du milieu des raves. Le groupe de travail
communautaire sur l’épidémiologie du NIDA a publié dernièrement
des rapports indiquant que la consommation de MDMA s’est
étendue à des groupes ethniques plus larges et aux hommes et
femmes homosexuels et bisexuels vivant en milieu urbain (chez qui
la drogue sert généralement de stimulant sexuel).3
L’ECSTASY
L’ecstasy
Qu’est-ce l’ecstasy?
L’ecstasy appartient au groupe hétérogène de drogues illégales connues sous le nom de drogues de nouvelle tendance – une variété
de drogues dangereuses que consomment habituellement les jeunes et les jeunes adultes aux soirées dansantes nocturnes, dans les
clubs de danse, dans les bars, aux concerts et aux fêtes pour rehausser l’expérience de type « rave », apporter un regain d’énergie aux
utilisateurs et atténuer les inhibitions faisant obstacle aux relations interpersonnelles. On peut se procurer facilement ces drogues, et ce
à un prix relativement modique: celui-ci peut varier de 15 $ à 50 $ le comprimé, selon des critères comme la disponibilité, la demande
et le lieu.1, 3
La dénomination chimique de l’ecstasy est la méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA), qui se rapproche de la méthamphétamine. Il est
aussi couramment appelé « E », « XTC », « X », « Adam », « Eve », « clarity », « pilule de l’amour», « euphoria », « love doves », « batmans »,
« decadence », « happy pill » et « rave ».2, 4
La composition chimique de la MDMA fait d’elle une substance semblable aux drogues stimulantes et hallucinogènes. Lorsqu’on la
consomme, la MDMA provoque une sensation prononcée de mieux-être et d’affection envers autrui. Les consommateurs de la drogue
croient qu’elle rend leur expérience d’un événement plus agréable en changeant leurs perceptions sensorielles – par exemple, les sources
lumineuses ou la musique peuvent sembler plus intenses. La drogue sert également à apporter un regain d’énergie aux utilisateurs, leur
permettant ainsi de rester éveillés plus longtemps et de danser pendant de plus longues périodes.5
Il est particulièrement préoccupant de constater que les consommateurs de MDMA croient à tort que la drogue ne présente aucun danger.
Cette opinion prévaut, en partie, en raison du manque de recherches historiques sur la consommation répétée et/ou de longue date de
cette drogue. Cependant, des études récentes sur la neurotoxicité propre à la MDMA révèlent que la consommation de la drogue peut
provoquer des lésions de longue durée, voire permanentes, dans certaines régions du cerveau.3
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DE L’
La pharmacocinétique
L’ecstasy/MDMA est offert sous forme de comprimés ou de
capsules qui se prennent habituellement par voie buccale. Il est
aussi possible d’obtenir, à partir de la drogue, une poudre qui
s’aspire par le nez ou se dissout dans l’eau pour ensuite être
injectée. La dose normale que l’on peut se procurer dans la rue se
situe entre 50 et 200 mg. La MDMA s’absorbe rapidement dans
la circulation sanguine; ses effets commencent normalement à se
faire sentir dans les 60 à 90 minutes après la consommation et
durent entre trois et six heures.3, 5
Les consommateurs déclarent avoir souvent pris une deuxième
dose de la drogue après la disparition des effets de la dose initiale.3, 6
Après qu’elle est absorbée dans l’organisme, la MDMA vient
perturber son propre métabolisme hépatique. Par conséquent,
des doses supplémentaires peuvent entraîner une accumulation
importante de la drogue, d’où des répercussions en matière de
toxicité. La MDMA peut aussi altérer l’activité métabolique propre à
d’autres drogues, y compris certains des adultérants que peuvent
contenir les comprimés.6
La pharmacodynamique
Semblable à la méthamphétamine sur le plan de la structure
chimique, la MDMA a un taux de sécrétion de sérotonine plus
élevé et un taux de sécrétion de dopamine relativement moins
élevé que la méthamphétamine, ce qui se traduit par une
intensification de l’activité sérotonique. Puisque la sérotonine fait
