Philosophie politique
La philosophie politique recherche le beau et le bien alors que la science politique est l’étude
des faits. La science politique s’est posée en opposition à la philosophie politique.
Avant Propos
Bibliographie
Ouvrage sur le développement historique de la philosophie politique
Histoire de la philosophie politique, Léo Strauss. Fils spirituel de Heidegger.
Histoire des Idées politiques, Manuel
Philosophie Politique, Luc Ferry
Cours familier de philosophie politique, Pierre Manent
Philosophie politique, Nicolas Tenzer
Eléments de philosophie politique, Simone Goyard-Fabre, Armand Colin
La philosophie politique aujourd’hui, Christian Delacampagne
Plan
Partie 1 : Le socle de la philosophie politique classique
Chapitre 1 : Les formes politiques
Chapitre 2 : Les régimes politiques
Chapitre 3 : Le théologico-politique
Partie 2 : Les constructions de la philosophie politique moderne
Chapitre 1 : La rupture moderne
Les deux voies de la philosophie politique moderne (Chapitres 2 et 3)
Chapitre 2 : Le courant libéral
Chapitre 3 : Le versant historiciste
Chapitre 4 : L’actualité du courant libéral
Introduction
Philosophie politique. Qu’est ce que c’est en plus de la philosophie tout court ? C’est une
complexité : il faut donc définir les différents termes avant de voir ce que produit le choc
entre ces deux termes.
Peut-on définir la politique ou le politique ?
Il faut recourir à l’étymologie. Le mot important que l’n trouve dans politique c’est polis :
Cité. Cité est un mot qui n’est pas moderne, qui n’est plus actuel. C’est un terme qui ne
correspond à rien au niveau constitutionnel. Renvoie à une expérience politique particulière,
celle de l’Antiquité. La Cité Antique est une forme politique parmi d’autres. On utilise une
forme qui n’existe plus. Quand on parle de philosophie, on parle d’une façon de faire de la
politique qui ne ressemble pas à ce qui se passe aujourd’hui. Sorte d’Age d’Or de la politique.
Façon de faire de la politique plus proche des gens.
Le genre.
La politique. Renvoie à un art. La définition du mot art n'est pas simple à trouver. On
en a une idée partielle lorsqu'on évoque les beaux arts. L’idée de départ est de produire
du beau, du bien. La politique est-elle un bel art ? A-t-elle pour but le bien ?
Du politique, le politique. Un homme, celui qui fait de la politique. C’est aussi la
façon de penser la politique.
Cette ambiguïté est exprimée par Platon dans la République. Le politique est à la fois un
pasteur (au sens berger : celui qui conduit le troupeau) mais surtout un tisserand (l’Homme
qui va aider à faire tenir ensemble le tissu social).
Peut-on alors parler de science politique ? Science politique et philosophie politique seraient-
ils synonymes ? Faut-il écrire science politique au pluriel ou au singulier.
Si on écrit sciences politiques au pluriel, ce sont toutes les sciences les plus diverses qui vont
toucher, à un moment ou un autre, la politique : Histoire, Géographie politique, humaine
(Tableau politique de la France de l’ouest, André Siegfried). Existe t il une science
politique ? Les auteurs de la modernité ont peut être crée une autre discipline.
Quelles sont les relations entre ces deux matières ? Elles s’enracinent dans cette rupture de la
modernité.
Quelle est la bonne méthode pour penser le politique ? En cherchant, en observant à
partir de l’expérience ou doit elle être pensée à partir d’une idée ?
A quoi sert la politique ? Sert-elle élever l’Homme, à le forger, l’améliorer, le rendre
sage ou sert-elle permettre à l’Homme de conquérir et garder le pouvoir ?
Machiavel : S’intéresse à comment conquérir le pouvoir et le garder. Mais comment s’exerce
le pouvoir ? Machiavel ne s’y intéresse pas.
Est-ce un art, une technique ou une sagesse, une connaissance ?
Y a-t-il un ordre dans la diversité des expériences, des régimes ?
Faut-il bâtir des théories des régimes politiques ?
