La lumière, de l’écran à l’œil
ONISEP/Pro2science/La lumière, de l’écran à l’oeil 3
Une zone de la rétine est dépourvue de photorécepteurs : c’est la tache aveugle.
La vision centrale se fait grâce aux cônes alors que la vision périphérique se fait par les
bâtonnets.
Des anomalies des pigments rétiniens se traduisent par des perturbations de la vision des
couleurs (ex : daltonisme).
Le message nerveux issu de l’œil est acheminé au cerveau par le nerf optique.
II- Risques associés à la lumière bleue :
a/ Sachant que le cristallin des enfants jusqu’à l’âge de 8-10 ans n’absorbe pas les rayonnements de
courtes longueurs d’onde, préciser quelle couleur peut être à l’origine des lésions.
Réponse attendue : longueur d’onde dans le bleu.
b/ Le procédé de fabrication le plus utilisé, car le plus simple et le moins cher, consiste à associer une
diode bleue à un phosphore jaune. «Or, ces diodes émettent une plus forte proportion de lumière
bleue que la lumière naturelle, pouvant conduire à une réaction chimique nocive pour la rétine».
Indiquer quelles sont les utilisations des diodes bleues dans la vie courante.
Réponse attendue : écran TV, éclairages, nombreuses utilisations…
c/ Ce phénomène nocif, le blue light hazard, peut entraîner un vieillissement prématuré de l’œil,
favorisant la dégénérescence maculaire (DMLA) ou pouvant l’aggraver. Cela suite à une exposition de
niveau faible et répétée à cette lumière bleue, ou lors d’une exposition ponctuelle et intense.
Rechercher quels métiers peuvent être exposés à ce danger.
Rechercher quel(s) métier(s) peut (peuvent) être en rapport avec les traitements de ce type
de lésions sur la rétine.
Réponses attendues :
1er lien métier : électriciens, éclairagistes, gens du spectacle, chirurgiens, etc.
2ème lien métier : ophtalmologiste