partie intégrante de la régulation de l’humeur, du sommeil, de la
douleur, des émotions, de l’appétit et d’autres comportements,
les retombées immédiates perçues et les réactions physiques à la
consommation de MDMA sont attribuables aux excès de sérotonine
présents au niveau de ces systèmes sérotoninergiques. La
sécrétion excessive de sérotonine aboutira à la détérioration de ce
neurotransmetteur important, ce qui expliquerait les effets fâcheux
sur les comportements que l’on éprouve après la disparition de
l’europhorie ressentie à l’origine.1, 6
Effets à court terme
Dans un premier temps, une personne peut vivre un « état
d’euphorie » soudain de type amphétaminique, suivi possiblement
de nausées et de vomissements. Après « l’état d’euphorie », le stade
de plafonnement fait surface et dure entre trois et six heures.6
Au nombre des effets pouvant surgir, on trouve: une altération
des perceptions et du sens du temps; un plaisir accru tiré des
expériences tactiles; un sentiment général de bien-être et de
confiance en soi qui se manifeste par une ouverture accrue
envers autrui; des sentiments d’empathie et de confiance parmi
les gens; une énergie accrue et de l’insomnie, de l’euphorie, de
l’emballement; et un plaisir sexuel accru.3
Par contre, le consommateur peut se montrer imprudent, confus,
irritable, paranoïaque, extrêmement anxieux, agité, détaché et
déprimé. Ces effets peuvent se manifester dès la consommation
de la drogue et durer des jours, voire des semaines, après la
consommation.2, 3
Parmi les effets néfastes sur la santé, on peut observer une
accélération du rythme respiratoire et cardiaque, des nausées, des
sueurs ou des frissons, une vue embrouillée, des évanouissements,
le grincement involontaire des dents et des crampes musculaires.
La MDMA freine la capacité du corps à réguler sa température et
peut provoquer la mort due à la déshydratation, à l’épuisement par
la chaleur et à une déficience cardiaque, hépatique ou rénale.2, 3
Les consommateurs de MDMA peuvent ressentir un état de
sevrage couramment appelé « gueule de bois » pendant une
période d’au plus une semaine après la consommation. Il peut
s’agir de différents symptômes, entre autres un manque d’intérêt
profond pour la vie et une dépression aiguë, qui provoquent une
léthargie considérable, de l’anorexie et de la démotivation.6
La recherche sur les animaux révèle que les doses moyennes à
élevées de MDMA peuvent entraîner des lésions à long terme des
cellules nerveuses qui contiennent de la sérotonine.3
Effets à long terme
Après une consommation excessive et prolongée de MDMA,
l’utilisateur peut être porté à oublier les choses, avoir de la
difficulté à se concentrer, éprouver de la dépression et avoir des
pensées de suicide. Chez certaines personnes, il se peut que
la dépression se fasse sentir après seulement quelques jours
de consommation. Le consommateur peut aussi éprouver de la
lassitude, des troubles du sommeil, de la confusion, de la panique
et de la paranoïa.4
Le consommateur fréquent de MDMA s’expose au risque de lésions
hépatiques. D’autres symptômes observés chez ce genre de
consommateur se caractérisent par des lésions des dents et de la
mâchoire imputables à des crispations, en plus de se manifester
par des comportements agressifs et violents.4
Le consommateur excessif et chronique de MDMA (entre 60 et
450 doses au cours de la vie) peut éprouver de la confusion, de
la dépression et une altération de la mémoire pendant de longues
périodes, ce qui peut être attribuable à une diminution du taux de
sécrétion de la sérotonine.3, 4
Les effets neurotoxiques qui peuvent se manifester à la suite de
la consommation de MDMA constituent le principal domaine de
préoccupation. Des recherches récentes révèlent que la MDMA nuit
aux neurones situés dans les régions cérébrales responsables de la
langue, des mouvements et des fonctions essentielles, tel le rythme
respiratoire et cardiaque, en plus de réduire la densité des tissus
cérébraux dans ces régions. On croit qu’il s’agit de répercussions
