La tragédie du monde, c’est précisément
l’inadaptation de l’homme à ce rythme vital qui ne
se mesure pas au battement de son propre cœur,
mais à la rotation vertigineuse des turbines, et
d’ailleurs s’accélère sans cesse... L’Homme
moderne, même au prix de contorsions effroyables,
ne réussit plus à garder son équilibre sur cette boule
enragée.
BERNANOS.
Quelle triste époque que celle où il est plus
difficile de briser un préjugé qu’un atome !
EINSTEIN.
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