Partie I. Mobilisation des connaissances. 20 points. Partie I

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DST « Le domaine continental et sa dynamique 3/3 1h
Partie I. Mobilisation des connaissances. 20 points.
C’est dans le cadre de la convergence (subduction et collision) que la lithosphère continentale se forme
et s’épaissit.
Présentez, dans leurs contextes géologiques, les mécanismes conduisant à des fusions partielles dans
l’histoire d’une lithosphère continentale, et les conséquences de ces fusions.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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C’est dans le cadre de la convergence (subduction et collision) que la lithosphère continentale se forme
et s’épaissit.
Présentez, dans leurs contextes géologiques, les mécanismes conduisant à des fusions partielles dans
l’histoire d’une lithosphère continentale, et les conséquences de ces fusions.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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C’est dans le cadre de la convergence (subduction et collision) que la lithosphère continentale se forme
et s’épaissit.
Présentez, dans leurs contextes géologiques, les mécanismes conduisant à des fusions partielles dans
l’histoire d’une lithosphère continentale, et les conséquences de ces fusions.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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C’est dans le cadre de la convergence (subduction et collision) que la lithosphère continentale se forme
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Présentez, dans leurs contextes géologiques, les mécanismes conduisant à des fusions partielles dans
l’histoire d’une lithosphère continentale, et les conséquences de ces fusions.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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C’est dans le cadre de la convergence (subduction et collision) que la lithosphère continentale se forme
et s’épaissit.
Présentez, dans leurs contextes géologiques, les mécanismes conduisant à des fusions partielles dans
l’histoire d’une lithosphère continentale, et les conséquences de ces fusions.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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C’est dans le cadre de la convergence (subduction et collision) que la lithosphère continentale se forme
et s’épaissit.
Présentez, dans leurs contextes géologiques, les mécanismes conduisant à des fusions partielles dans
l’histoire d’une lithosphère continentale, et les conséquences de ces fusions.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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C’est dans le cadre de la convergence (subduction et collision) que la lithosphère continentale se forme
et s’épaissit.
Présentez, dans leurs contextes géologiques, les mécanismes conduisant à des fusions partielles dans
l’histoire d’une lithosphère continentale, et les conséquences de ces fusions.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
Contenu : entre parenthèses non exigé
Fusion partielle en contexte de subduction
- Les minéraux des roches de la LO plongeante (CO = métagabbros et/ou des métabasaltes) se déshydratent (perte des
groupements OH /hydroxyle lors du métamorphisme HP/BT (FSV avant subduction hydraté (chlorite et actinote), FSB
(glaucophane) et Eclo (jadéite, grenat) pendant subduction progressivement déshydraté).
- Cela provoque lhydratation des péridotites asthénosphériques et/ou lithosphériques de la plaque sus-jacente et
abaissement du solidus c'est-à-dire des conditions de température au-delà desquelles la fusion partielle est possible (ou
déplacement du solidus vers des températures plus basses).
- Les péridotites hydratées franchissent alors le solidus hydraté (elles ne pourraient fondre si sèches), d’où leur fusion
partielle (10 % semble une bonne valeur = 90 % reste à l’état solide !).
- Fusion partielle suivie de la formation de magmas (de composition différente de la péridotite source) qui remontent par
différence de densité vers la surface. Obtention de roches volcaniques s’ils cristallisent en surface (andésites) ; de roches
plutoniques (granitoïdes) s’ils cristallisent en profondeur.
- Ces magmas ont une composition de CC (riches en Si) : ils contribuent à la formation de la lithosphère continentale.
Aucune valeur de P, T°C, profondeur n’est exigée mais toute aberration pourra être pénalisée
Fusion partielle en contexte de formation de chaîne de montagnes
- en profondeur, à la base de la racine crustale, le métamorphisme peut se prolonger par une fusion partielle de roches
crustales ou anatexie (action de P et/ou T sous l’effet de l’épaississement crustal).
