e iel l r b t a dus r 1 u 1 20 te d eur in S GE sect Utilisation du plasma froid pour contrôler les odeurs de déchets dans le milieu municipal Réalisé chez : Présenté par : Cascade Renewable Carbon Corp. Douglas Lanz Air Phaser Environmental Ltd Description du projet Coûts du projet Ce projet utilise le plasma froid pour traiter de grands volumes d'air odorant ou composés organiques volatils (COV), de sorte que l'air libéré soit non odorant et respectueux de l'environnement. Dans cette application, nous traitons l'air odorant d'une installation municipale étendue de manutention de déchets afin que l'air dégagé ne soit plus odorant ou nocif pour l'environnement. Le système est capable de traiter un énorme volume d'air, typique d'opérations industrielles et municipales de grande envergure. Coût global du projet 168 000 $ Coût global dédié à l'efficacité énergétique 168 000 $ Coût final du projet 168 000 $ Le plasma dit « froid » est aussi appelé le plasma non-thermique (NTP). Il est généré en utilisant efficacement l'électricité à haute tension et haute fréquence qui libère les électrons dans les trouées d'air dans le plasma, afin que l'air dans cette gamme se transforme en plasma (électrons libres). Cette importante activité d'électrons dans l'air crée de l'oxygène, l'azote et des radicaux en vapeurs d'eau ainsi que les hydroxyles gazeux, peroxydes et autres formes d'espèces hautement ionisées. Lorsque ces radicaux de courte durée entrent en contact avec des composés odorants, ces composés sont oxydés en formes bénignes non odorantes et environnementales. Le système demande peu d'entretien et est d'une certaine façon comparable à un néon, qui est aussi un plasma non-thermique. La différence ici est que tandis que la lampe néon contient du néon dans un tube sous haute tension et haute fréquence, ce système fait passer l'air odorant à travers les plaques d'émission diélectriques catalytiques à barrière qui sont sous haute tension et fréquence, de sorte que l'air soit fortement activé pour pouvoir oxyder les COV odorants. Mesures implantées Ce projet consiste à traiter l'air provenant d'une installation qui collecte les déchets solides municipaux (DSM) qui sont essentiellement résidentiels. L'installation est une installation de compostage et l'air qui est traité par Air Phaser est l'ère de l'immeuble où le camion dépose le MSS pour être mélangé avec du bois ou autre matériel prescrit pour que le processus de compostage puisse prendre effet. Naturellement, la zone de décharge sent comme une immense poubelle et c'est cet air-là qu’Air Phaser traite. La conception Phaser Air pour ce projet prend 10 000 pieds cubes d'air par processus et n’active que ce que l'air fait passer à travers les cabinets Plasma – et injecte alors l'air pour se mélanger avec les principaux 30 000 CFM d'air de processus. De cette manière, l'ensemble de 40 000 pcm d'air de procédés odorants est traité. Ce système est une économie d’échelle, la conception industrielle qui utilise tous les composants Siemens pour les contacteurs, automate programmable (PLC), l'écran tactile et ainsi que d'autres contrôles. Tous les composants sont faits d’un standard industriel, sauf pour les propriétaires, les électrodes brevetées qui forment le champ de plasma froid. Impacts secondaires Cette technologie est adaptée pour oxyder un large éventail d'émissions de composés organiques volatiles, pas seulement l'odeur. Il y a un large éventail d'industries qui affectent l'environnement avec des émissions odorantes telles que l'emballage de viande, de la manutention (MSW), la préparation des aliments, le traitement des eaux usées et les aliments pour les animaux domestiques,pour ne donner quelques exemples. Les industries les plus prometteuses, où le gaz naturel est utilisé pour oxyder les COV émis, comprennent toutes lesvapeurs industrielles et commerciales, toutes les peintures industrielles, qui comprend aussi la peinture automobile et d'équipement. La technologie Air Phaser plasma froid pourrait être appliquée à presque toutes ces émissions au fur et à mesure du raffinement de la technologie. Impacts énergétiques Économies d’électricité Initial (F) 280 000 KWh/an Final (G) 216 000 KWh/an Économies (F-G)/F x 100 30 %