Ville de Bruxelles Programme de français HG&T
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Humanités générales et technologiques | 2e & 3e degrés
Programme détudes du cours de
sciences économiques
oPtion de base simPle — deuxième et troisième degrés
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Ville de Bruxelles – Programme de Sciences Économiques HG&T
TABLE DES MATIÈRES
A. AVERTISSEMENT
B. CONDITIONS MATÉRIELLES DE TRAVAIL
C. CONSIDÉRATIONS DISCIPLINAIRES
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D. CONSIDÉRATIONS MÉTHODOLOGIQUES
1. Les compétences terminales et savoirs requis en sciences économiques
2. les compétences terminales et la démarche scientifique en sciences
économiques
3. L’enseignement des sciences économiques
a. Les savoirs
b. Les savoir-faire
c. Les compétences
4. Les pratiques d’évaluation
5. Le travail du professeur
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E. PLANIFICATION DES ACTIVITÉS
Introduction
1. 3e année
2. 4e année
3. 5e année
4. 6e année
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F. ANNEXES
1. Annexe 1 : les principaux verbes dont l’action est mise en œuvre dans le
travail par compétences
2. Annexe 2 : un exemple de construction d’une séquence d’apprentissage
ainsi que sa mise en œuvre en classe
3. Annexe 3 : un exemple d’outil de planification des matières pour le
professeur
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G. VOCABULAIRE MÉTHODOLOGIQUE
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H. BIBLIOGRAPHIE
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Ce programme de sciences économiques a été rédigé à partir du référentiel Compétences
terminales et savoirs requis en sciences économiques et sciences sociales pour les humanités
générales et technologiques publié par l’Administration générale de l’Enseignement et de
la Recherche scientifique - Ministère de la Communauté française.
Ce programme a été conçu pour les 2e et 3e degrés de l’enseignement général, artistique
et technique de transition. Le cours est donné dans chaque année à raison de quatre
périodes par semaine.
L’enseignement des sciences économiques par compétences exige l’utilisation de
nombreux documents divers.
De plus, il est souhaitable que le professeur dispose d’un rétroprojecteur ou d’un
appareil multimédia, d’un accès à un local informatique équipé de logiciels utiles à
l’enseignement des sciences économiques ainsi que d’un accès à internet.
Les élèves doivent disposer :
- d’un cahier ou d’une farde ;
- d’une machine à calculer.
GENARD (A.), ODROVIC (M.), « Méthodologie de l’enseignement des sciences
économiques. » De Boeck Wesmael, Bruxelles, 1994
GOUJET (C.), RAULET (Christian) et RAULET (Christiane), « Comptabilité de
gestion », éd. Dunot
HEUZER (M.), PHILIPPE (B.), POLET (M.), VIATOUR (L.), « Art d’éco », Van In,
Bruxelles, 2011
JEANFILS (C.), ROLAND (V.), « La comptabilité à livre ouvert », Presse Universitaire
de Namur, Cedes
JURION (B.), « Économie politique », De Boeck, Bruxelles, 2006
KOTLER, DUBOIS « Markéting, management », Publi-Union, Paris, 2000
MANDOU (C.), « La comptabilité générale de l’entreprise », De Boeck
MANKIW (G.), « Principes de l’économie », Economica, Paris, 1998
MAYSTADT (Ph.) & MINET-DERMINE (F.), "Comprendre l’économie – Le marché et
l’État à l’heure de la mondialisation », Éditions Luc PIRE, 2003.
MUSOLINI (M.), « L’économie pour les nuls. », First, Paris, 2011
STIGLITZ (E.), WALSH, (K.), LAFAY (J-D.), “Principes d’économie moderne”, De
Boeck, Bruxelles 2007
Sites Internet
statbel. fgov.be
www.oecd.org
www.emploi.belgique.be
www.nbb.be
www.alternatives-economiques.fr
www.cedes.be
www.febelfin.be
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H. BIBLIOGRAPHIE
ALEXANDER (Fr.), DELREE (C.), « Notions de droit civil », De Boeck, Bruxelles,
2007
ALEXANDER (Fr.), DELREE (C.), « Manuel de législation sociale », De Boeck,
Bruxelles, 2005
ANTOINE (J.), CORNIL (J-P.), « Précis de comptabilisation », De Boeck, 1995,
Bruxelles
ANTOINE (J.), CORNIL (J-P.), « Lexique thématique de la comptabilité », De Boeck,
1998, Bruxelles
BRUNEEL (J.-M.), « Principes de comptabilité », Labor éducation
CAPUL (J.-Y.) & GARNIER (O.), « Dictionnaire d' Économie et de Sciences sociales »,
Hatier, Paris, 2008.
CHAMBLAY (D.), MONTOUSSE (M.), « 100 fiches pour comprendre les sciences
économiques » Bréal, 1998
CEULEMANS (M.), « Apprendre la T.V.A. » , edipro
de WASSEIGE (Y.), "Comprendre l'économie politique", Couleur livres, Bruxelles,
2005.
de WOLF (M.) , « Éléments de droit commercial », Érasme Bruylant
DEGRYSE (Ch.), « L’économie en 100 et quelques mots d’actualité », De Boeck,
Bruxelles, 2005
DESCHANEL (J.-P.), « La Bourse en clair », Ellipses, Paris, 2007
GENARD (A.), « Économie générale: Approche microéconomique », De Boeck -
Wesmael, Bruxelles, 1995.
GENARD (A.), « Économie générale: Approche macroéconomique », De Boeck -
Wesmael, Bruxelles, 1999.
Les sciences économiques modernes sont une science sociale qui étudie les problèmes de
choix décisionnels pris par les entreprises, les pouvoirs publics, les ménages dans un
univers de rareté des ressources.
L’économie est une science en ce sens qu’elle étudie scientifiquement la problématique
des choix décisionnels dans une société à partir d’une exploration systémique qui passe
aussi bien par la formulation de théories (fondées sur une série d’hypothèses) que par
l’examen de données empiriques.
Cependant, l’économie n’est pas une science exacte puisqu’il lui est impossible de
pratiquer l’expérimentation en laboratoire. En effet, les faits et les évènements
économiques décrits et analysés sont toujours des expériences uniques, car ils se
produisent dans des contextes sociaux particuliers, dans des territoires spécifiques, à un
moment donné de leur histoire.
Les apprentissages en sciences économiques sont basés essentiellement sur des
démarches de compréhension et d'analyse qui permettront aux élèves :
- de mieux comprendre les grands faits ou évènements économiques ainsi que leurs
conséquences, de les chiffrer, de les modéliser en y intégrant les aspects juridiques,
philosophiques et institutionnels,
- de prendre des décisions en connaissance de cause,
- de devenir des citoyens responsables et engagés.
Enfin, il est important pour les élèves d’apprendre, au-delà de leurs représentations
personnelles, à distinguer ce qui relève de l’économie positive (chargée de représenter,
de décrire la réalité), de ce qui relève de l’économie normative (chargée de guider la
décision des agents économiques). En effet, les théories qui résultent de l’analyse des
faits ou des évènements économiques sont toujours plus ou moins liées à une idéologie
et sont donc de ce fait biaisées.
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