de longue durée, voire permanentes.6
Effets toxiques
L’utilisateur peut subir une surdose de MDMA, surtout après en
avoir pris plus d’une dose. Les symptômes associés à une surdose
peuvent se manifester par une tension artérielle élevée, des
évanouissements, des crises de panique et, dans des cas extrêmes,
une perte de conscience et des crises d’épilepsie.6
L’hyperthermie constitue l’effet toxique le plus grave. L’hyperthermie
et la déshydratation sont susceptibles de se produire lorsque la
consommation de la drogue s’accompagne d’activités de forte
d’intensité (p. ex., exercices de danse ininterrompus pendant
plusieurs heures). Il faut solliciter immédiatement des soins
médicaux pour atténuer les effets des troubles précités, qui
peuvent se caractériser par une insuffisance rénale et cardiaque, la
déshydratation et une tension artérielle élevée.3, 6
Tolérance et dépendance
La MDMA affecte le système de récompense et pourrait donc
entraîner une dépendance à la fois physique et psychologique
chez certains consommateurs. Malgré le risque de dépendance à
la MDMA, il est rare de constater une tendance de consommation
croissante associée à cette drogue. Le consommateur peut
modifier ses habitudes d’usage en réaction aux impacts
de l’épuisement des réserves de sérotonine. Ainsi, les
doses subséquentes peuvent se révéler moins efficaces; le
consommateur peut d’ailleurs éprouver une intensification des
effets secondaires indésirables au lieu des bienfaits perçus.3, 5, 6
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DE L’
Sevrage
Si la consommation de MDMA est interrompue, il est possible que
le consommateur régulier ait encore les envies psychologiques
de ressentir les effets de la drogue. Bien qu’il n’existe pas de
preuves adéquates permettant d’établir un lien entre l’apparition de
symptômes de sevrage et la dépendance physique, le consommateur
peut néanmoins éprouver des symptômes comme la fatigue, la perte
d’appétit, la dépression et la difficulté à se concentrer.3
Production illégale
Fabriquée dans des laboratoires illégaux, la MDMA peut être
mélangée à d’autres drogues, produits chimiques ou substances,
dont la caféine, la codéine, l’acétaminophène, la kétamine, la
méthamphétamine, l’éphédrine et/ou les antitussifs vendus
sans ordonnance, la dextrométhorphane, ce qui rend les effets
imprévisibles.2, 3, 5
Questions juridiques
La MDMA est visée par la Loi réglementant certaines drogues et
autres substances. La fabrication, la distribution ou la possession
d’ecstasy est illégale au Canada.5
Par ailleurs, le Code criminel du Canada contient des infractions
liées à la conduite avec des facultés affaiblies par l’alcool ou
d’autres drogues. Le Manitoba a, pour sa part, adopté des lois
permettant de s’attaquer au problème de conduite sous l’influence
de drogues.
Risques et autres méfaits
Puisque la MDMA est fabriquée illégalement avec une variété de
mélanges de drogues à la fois légaux et illégaux et avec d’autres
substances potentiellement nocives, il est très difficile de prévoir la
toxicité du produit final et les effets possibles de sa consommation
sur la santé.1
Il est possible que certaines personnes soient allergiques à la
MDMA ou à d’autres drogues ou substances utilisées dans sa
fabrication et qu’elles présentent ainsi des réactions semblables à
une surdose (fièvre, troubles de coagulation, troubles hépatiques).4
Tout comme bien des drogues pouvant faire l’objet d’un usage
abusif, la MDMA se consomme souvent avec d’autres substances,
y compris l’alcool, ce qui augmente le risque de surdose et peut
même causer la mort.2, 3, 5 Si la MDMA est mélangée à certains
autres médicaments antidépresseurs, il peut en résulter une
hausse dangereuse ou mortelle du rythme cardiaque et de la
tension artérielle.4
De plus, les toxicomanes qui prennent cette drogue par voie
intraveineuse s’exposent à des risques supplémentaires, dont le
risque de contracter le virus de l’immunodéficience humaine (VIH),
l’hépatite B et C et d’autres virus transmis par voie sanguine.