Quelle relation y a-t-il entre la théorie et l’action politique ?
Quelle relation entre la philosophie politique et l’Histoire ?
Platon, Dégénérescence des régimes. Vision des Anciens majoritairement cyclique.
Peut-on définir la philosophie ?
De quelle sagesse s’agit-il lorsqu’on parle de philosophie ? Les philosophes oscillent entre
deux types de sagesses différentes.
La sagesse vécue. Celui qui incarne dans sa vie personnelle les éléments
intellectuels de la sagesse à laquelle il est parvenu.
Philosophe à qui on ne demande pas de montrer dans sa vie de tous les jours de
vivre comme il pense. Vie pas en accord avec la pensée qu’il défend.
Question de savoir est née a philosophie ? En de nombreux endroits. On ne sait pas à
quelle riode. Dans les mondes non méditerranéens, il est certain que des courants
philosophiques sont nés. La philosophie n’est donc probablement pas née en Grèce mais si
celle qui nous marque vient bien de là. La naissance de la philosophie en Grèce, au VII avant
JC ne sont ils pas allés chercher leur art ailleurs ?? On ne sait pas. Les questions de
philosophie politique vont mettre du temps à se poser. Les premières philosophies vont être
des philosophies de la nature. Sont nées à partir de questions que posait la nature. La première
philosophie a été ainsi une physique (pourquoi les marées, le tonnerre, pourquoi le jour
succède t-il à la nuit, …) A partir du moment on découvre ces phénomènes naturels, la
physique acquière une autonomie par rapport à la philosophie. Mais il y a encore une façon de
réunir par le haut la physique et la philosophie : l’astrophysique. La physique moderne est
capable de remonter jusqu’à un millième de seconde avant le big-bang. C’est un point de
contact entre les deux disciplines. L’espace qui se trouve derrière ce rideau devant lequel
butte le physicien est occupé par le philosophe.
Question de l’un et de multiple ? Comment se fait-il que je suis moi alors que j’ai été gamin et
que je serai vieillard ? Quoi de commun entre les trois ? Rien entre le fait d’être.
Les premières questions ne sont pas des questions de philosophie politique.
Les sophistes.
Ce courant de pensée, si on se reporte à l’étymologie, on retrouve sophos, sage donc c’est de
la même famille que les philosophes. Mais le suffixe « iste » implique l’idée que les sophistes
enseignaient une sagesse pratique. Professeurs plus ou moins itinérants qui enseignaient,
contre argent, aux jeunes gens de bonne famille à bien parler pour bien convaincre dans
l’assemblée les citoyens de voter pour eux. L’hériter type du sophiste d’aujourd’hui est l’IEP.
Côté un peu éloigné de la vérité.
PROTAGORAS : L’Homme est la mesure de toute chose. Il n’existe pas un bien qui permet
de juger de la qualité des choses.
SOCRATE. Socrate lui même est une question. Qui était-il ?
Auteur de Comédie : Aristophane. Met en scène une comédie, Les Nuées, dans laquelle le
personnage de Socrate est dans la pièce. Il était donc un personnage assez fascinant. Il le place
dans une nacelle soulevée au dessus du ciel et on le voit qui discourt. Aristophane ne voit pas
de différence entre Socrate et les autres sophistes.
Deux autres portraits de Socrate fait par deux de ses élèves : Platon et Xénophon. Vies
contrastée auprès de Socrate. Xénophane est resté moins longtemps auprès de Socrate et s’est
engagée comme mercenaire en Asie mineure au service du roi de Perse.
Platon : vénération pour son maître. Il nous dépeint Socrate comme un philosophe qui en
réaction contre les sophistes et leur relativisme va fonder une doctrine de philosophie morale
et politique qui va avant tout recherche le beau, le bien et le vrai. On retient beaucoup le
personnage de Socrate dépeint par lui. Presque toutes les œuvres de Platon mettent Socrate en
scène. Ce Socrate prend le contre prend des sophistes chez Platon. L’enseignement ne doit pas
se monnayer pour Socrate. La bonne méthode n’est pas de leur imposer un savoir mais de les
amener par un jeu de question à découvrir eux même la vérité. Pousser quelqu’un à accoucher
d’une vérité qu’il porte en lui.
