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REMERCIEMENTS
En m’octroyant une bourse, la Fundação para a Ciência e a Tecnologia, que je tiens à
remercier, m’a permis de bénécier de conditions de travail privilégiées.
Le Programa em Teoria da Literatura de la faculté des lettres de l’université de Lisbonne,
qui a accueilli ma recherche, s’est révélé être un lieu de réexion unique. En effet,
sans les échanges avec mes collègues durant les séminaires d’orientation, et les cours
des professeurs António Feijó, João Figueiredo et Humberto Brito - que je remercie
de m’avoir fait partager leurs connaissances -, il m’eût été beaucoup plus difcile
de délimiter les contours de ma recherche. C’est au professeur Miguel Tamen, mon
directeur de thèse, que j’exprime la plus profonde gratitude. Sa rigueur intellectuelle a
été - et restera - une source constante d’inspiration. Tout au long de ces cinq dernières
années, son indéfectible soutien dans mes moments de doute ne s’est jamais démenti.
Je tiens également à remercier Henri Atlan, de l’EHESS, pour les éclairages qu’il
m’a régulièrement apportés. Ma thèse a beaucoup bénécié de ces entretiens. Mes
remerciements vont également à Marcel Detienne, de la Johns Hopkins University, qui
m’a offert sa conance et ses idées. José Junça de Morais, de l’Université Libre
de Bruxelles, par son regard critique m’a généreusement aidé: je lui en sais gré.
Ma pensée se tourne vers Luc de Heusch et nos rencontres: sa disparition, l’année
dernière, me fait mesurer d’autant plus ce que je lui dois.
Je remercie, pour leur écoute attentive, Pierre-Emmanuel Dauzat, Ana Bénard
da Costa, Silvia Kot et, pour leur soutien constant, Marie Anne, Cécile et Isabelle.
Je n’oublie pas, naturellement, Odile Hellier, Tatiana Faia, José Pedro Moreira,
Rodrigo Meza-Caceres et Ulrica d’Orey.