À l’instar des cas d’usage abusif de drogues légales et illégales,
il existe des répercussions fâcheuses possibles sur les plans
juridique, financier et des relations familiales, sans oublier de
mentionner le risque auquel s’expose le consommateur en se
livrant à des comportements dangereux avec des facultés affaiblies
par l’ecstasy.5
Grossesse
Les effets néfastes possibles de la MDMA sur le fœtus sont une
source de grande préoccupation. En effet, des études sur les
animaux révèlent que l’administration de MDMA pendant ce qui
correspondrait au troisième trimestre chez les femelles humaines
s’est répercutée de façon importante sur des indicateurs comme
l’apprentissage et la mémoire.3
Des quelques études sur les effets des drogues de nouvelle
tendance au sens large, une étude de suivi prospective réalisée
auprès de 136 enfants exposés en utéro à la MDMA révèle un
lien possible entre sa consommation et le risque nettement accru
d’anomalies congénitales. Douze des 136 bébés, soit 8,8%,
visés par l’étude présentaient des malformations congénitales;
cependant, il n’existait pas de tendances manifestes d’anomalies.
L’étude ne comportait pas de groupe témoin et n’a pas permis non
plus de tenir compte d’autres facteurs contributifs possibles.8
Aucun risque accru de malformations importantes ou
d’avortements spontanés n’a été recensé à partir d’autres études.
Dans l’examen des résultats des naissances auprès de 54
femmes ayant consommé de la MDMA pendant leur grossesse
comparativement à 54 femmes qui n’y étaient pas exposées, on n’a
signalé aucun écart de l’incidence de malformations importantes
ou d’avortements spontanés entre les deux groupes.8
Interventions
Il existe très peu de documentation clinique sur le traitement
recommandé pour les personnes qui font un usage abusif de
drogues de nouvelle tendance en général ou plus précisément
de MDMA, ou encore pour les personnes qui y développent une
dépendance.1
Tandis que la MDMA ne prédispose habituellement pas les
consommateurs à un usage abusif croissant, la MDMA fait
couramment l’objet d’un usage abusif lorsqu’elle se consomme
avec d’autres drogues. Pour cette raison, tout effort de réadaptation
pourrait s’articuler autour de l’autre (des autres) drogue(s)
préférée(s). Puisque les adolescents constituent actuellement le
groupe le plus susceptible de faire un usage abusif de cette drogue,
les traitements recommandés doivent tenir compte des besoins
et des problèmes propres aux jeunes en question. Par ailleurs, la
MDMA peut exacerber de façon marquée les maladies mentales
concomitantes, telles que la dépression et l’anxiété. On doit donc
prendre en considération ce facteur au moment d’intervenir auprès
d’un client atteint de troubles mentaux connus.6
Au nombre des traitements conçus pour aider les clients à
adopter un mode de vie sans drogue, on trouve: le counseling
individuel, la thérapie en groupe, la détoxification, les services de
traitement en clinique interne, les services de traitement de jour,
la pharmacothérapie et les groupes d’entraide. Il faut souvent
entreprendre une combinaison de démarches afin de trouver le
mode de traitement qui convient le mieux au patient.5
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DE L’
Consommation de drogues et santé mentale
Les problèmes de santé mentale et de consommation de
drogues peuvent souvent se produire simultanément. Voilà ce
que l’on appelle couramment un trouble concomitant.
