Mondiale, de la Commission européenne, des agences de l’eau, et, potentiellement, plus d’un
milliard de dollars d'autres types de financement (dons, subventions ou prêts) :
Un engagement financier de l’Inde pour renforcer la résilience aux changements
climatiques par l’amélioration de la gestion des eaux souterraines (5 million $ du
gouvernement indien)
Dans le bassin du Niger (9 pays africains concernés), le lancement d’un plan
d’investissement décennal pour renforcer la résilience aux changements climatiques,
avec le soutien financier de la Banque mondiale/AID (50 million $) , de l’UEMOA
(26,7 million$), de la KfW (56,25 million$), du Fonds pour l’environnement mondial
(12.5 million$) et des pays eux-mêmes (26,3 million $)
En Jordanie, au Liban, à Monaco, au Maroc, en Espagne et en Tunisie, un
engagement de 7 ans dans le cadre de la Plateforme méditerranéenne pour l’eau pour
évaluer l’état et l’évolution des ressources en eau, avec le soutien de la Commission
européenne (9 525 000€ dont 46% sécurisés pour la première phase).
Au Maroc, un projet destiné à accroître la résilience du secteur agricole par
l’amélioration des pratiques d’irrigation, avec des financements de la BIRD et du
Royaume du Maroc (185,5 million$ de la IBRD).
Au Mexique : une collaboration quadriennale pour améliorer la gestion des ressources
en eau et des services hydrologiques dans la vallée de Mexico (990 000€).
Au Pérou, en Équateur, au Brésil et en Colombie, le programme financé par la
Commission européenne « Ecocuencas », un engagement triennal en faveur d’un
mécanisme financier pour soutenir les mesures d’adaptation aux changements
climatiques dans les bassins des fleuves (2 500 000€)
En Chine, un engagement triennal en faveur de l’amélioration de la gestion du bassin
du fleuve du Hai, avec le soutien de la France (805 000€).
En Afrique centrale dans le Bassin du Congo, le lancement d’un programme de
suivi hydrologique et météorologique bénéficiant d'un financement AFD à hauteur de
500 000€. Cet engagement vise à améliorer les conditions de plus de 160 millions de
personnes des plus vulnérables.
Engagement des villes à renforcer la résilience des systèmes hydrologiques
La Coalition des mégalopoles pour l’eau et le changement climatique (MegaCities
Coalition for Water and Climate), qui regroupe 11 mégalopoles (Paris, London, Lagos,
Buenos Aires, Chicago, Tokyo, Mexico, New York, Sao Paulo, Beijing, Cairo) et 85
millions d’habitants, qui s’engagent à prendre des mesures et à mettre en place une
plate-forme d’échange de connaissances.
L’engagement financier du Groupe Banque mondiale visant à renforcer la sécurité des
systèmes hydrologiques et la résilience aux changements climatiques dans la région
côtière du Kenya, d’un montant de 300 millions de dollars.
Le lancement d’un programme de financement à hauteur de 50 millions d’euro de
l’AFD et
15 millions d'euros du gouvernement du Sénégal pour lutter contre les inondations à
Pikine dans la banlieue de Dakar. Ce projet bénéficiera à 300 000 personnes parmi les
plus vulnérables.
Les entreprises s’engagent à contrôler et réduire leur consommation d’eau (« empreinte
eau »)