Examples de langue 11/10/2007 Examples des interjections avec

Examples de langue 11/10/2007
Examples des interjections avec diverses fonctions (Schéma Jacobson)
Vingt dieux!
Adjectif numeral cardinal + substantif Interjection avec une fonction émotive
Tu sais…. Injection avec une fonction phatique
C bon pr 2n1 Interjection avec une fonction referentielle
Je te le jure!
1°personne au singulier; présent de l’indicatif
acte individuel d’engagement
Quand dire, c’est fait
Interjection avec une fonction conative
Ca alors! Interjection avec une fonction emotive
Je t’aime le lundi, le mardi et le mercredi
aussi. Interjection avec une fonction poetique
Examples des sytagmes différentes tirés du texte “une dispute dans la coulisse”
Z.1 Tant d’ axiétés
Determinant adverbial + substantif Syntagme
nominal Groupe des mots à base d’un nom
Z.3 Mais le troisième jour Syntagme avec un
adjectif numéral
ordinal
Z.4 Une brise délicieuse Syntagme avec
adjectif postposé Anteposition: augumentation de
l’expressivité d’un mot (grande valeur
stylistique)
Z.6 Un oiseau qui essayait
d’apprendre la
musique
Proposition
relative adjective Melomane
Un peuple qui aime la paix (adjectiv)
Qui dort, dîne. (substantif)
Z.23 Pendant le dîner du
soir Syntagme avec un
verbe substantivé Diner le soi = dîner du soir
Rendez-vous là = Rendez-vous
Examples tirés de L’enigme 25/10/2007
1° Le fait de remplacer, dans une phrase, un élément par un autre, afin de déterminer,
par exemple, à quelle partie du discours cet élément appartient, se nomme une
communication sur l’axe paradigmatique.
La communication se trouve toujours sur l’axe syntagmatique (in presentia, axe horizontale)
car le caractère des éléments de discours est irreversible: On peut pronocés les éléments que
l’un après l’autre.
Alors le fait de remplacer dans une phrase un élément par un autre se trouve sur l’axe
paradigmatique (in absentia, axe verticale): On peut pronocés des choses ramplacées pas en
même temps que l’élément à sa place.
Ex: Le facteur distrue le corrier à neuf heures.
Le facteur distrue le corrier à onze heures.
2°Ce guitariste joue faux: Faux est un adverbe car il explique le verbe donné
3° L’adjectif est pourvu d’une incidence externe du premier dégré
L’incidence après Gustave Guillaume est une propriété sémantique dans le discours
Cette pauvre femme souffre beaucoup
Femme: est un élément autoincident (il renvoie à rien d’autre que “femme”)
Interne = Femme est interne car c’est le substantif autoincident de la phrase
Nulle = serait un élément qui se dit de rien d’autre
Externe du premier dégré = pauvre et souffre: Les deux revoient directement à femme
Cette pauvre femme souffre beaucoup
Externe du deuxième dégré = beaucoup: Se dit de femme et de souffre
Cette pauvre femme souffre beaucoup
4°Le déterminant, le préposition, la conjonction et le pronom sont des parties du
discours non prédicatives car ils n’ont pas de matière notionelle
Le déterminant adjectif démonstratif = cette
la préposition= avec
la conjonction = et
le pronom = il
prediquer = assigner (donner un signe) une matière notionelle à une forme linguistique
non-predicatif = semantiquement vide
predicatif = semantiquement plein
Ex. Un chat = chat: matière linguistique + matière notionelle = revoi à une idée
un: reduit à une simple forme linguistique = simple outil grammatical
5°Dans l’analyse en constituants immédiats de la phrase “Il a emprunté la voiture de son
oncle”, le groupe voiture de son oncle est un membre nominal
Voiture de son oncle est un membre nominal car l’article manque; La voiture de son oncle
serait alors un syntagme
6°Dans la phrase “Nous l’avons vu tomber du bateau”, du bateau doit être analysé
comme un syntagme prepositionel (SP) complément du verbe ou de la phrase, selon le
sens donné à celle-ci.
Le verbe tomber demande toujours une explication du circumstant, alors on implique deux
situations donnés dans cette phrase
1° On ètait dans la rue et on a vu de loin qqn tomber d’un bateau.
2° On était sur le bateau et on a vue qqn tomber quelque part.
= La phrase donnée est ambigue
7°Dans la phrase “Il est allé à Paris pendant les vacances”, à Paris doit être analysé
comme un syntagme prepositionel (SP) complément du verbe
Le verbe aller demande toujours une explication du circumstance de l’espace, alors à Paris
doit avoir une fonction complementaire au verbe aller.
