Hommage à
George Sand
Proposé par l’équipe des
Bruits de Terroirs n°174
Renaissance
d’une femme libre
Nous revoici, pour la première soirée, celle qui nous permet de
vous parler d’une dame d’une grande dame une de nos
plus prolixes écrivains et certainement la femme la plus en vue de
son temps.
Beaucoup ont glosé sur sa vie amoureuse, et parlé notamment sur
de ses amants les plus célèbres mais d’autres, moins connus
aujourd’hui, ont jalonné et accompagné sa vie. Elle était une
femme libre, mais l’indépendance a toujours un prix; être femme
indépendante en 1825 était très difficile. Sa vie privée fut un
combat, souvent houleux et toujours douloureux elle écrivait
d’ailleurs à ce propos : « La vie est une longue blessure qui
s’endort rarement, et ne se guérit jamais. » Vous l’aurez
compris, ce soir nous rendons hommage à Amantine Aurore Lucile
Dupin, plus connue sous le nom de George Sand.
Préparation de la soirée
Nous étions pris par le temps et étions un tant soit peu en retard
dans la phase de préparation. C’était la première soirée et il faut
bien reconnaître que nous ne sommes pas encore rodés. Nous avons
mis les bouchées doubles pour rattraper le retard. Toute notre équipe
s’est donc mobilisée pour que nous soyons prêts dans les temps.
Grâce aux soutiens des deux équipes renforts les « Reds Guns » et
les « Green Arbaletes », nous avons pu finir dans les délais, mais
il faut se l’avouer, George Sand nous à mis un peu de stress.
Le décor un peu trop simpliste, convenons-en -, était posé à
l’heure et nous n’attendions plus que les clients pour débuter cet
hommage.
La soirée
Les clients commençaient à s’installer tranquillement, aux tables qui
leur étaient assignées. Nous les attendions impatiemment, afin de
pouvoir commencer notre soirée. En salle, tous les chefs de rang, la
sommelière ainsi que le maître d’hôtel et le directeur étaient
souriants, le service ne pouvait que bien se dérouler.
Les prises de commandes étaient presque terminées, nous nous
préparions mentalement au retentissement de la cloche. La salle était
confiante, les cuisines opérationnelles et la brigade de théâtre prête à
en découdre avec leurs textes.
« Papy » prit alors la sempiternelle clochette qui marquait le début
de la soirée.
LE MENU
L’amuse bouche:
Capuccino de lentille
vertes du Berry
Entrée 1:
Œuf en « couille d’âne »
Entrée 2:
Soupe à l’oseille
Plat n°1:
Croustillant de pieds de porc
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