Plus que les sophistes ont fondé la rhétorique, Socrate est le fondateur de la philosophe
morale. La philosophie morale concerne le sujet. Socrate est considéré comme celui par lequel
le malheur est arrivé. Il est rentré en guerre cotre les sophistes et contre leurs élèves. Cette
façon de faire de la politique (rhétorique) est inacceptable pour Socrate : conquérir le pouvoir
par ce moyen et simplement pour le conserver et non pour le bien de l’Homme est
inacceptable.
Arendt : Partage avec Heidegger cette critique de la modernité sous l’angle métaphysique
qu’il a été amené à faire. N’est pas la seule à faire cette critique. Léo Strauss et Arendt ont
choisi de faire de la philosophie politique plus que de la métaphysique.
Strauss dit la modernité a échoué sans doute parce que les fondamentaux de la philosophie
politique moderne étaient sophistiques par ce que la philosophie politique a perdu le guide
que constituait le beau, le bien. Cette perte du repère du bien en politique est sophistique.
Quel lien entre les sophistes et les philosophes de la modernité ? La racine de la philosophie
politique moderne on trouve Machiavel. Il s‘intéresse à la vie politique uniquement sous
l’angle de la conquête et la conservation du pouvoir et non sous l’angle de la bonne gestion
du peuple. Il a bannit la question du bien en politique. La recherche du bien est indifférente à
la politique.
Arendt fait une analyse différente des remèdes a apporté à la crise de la modernité. Le
problème fondamental réside dans le fait que Platon a délibérément laissé s’ouvrir un abîme
entre le philosophe et la politique. Dans cet abîme, il y a d’une part le choc qu’a représenté
pour lui la condamnation à mort de Socrate et d’autre part le fait que Platon a pensé qui
pourrait être un bon politique (histoire de famille). Toutes ses tentatives pour faire de la
politique ont échoué. La crise de la modernité ne réside pas dans le sophisme (comme le
pense Strauss) mais dans cette cassure entre la philosophie et le politique. Il faut donc inventé
une nouvelle philosophie politique.
A partir de Socrate et de Platon, la philosophie tout court, et philosophie politique en
particulier se sont réparties en plusieurs écoles qui ont dominé l’Antiquité. Toutes se
réclament de Platon. Aboutissent à des conclusions diamétralement opposées
Trois directions explorées par des écoles
Tentative d’approfondir le courant ouvert par Platon et Socrate. Courant illustrer par
Aristote, élève de Platon. Beaucoup plus attaché à l’étude de la réalité, aux
considérations empiriques du réel. Il a orienté la philosophie politique dans un sens
plus réaliste. Renouveau à l’époque romaine au II siècle après JC. Ecole néo
platoniste. Porfire proposera la création d’une cité platonicienne et reprendra l’illusion
platonicienne de construire une cité de papier. Ces courants fusionneront dans le
courant de Saint Thomas d’Aquin
Courant qui propose dans une lecture de Socrate de se désintéresser de la politique.
Retrait par rapport à la politique. La première école qui propose se retrait est l’école
cynique. Tout tourner en dérision. Retrait pour purger l’homme de tous les artifices de
la société. Ce la aboutit à un refus de la politique. La seconde école est l’école
épicurienne. Morale du plaisir. Le seul moyen pour l’homme de se libérer des
frayeurs qu’il tire de l’enfance et la croyance en différents dieux est de chercher le
plaisir. Analyse des plaisirs utiles nécessaires, ….
Le courant stoïcien qui naît plus tard et s’inscrit dans la tradition Socrate et
platonicienne mais aboutit à des conclusions différentes. Héritiers des physiciens et
sont très sensibles à la notion d’ordre du monde. Ce seront les premiers cosmopolites,
citoyens du monde. Pour que le monde tourne, il faut bien même si c’est fâcheux, qu’il
y ait de la politique. L’homme philosophe doit accepter, même au prix de sa
philosophie et de son bonheur, se mettre au service de la cité.
