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de chercheurs formidables : Sharon Peperkamp, Franck Ramus, Sid Kouider, Charlotte
Jacquemot n’ont jamais été avares de conseils et d’idées, et c’est ce qui fait la richesse
des réunions du LSCP.
J’aimerais remercier aussi tous les (anciens) étudiants du laboratoire. Un merci tout
particulier à Teodora, pour ses conseils éclairés sur les potentiels évoqués mais aussi sur
la vie en général et pour tout ce que nous avons partagé, et puis bien sûr à Séverine,
Rozenn, Inga, Gayaneh, Caroline, Emmanuel, Thomas et les autres. Nous pouvons
compter les uns sur les autres…et ça compte !
Le LSCP, c’est aussi Sylvie, sans qui rien ne serait possible : on ne teste pas sans
bébés ! Je la remercie infiniment pour sa bonne humeur, son aide, et les joies partagées
du test à la maternité ! Et puis merci infiniment à Michel, dont la patience stoïque face à
mes demandes sans cesse renouvelées de programmes tarabiscotés et d’aide
informatique constitue un exploit. Enfin merci à Anne-Caroline, qui a toujours attaqué
une « journée bébé » avec bonne humeur et efficacité.
Ce laboratoire m’a aussi permis de rencontrer d’extraordinaires chercheurs
étrangers. Thanks so much to Jeff lidz, without whom a whole part of this thesis would
not exist. Jeff has been a wonderful advisor when he was at the LSCP and a great
scientist to work with all along. Thanks also to Sandy Waxman, who was kind enough
to welcome me and trust me for collaborating, with the great and joyful spirit she has. I
also thank Jim Morgan, Susan Carey, Jesse Snedeker, Janet Pierhumbert, Janet Fodor
and David Poeppel for welcoming me and/or sharing their thoughts with me about their
work and mine. It has been very constructive and challenging.
Enfin, last but not least, merci infiniment aux sujets, aux enfants et à leurs parents
pour avoir donné de leur temps et de leur énergie pour rendre cette recherche possible.
Il y a une vie hors du labo, et la mienne aurait été bien moins complète si je n’avais
pu compter sur ma famille et mes amis. J’ai la chance d’avoir une famille qui me
soutient et qui m’aime. Vous m’avez toujours laissée aller là où mon cœur (et ma tête)
me portaient, en m’accompagnant du mieux que vous le pouviez. Alors merci à ma
mère de m’avoir toujours dit que je pouvais aller au bout de mes rêves, à mon père de
m’avoir enseigné le courage de faire face, et à ma grand-mère dont les histoires de
molécules ont bercé mon enfance, et sans qui, sans doute, je n’aurais pas suivi le
chemin de la science. C’est à elle que je dédie cette thèse. Merci aussi à tous ceux sur
qui j’ai pu compter pour partager les bonheurs et les doutes : les anciens de l’ENS Lyon,