II- La propagatin du message nerveux
A) La nature du message nerveux dans un neurone
le message nerveux est un message électrique au repos le
neurone à une membrane plasmique polarisé càd chargée
négativement sur sa face interne
le potentiel électrique est appelé potentiel de repos (~60 −
70mv) une stimulation franchissant un seuil déclenche un
signal électrique d’amplitude constante appelle potentiel
d’action
le message nerveux est codé en fréquence de potentiel
d’action dans les neurones
(A3 : questions p 335)
Axone grand (comme celui du calmar) permet une
meilleure facilité pour expérience et mesure
expérience 1 : émetteur électrique d’un côté d’un
neurone plus succession d’électrode sur l’axone :
- signal toujours identique pas d’atténuaqtion
- potentiel d’action : au dela du seuil amplitude est
toujours la même pas de codage en amplitude
expérience 2 : étirement muscle + mesure
- plus on étire le muscle plus la frequence est
importante codage en fréquence
B) Le passage du message nerveux d’un neurone à l’autre :
la transmission synaptique
au niveau d’un bouton synaptique un message nerveux
permet la libération de molécules dans la fente synaptique
Cette libération se fait par la fusion de vésicules synaptiques
présentes dans le cytoplasme près de la membrane
plasmique du bouton synaptique : il s’agit d’exocytose
les molécules libères sont capables de se fixer sur des
récepteurs spécifiques situés sur la membrane plasmique su
neurone post synaptique cette fixation modifie son activité
électrique permettant ainsi la création ou non d’un nouveau
message électrique
Ces molécules sont des neuromédiateurs, ce message
chimique est codé en concentration de neurotransmetteurs
dans la fente synaptique
C) Le passage du message neurone d’un motoneurone à
fibre musculaire : la synapse neuromusculaire
la commande de la contraction met en jeu le fonctionnement
d’une synapse neuromusculaire, le neuromédiateur impliqué
sont uniquement l’acétylcholine
le fonctionnement est analogue a celui d’une synapse
neuroneuronal, certaines substance chimique ou
pharmacologique peuvent perturber le fonctionnement de la
synapse neuromusculaire, c’est le cas par exemple de la
toxine bucolique ou du curare
(A4 : documents P. 336-7)
toxine bucolique :
- av stimulation + sans toxine beaucoup vésicules
- après stimulation + sans toxine moins vésicules
- après stimulation + avec toxine autant vésicules
que avant stimulation
toxine bucolique empêche exocytose
curare : inhibe exocytose car il se fixe sur les récepteurs