La consommation de drogues peut augmenter le risque de
problèmes de santé mentale.
Les personnes atteintes de problèmes de santé mentale présentent
un risque élevé de développer des problèmes de toxicomanie:
Parfois, elles consomment de l’alcool et d’autres drogues comme
moyen d’atténuer les symptômes de leurs troubles mentaux.
Chez la majorité des personnes, la consommation d’alcool
et d’autres drogues n’a pour effet que de camoufler les
symptômes et risque même de les aggraver.
N’oubliez pas: Les effets de la consommation d’une drogue
quelconque peuvent varier d’une personne à une autre. Voici
quelques-uns des nombreux facteurs qui peuvent altérer
l’expérience: la quantité et la concentration de la drogue
consommée; le contexte dans lequel elle est consommée; l’humeur
de la personne et ses attentes avant de consommer la drogue; le
sexe de la personne; son état de santé général; ses expériences
antérieures avec la drogue en question; et si la drogue est utilisée
seule ou si elle est combinée avec d’autres. Il peut être dangereux
de consommer de l’alcool et d’autres drogues en même temps.
La Fondation manitobaine de lutte contre les dépendances (ci-après appelée « la Fondation ») propose une vaste gamme de services de prévention et de traitement
pour les problèmes liés à la pratique du jeu et à la consommation d’alcool et d’autres drogues. Conçus pour répondre aux besoins de tous les Manitobains et de toutes les
Manitobaines, ces programmes se penchent également sur la réduction des méfaits et l’abstinence.
Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec le bureau de la Fondation de votre région ou consultez son site Web à l’adresse: afm.mb.ca.
Clause de non-responsabilité de la Fondation: ces renseignements n’ont pas pour but de remplacer les conseils d’un professionnel. Tous les efforts nécessaires ont été
déployés afin d’assurer l’exactitude des renseignements présentés au moment de leur publication.
La Fondation autorise la reproduction de ce document. Si vous désirez commander
plusieurs exemplaires de ce document ou d’autres documents tirés de la série
« L’essentiel », veuillez communiquer avec la bibliothèque de la Fondation par
téléphone au 204-944-6233 ou par courriel à [email protected].
Sources
1. National Institute on Drug Abuse. NIDA InfoFacts: Club Drugs, 2008.
Accessible sur le site Web: http://www.drugabuse.gov/publications/drugfacts/
club-drugs-ghb-ketamine-rohypnol (consulté le 19 décembre 2013) (en
anglais seulement)
2. Echeverry, J. J. & Nettles, C. D. in Pharmacology and Treatment of
Substance Abuse: Evidence- and Outcome-Based Perspectives, ed. L. M.
Cohen (et al), Routledge Taylor and Francis Group, New York, 2009, p. 419-
438. (en anglais seulement)
3. National Institute on Drug Abuse (NIDA). Research Report Series MDMA
(Ecstasy) Abuse, 2009. (en anglais seulement)
4. Fondation manitobaine de lutte contre les dépendance. L’essentiel –
L’ecstasy, 2005.
5. Site Web intitulé Get up on it, Terre-Neuve et Labrador. Club Drugs – The
Full Story, 2009. Accessible sur le site Web: http://www.getuponit.ca/upload_
files/club%20drugs.pdf (en anglais seulement)
6. Fandrey, S. L. Applied Aspects of Pharmacology, Fondation manitobaine de
lutte contre les dépendances, 2005. (en anglais seulement)
7. Centre canadien de lutte contre les toxicomanies. Points saillants de
l’Enquête sur les toxicomanies au Canada, Ottawa, 2004. Accessible sur le
site Web: http://www.ccsa.ca/2005%20CCSA%20Documents/ccsa-004029-
2005.pdf
8. Centre de toxicomanie et de santé mentale (CTSM). Exposure to
Psychotropic Medications and Other Substances During Pregnancy and
Lactation: a handbook for health care providers, 2007. (en anglais seulement)
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