- L’anatexie est suivie d’une cristallisation de nouveaux minéraux à partir de la fraction de roche fondue : on
retrouve cela dans les migmatites. La portion de roche qui a subi la fusion partielle est de nature « granitoïde » donc
continentale. Ces magmas peuvent former de vastes formations granitiques en profondeur (et que lon retrouve en
surface dans les chaînes anciennes).
Forme
* Présence d’une introduction comprenant plusieurs (au moins deux) des parties suivantes :
- présentation générale du thème scientifique et positionnement du sujet dans ce thème
- définitions de quelques termes clé (sans anticiper sur le développement).
- formulation de problème (s) en relation directe avec le sujet posé.
- annonce du plan.
* Développement structuré, au moins par l’individualisation de paragraphes (éventuellement de phrases de liaisons). Les
titres, (non obligatoires) ou explications doivent faire référence au problème posé dans le sujet, et non à une restitution
théorique de partie du cours.
* Présence d’une conclusion.
Barème à curseur.
Synthèse réussie
(effort de mise en relation,
d'articulation, des
connaissances)
Éléments scientifiques
suffisants à complets
Rédaction et/ou schématisation correcte(s)
Rédaction et/ou schématisation maladroite
(s)
Synthèse maladroite ou
partielle
(peu de mise en relation,
d'articulation des
connaissances)
Rédaction et/ou schématisation correcte(s)
Rédaction et/ou schématisation maladroite
(s)
Éléments scientifiques
insuffisants
Rédaction et/ou schématisation correcte(s)
Rédaction et/ou schématisation maladroite
(s)
Aucune synthèse
Rédaction et/ou schématisation correcte(s)
Rédaction et/ou schématisation maladroite (s)
Pas d’éléments scientifiques (connaissances) répondant à la question traitée
Les éléments scientifiques sont considérés comme complets uniquement si les deux contextes sont
présents. Ils sont considérés comme insuffisants lorsqu’un seul des deux contextes est présent, et la
note ne peut dépasser 5/10 (tolérance à 7/10 pour votre devoir).
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Le Massif armoricain constitue le reste d’une ancienne chaîne de montagnes : dans ce massif,
actuellement de faible altitude, on peut observer en surface des roches présentes normalement dans la racine
crustale.
Présentez les mécanismes qui ont conduit à l’épaississement puis à l’amincissement crustal au cours
de l’histoire de cette chaîne de collision.
Les étapes précédant la collision au sens strict ne sont pas à traiter.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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Le Massif armoricain constitue le reste d’une ancienne chaîne de montagnes : dans ce massif,
actuellement de faible altitude, on peut observer en surface des roches présentes normalement dans la racine
crustale.
Présentez les mécanismes qui ont conduit à l’épaississement puis à l’amincissement crustal au cours
de l’histoire de cette chaîne de collision.
Les étapes précédant la collision au sens strict ne sont pas à traiter.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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Le Massif armoricain constitue le reste d’une ancienne chaîne de montagnes : dans ce massif,
actuellement de faible altitude, on peut observer en surface des roches présentes normalement dans la racine
crustale.
Présentez les mécanismes qui ont conduit à l’épaississement puis à l’amincissement crustal au cours
de l’histoire de cette chaîne de collision.
Les étapes précédant la collision au sens strict ne sont pas à traiter.
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Le Massif armoricain constitue le reste d’une ancienne chaîne de montagnes : dans ce massif,
actuellement de faible altitude, on peut observer en surface des roches présentes normalement dans la racine
crustale.
Présentez les mécanismes qui ont conduit à l’épaississement puis à l’amincissement crustal au cours
de l’histoire de cette chaîne de collision.
Les étapes précédant la collision au sens strict ne sont pas à traiter.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
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Le Massif armoricain constitue le reste d’une ancienne chaîne de montagnes : dans ce massif,
actuellement de faible altitude, on peut observer en surface des roches présentes normalement dans la racine
crustale.
Présentez les mécanismes qui ont conduit à l’épaississement puis à l’amincissement crustal au cours
de l’histoire de cette chaîne de collision.
Les étapes précédant la collision au sens strict ne sont pas à traiter.