A quoi sert la philosophie ?
On ne peut pas donner de réponse à cette question. Il y a tout de même quelques pistes.
La philosophie doit servir à fonder le savoir. Qu’est ce qu’elle peut apporter à cette
question. Elle doit d’abord aider à séparer le savoir de tout ce qui est incertain. Qu’est
ce qui est incertain ?
o Le domaine des perceptions du sensible. On croit percevoir quelque chose
mais en est on vraiment sur ?
o L’opinion, la doxa. Les philosophes doivent se battre contre l’opinion. Des
opinions ne font pas la vérité, le savoir. C’est la différence fondamentale entre
ce qui relève de la philosophie et ce qui n’en relève pas. C’est difficile dans le
domaine des sciences humaines. On n’est jamais sur de rien, notamment dans
le politique. La vérité : a t- on le droit de dire qu’on ne peut pas penser telle ou
telle chose ? La philosophie aide faire le partage entre ce qui relève de la doxa
et ce qui n’en relève pas, entre l’opinion et la véritable démarche de pensée. Ce
la rappelle le mythe de la caverne de Platon. Ce mythe se résout avec celui qui
est arraché au monde de la caverne et est ébloui par le ciel pur des idées et se
retrouve face à un choix : est ce que je garde cette lumière pour moi et est ce
que retourne dans la caverne pour expliquer ce qui se passe aux autres. C’est
une véritable question politique.
La philosophie dont constituer une mémoire. Permettre des liens entre le passé et le
présent. Histoire de la pensée est une gigantesque généalogie. Il y a des rois et des
pendus. Les penseurs cachent au maximum les pendus, les influences dont on se
passerait. L’art pouvait servir à faire le line entre le passé et le présent. Mais il y a des
violentes ruptures dans l’art. Il n’est pas le mieux à même pour faire ça. On peut
penser aux religions (religere : relier les hommes entre eux). Mais le statut de ce qui
relie avec la religion les hommes entre eux : les croyances. On peut demander ça à la
politique. Il est possible qu’elle le fasse par certains aspects mais fondamentalement la
politique reste une technique. C’est une technique qui aujourd’hui subit la tyrannie de
l’information, du quotidien, de l’immédiat. La philosophie a cette chose en plus : elle
permet de constituer une mémoire
La philosophie doit constituer un écart. Elle doit fonder la vérité ce qui est
insupportable pour les autres disciplines. Elle a cette capacité de permettre de prendre
un certain recul par rapport aux opinions, au présent, ….c’est en cela qu’elle est
fondatrice. Elle permet cet écart qui lui seul permet de tracer un chemin vers la vérité
La philosophie doit ouvrir les chemins.
Qu’est ce que la philosophie politique ?
Léo Strauss, Qu’est ce que la philosophie politique. Pour faire de la philosophie politique,
Strauss dit qu’il faut se garder de deux écueils : le chemin de la philosophe politique est fait
de deux écueils
1er écueil : Considérer la philosophie politique comme une branche parmi d’autres de
la philosophie qui serait à la base unie à toutes les autres branches par quelque chose.
C’est un écueil car il a un grand décalage entre l’histoire de la philosophie politique et
celle de a philosophie nérale. Les deux sont nées sur un terreau commun avec une
généalogie mais il y a un écart entre les deux. On le sent car ce ne sont pas forcément
les mêmes hommes qui travaillent à cela. Il y a des philosophes qui ont fait les deux,
notamment les grecs. Il ya aussi des gens qui ne sont pas philosophes et qui ont fait de
la philosophie politique. A l’origine, Montesquieu se décrivait comme juriste et non
comme philosophe. Les problèmes de la philosophie politique lui sont donnés par la
vie en société. Son objet est l’homme non pas comme u être mais comme un animal
politique.
2nd écueil. Voie dans la philosophie politique une simple mise en forme des idées
politiques.
