Dans la deuxième partie du XVII, au niveau musical, on voit apparaître les concerto.
même principe que l’opéra : un prince soliste (violon par exemple) accompagné par le
peuple : l’orchestre.
Au départ, il y a le concerto grosso : petit groupe de solistes qui répond à l’orchestre,
puis au début du XVIIème, le concerto se généralise avec un seul soliste (par ex les
concerto de vivaldi)
C’est encore un orchestre à géométrie variable. Essort des clavecin, violons et
violoncelles à la fin du XVIIème.
Partout en musique baroque on retrouve la basse continue.
Le Classique (à partir de 1750).
Mozart s’illustre dans tous les genres (opéra, concerto, symphonies…). Naissance de la
symphonie. Mozart compose pour le timbre des instruments. Il utilise l’orchestre par 2
(les bois vont par 2, 2 groupes de violons, 2 trompettes, 2 trombonnes, 2 corps et
introduction des timbales). Mozart écrit 41 Symphonies pour cet orchestre.
Opéras célebres de Mozart : Les noces de figaro, Cosi fan tutte, Don giovanni, Die
Zauberflötte (dernier opéra de Mozart)
Il écrit également 27 concerto pour piano (piano forte à l’époque).
La basse continue a disparu.
Dans sa sonate au clair de lune, Beethoven invente la résonnance du piano forte. ON
est au début du romantisme.
Le Romantisme (XIXème)
Chopin et Schumann (tous deux nés en 1810) La note bleue de Zulawski
à partir de 1830, Chopin développe la virtuosité du piano.
2ème partie du romantisme 1850-1883
Wagner : les opéras constituent son oeuvre principale. Il est le premier à avoir réalisé
une oeuvre d’art total. 4 opéras se suivent (tétralogie). Il y a dans ses oeuvres la
proposition d’une vie virtuelle.
Nietzsche a été façonné par les idées de Wagner puis a fini par se révolter contre lui,
enchanteur qui conduit au nihilisme, dealer d’émotions trop fortes. Il faut revenir à des
oeuvres plus joyeuses.
Après Wagner, c’est la fin du “tronc commun” et commence “l’arborescence”
On va être dans une recherche de puissance, développement des percussions, des
cuivres, orchestres plus gros.
Debussy : Le sacre du printemps en 1913.
On observe au XXème un paradoxe qui tend vers le moderne et à la fois vers le primitif,
et on obtient une sorte de sauvagerie sonore.