Remerciements
scientifique mais également pour le partage de tes connaissances, tant scientifiques que touristiques
(« Ah ? On est sur Broadway ?? »). Merci pour tous ces moments très « Val d’Oise »…
Merci à vous, les filles : Sylvie (notre chère et regrettée retraitée), Christine (pour ton aide et
ta grande serviabilité), Sonia (merci Mlle Gestor, notamment pour la relecture du manuscrit et tes
petites piques quotidiennes) et Lulu (« Sors ! Sors ! » et aussi pour tout ça, tout ça)…
Merci à Danièle et les « filles du 4
ème
» Inès et Sarah, sans oublier notre conseiller
économique et journaliste politique Michel, heureux retraité depuis quelques mois.
Merci à notre jeune radiothérapeute Sébastien, alias le fraîchement diplômé Dr Guihard, mais
également aux Docteurs Joseph Abecassis, Jean-Pierre Ghnassia, Marc Wilt, tout le service
d’anatomo-pathologie et de radiothérapie du Centre Paul Strauss.
Merci enfin à Bitterwolf, Cuir-man/La Crampe, Nespresso, Kansas, CÇC, Cosette, Thierry et
Antonia et toutes autres sources de franche rigolade.
J’ai eu également la chance de faire de belles rencontres sur les bancs de la fac, au cours de mon
parcours universitaire. Merci à mes deux « potes de galère », mes deux meilleurs amis, Sarah
(rencontrée le 1
er
jour de fac de médecine) et Joël (rencontré le 1
er
jour de fac de bio). Comme quoi
les premiers jours ont du bon.
Sarah, chère biloute, ma dentiste préférée, merci pour tous ces bons moments, ces longues
soirées à discuter de tout et de rien (thèse MD vs thèse PhD), nos interrogations existentielles (ou pas),
nos « pasta-parties » dignes des meilleurs restaurants italiens, nos vacances en Italie ou outre-
Atlantique, nos traversées « musicales » de la Suisse (merci Muse !), ou encore nos « tours de
psychopathes »… Merci pour ton amitié sincère mais également pour ta compréhension dans les
moments de stress et de doute de la thèse (on se comprend ; « et le pire c’est que je le sais »).
Joël, mon cher thésard-globetrotteur, cauchemar des souriceaux outre-Rhin, roi de l’humour
souple et délicat, féru des chemins de fer et du trafic aérien ! Merci pour toutes ces années passées en
ta compagnie mais également pour ton soutien sans faille dans les pires moments. Merci pour les
nombreuses séances de révisions enneigées, les acides aminés (« Mét-Gly-Gly fait Leu », ça laisse des
traces !), les cinés, les quiches au potiron, les parties de Trivial et de Pictionnary à hurler de rire et
les discussions géographiques (« la capitale de la Jamaïque ? » : « Joinville »). Merci d’être ce que tu
es. Merci à tous les deux, vous êtes la fratrie que je n’ai jamais eue. Merci également à Benoît,
Laurent, Cécile et David.
Je tiens également à remercier les membres de ma famille : les Neufgrangeois, Bernard,
Marion et Mémé Odette, ainsi qu’une pensée particulièrement émue pour mes proches à ce jour
disparus. Mon cher Pépé Seppi, j’aurais tant voulu partager ce moment avec toi. Toi qui m’as
toujours soutenue, j’espère qu’à ce jour tu seras fier de ta petite-fille « biologue ». Merci à toi.
Maman et Papa, je vous adresse un immense merci pour tout ce que vous avez fait pour moi.
Je vous dédie cette thèse, tout ce travail, qui, sans vous, n’aurait jamais vu le jour. Vous avez été ma
force, mon soutien, mon courage durant toutes ces années. Merci pour vos sacrifices, pour votre fierté
et pour avoir toujours cru en moi. Merci d’avoir supporté mes sautes d’humeur ces derniers temps et
d’avoir subi indirectement le stress de la rédaction. Mille fois merci. Je vous aime.
(Une petite pensée également à mon compagnon poilu et ronronneur, mon fauve de canapé : Casimir,
un sévère concurrent en matière d’expérimentation sur souris)