L’originalité de la philosophie politique est ce rapport absolument nécessaire mais en même
temps infiniment problématique entre les opinions et les circonstances réelles de la vie
politique. Le problème de la philosophie politique est la tension permanente entre le
philosophe politique et la société. Cette tension est enrichissante mais aussi mortifère.
L’exemple même en est Socrate. A donner des leçons à tout me monde, il a été condamné à
mort. Arendt appelle donc à une nouvelle philosophie avant Socrate pour éviter cette tension.
Arendt essayait de résoudre la tension entre philosophie et philosophie politique par un
voyage dans le temps qui remontrait avant la mort de Socrate. En opposition à cette vision,
Strauss, bien qu’issu du même milieu intellectuel pense qu’i faut revenir aux antiques parce
que la philosophie moderne a échoué. Plan de cours qui oppose une philosophie classique à
une philosophie moderne. Vision manichéenne entre ces deux philosophies. Ferry pense qu’il
faut relire les modernes et corriger les erreurs de la modernité. La position du prof n’est pas
encore arrêtée même s’il retient l’opposition de Strauss.
Opposition entre philosophie classique et moderne. Vraie rupture dans la pensée à la sortie du
moyen Age qui a signé la naissance de la philosophie politique moderne. On peut avec
Strauss l’adapté à Machiavel. Cela tendrai à faire naitre la modernité de la philosophie
politique (Machiavel) serait antérieure à la philosophie moderne tout court (Descartes).
Philosophie politique classique. Il y a en apparence une unanimité. Mais elle cache un vrai
débat en -450, débat qui oppose Socrate avec les sophistes. L’enjeu est de savoir si la
politique est un art ou une technique. Les sophistes répondaient que c’était une technique. La
politique s’apprend. Le but est de gagner. La part du beau, du bien, du vrai et insignifiante. Ce
qui compte est de convaincre. Ce qui est important c’est l’homme. L’homme est la mesure de
toute chose.
A côté de cas, une seconde Ecole, l’Ecole socratique, s’oppose. Socrate considère que la
politique n’est pas une technique, c’est un art. On l’apprend peut être mais on ne l’apprend
pas comme les sophistes apprenaient la technique (bien parler, rhétorique). Socrate n’enseigne
pas une technique pour séduire et tromper. Il enseigne à ce que chaque personne trouve par
elle-même, par les questions qu’on lui pose, le chemin du vrai du beau et du bien, le chemin
de la vérité. Il fait du beau, du bien et du vrai, le point cardinal de la vie politique. L’Ecole
sophistique était de loin la plus forte. On décrivait ainsi Socrate comme quelqu’un
d’insignifiant. La maïeutique : on fait accoucher la vérité. Socrate remet moins l’homme au
cœur de la politique. Il s’intéresse à l’homme mais en philosophie politique, il considère que
ce n’est pas l’homme (le mot individu est moderne) qui va être la mesure de toute chose. Le
beau, le bien et le vrai vont pouvoir se réaliser par des synergies qui se réalisent dans la Cité.
En politique, cette recherche ne peut se faire qu’au travers de la cité. Sinon on réveille des
égoïsmes (un tel va vouloir le pouvoir pour lui). Quand on étudie la philosophie politique
classique, on a l’impression d’un silence assourdissant de la part des sophistes. Ce n’est pas
un débat énorme. Les socratiques ont fini par gagner malgré la mort de Socrate. Mais ce n’est
qu’un échec dans la vie de Socrate. Grâce à Platon qui fait l’apologie de Socrate, ils ont fini
par gagner. On connait Socrate mais peu les noms des sophistes. Mais l’idée que la scène de
la philosophie politique classique a été un combat entre ces deux conceptions.
La philosophie politique moderne. Les enjeux sont radicalement différents. Mais on peut voir
des similitudes avec le premier débat. La modernité scientifique. L’homme va finir par
comprendre tous les phénomènes de l’univers et les maitriser et ce par le progrès.
En philosophie politique, les enjeux de la modernité sont
Le fait de comprendre l’humanité de l’homme comme la faculté de se détacher de
toute appartenance et de focaliser sur l’individu. (l’originalité de Hobbes et de Locke
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