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Le Massif armoricain constitue le reste d’une ancienne chaîne de montagnes : dans ce massif,
actuellement de faible altitude, on peut observer en surface des roches présentes normalement dans la racine
crustale.
Présentez les mécanismes qui ont conduit à l’épaississement puis à l’amincissement crustal au cours
de l’histoire de cette chaîne de collision.
Les étapes précédant la collision au sens strict ne sont pas à traiter.
L’exposé sera structuré avec une introduction et une conclusion. Un ou des schémas peuvent être
réalisés en plus du développement.
Contenu : entre parenthèses non exigé
Mécanismes qui ont conduit à la construction des reliefs.
- La collision conduit à l’épaississement de la LC (notamment de sa partie crustale).
- L’épaississement se manifeste en surface (haut-relief) et en profondeur (racine crustale jusqu’à plusieurs dizaines
de km d’épaisseur).
- Cet épaississement se fait par raccourcissement et empilement de nappes. C’est ainsi que l’on observe des
déformations cassantes (failles inverses et surfaces de chevauchements (charriages) et ductiles (plis). (notion
éventuelle de prisme d’accrétion crustal suite à la subduction continentale)
Schémas possible : pli, faille inverse, chevauchement.
Mécanismes qui ont conduit au démantèlement.
- L’érosion contribue à la disparition des reliefs. Elle se met en place concomitamment à la surrection.
- On distingue altération physique avec désagrégation des roches sous l’effet de divers facteurs (gel, dilatation
différentielle des minéraux) et altération chimique (hydrolyse par exemple) avec départ d’éléments en solution (ex.
ions) et modification de la minéralogie de la roche (perte de cohésion, apparition dargiles).
- (Les produits de démantèlement (roches, minéraux, ions) sont transportés vers l’extérieur de la chaîne par un fluide
comme l’eau. Ils sédimentent en périphérie de la chaîne (dans des bassins de sédimentation).)
- Des phénomènes tectoniques participent aussi à la disparition des reliefs. C’est le cas par exemple de failles
normales qui se produisent en cœur de chaîne lorsque la racine crustale devient importante (forces liée au poids et
poussée dArchimède inférieures aux force de compression). Si la compression cesse, la chaîne seffondre alors.
- (Un réajustement isostatique se déroule en même temps que l’érosion et fait remonter la racine crustale, conduisant
à la pénéplénation.).
Schéma possible : évolution de l’altitude d’une chaîne avec le temps, hydrolyse, altération chimique / physique, faille
normale…
Forme
* Présence d’une introduction comprenant plusieurs (au moins deux) des parties suivantes :
- présentation générale du thème scientifique et positionnement du sujet dans ce thème
- définitions de quelques termes clé (sans anticiper sur le développement).
- formulation de problème (s) en relation directe avec le sujet posé.
- annonce du plan.
* Développement structuré, au moins par l’individualisation de paragraphes (éventuellement de phrases de liaisons). Les
titres, (non obligatoires) ou explications doivent faire référence au problème posé dans le sujet, et non à une restitution
théorique de partie du cours.
* Présence d’une conclusion.
Barème à curseur.
Synthèse réussie
(effort de mise en relation,
d'articulation, des
connaissances)
Éléments scientifiques
suffisants à complets
Rédaction et/ou schématisation correcte(s)
Rédaction et/ou schématisation maladroite
(s)
Synthèse maladroite ou
partielle
(peu de mise en relation,
d'articulation des
connaissances)
Rédaction et/ou schématisation correcte(s)
Rédaction et/ou schématisation maladroite
(s)
Éléments scientifiques
insuffisants
Rédaction et/ou schématisation correcte(s)
Rédaction et/ou schématisation maladroite
(s)
Aucune synthèse
Rédaction et/ou schématisation correcte(s)
Rédaction et/ou schématisation maladroite (s)
Pas d’éléments scientifiques (connaissances) répondant à la question traitée
Les éléments scientifiques sont considérés comme complets uniquement si les deux canismes sont
présents. Ils sont considérés comme insuffisants lorsqu’un seul des deux est présent, et la note ne peut
dépasser 5/10.
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