8° Dans la phrase “Il est allé à Paris pendant les vacances”, pendant les vacances doit
être analysé comme un syntagme prepositionel (SP) complément du verbe ou de la
phrase, selon le sens donné à celle-ci.
Pendant les vacances doit être considéré comme un ajout phrastique.
Dans la phrase “A Paris, il a visité le musée du Louvre”, à Paris doit être analysé
comme un syntagme prepositionel (SP) complément du nom.
A Paris est considéré que comme un syntagme prepositionel complement du nom, même si
linguistiquement on devrait ajouter le complement de la phrase à cause de l’effet de société
que le musée du Louvre peut se trouver qu’à Paris.
10° Dans le proverbe “Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras”, un est un déterminant
indéfini.
Un numéral est toujour un déterminant indéfini
11° Dans le proverbe „La faim chasse le loup hors du bois“, du est un article défini
contracté
Chasser qqn de quelque part = article défini contracté
Boire qqch = partitif
12° Dans le vers “Ai-je besoin du sang des boucs et des génisses“, du est un article
définicontracté.
Avoir besoin de qqch = article défini contracté
13° Dans le proverbe „Tout est bien qui finit bien“, tout est un pronom.
19° Dans le proverbe „Loin des yeux, loin du coeur“, des est un article défini contracté
Les différents niveaux de la langue 9/11/2007
Les 4 niveaux linguistique s en francais
1° Le niveau soutenu
2° Le niveau moyen
3° Le niveau populaire
4° Le niveau vulgaire
1° Le niveau soutenu Cet individu, au visage quelque peu vieilli, m’incommode.
Peronne qui a un visage rendre mal à l’aise/
me dérange
2° Le niveau moyen Cette personne qui a le visage un peu ridé me dérange
Type qu’a me soule/m’embête
3° Le niveau populaire Ce type qu’a un visage un peu ridé là, il me soule.
Pepère/ une guelle me les casse/me gonfle
schnoc
4° Le niveau vulgaire Ce vieux schnoc qui a la guelle decrepisse me les casse.
1° Le niveau soutenu Véhicule Partir
2° Le niveau moyen Voiture S’en aller
3° Le niveau populaire Bagnole Filer
4° Le niveau vulgaire caisse Se tirer, se casser, se barrer
Facteurs qui provoquent l’hierarchisation
1° Les différents niveaux de l’abstraction
2° Le sens figuratif
Fautes des appretisseurs des langues
Ils melangent inconciement les différents niveaux de langue qui sont normalement
incompatibles (introdruité)
“Bonjours M. Le Professeur, ca gaze?”
Définitions de la langue ????
1° L’expression “acquisition de le langage” est elle problematique en linguistique?
Oui, car le langage est innée, inscrite dans le code génétique.La langue c’est alors une faculté
cognitive. On peut seulement dire qu’on a fait une “acquisition des langues” car le langues
sont à apprendre car elles sont considérées comme les mutiples facons de prononciation.
2° Pourquoi les langues sont-elles différentes?
Les langues naissent dans des endroits différents.
3° Le terme „langage humain“ est-il redondant?
L’homme pense que la langue est sa propriété car il est la seule espece qui peut s’articuler,
mais cela est speculatif.
4° Le terme “langage” est une problematique intrasegment francaise-pourquoi?
Dans la conception francaise, le terme revoie à une chose identifiable. Le mot est sinon
polysemique dans les autres langues.
5° Quelle est la définition de la langue “phonologiquement”?
La langue est un système des phonemes oú ces derniers se combinent entre eux pour former
les unités de sens.
6° Un seul phonem peut conditionner le choix des différents modes verbaux.
J’aurais (Indicatif) [e]
J’aurais (Conditionel) [E]
J’aurai recu (Futur antérieur) [e]
J’aurais recu (Conditionel II) [E]
Les modalités de la phrase 05/12/2007
Deux analyses de modalités de la phrase pour prouver qu’une modalité peut en cacher une
autre.
a) Analyse superficielle
Intonation
L’ordre des mots
Ponctuation
b) Analyse profonde
Modalités sous-jacents (non-visibles de l’extérieur)
1° Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre?
a) Interroagtion partielle portant sur le COD > Qu’est-ce que = pronom interrogatif
b) modalité injonctive > “Arrête!”
modalité assertive > “Tu dis des bêtises!”
2° Tu veux ma photo?
a) interrogation totale > absence d’inversion sujet verbe
b) modalité injonctive > “Arrête de me regarder!”
Phrase immable = phrase qu ne peut pas changer l’ordre des mots si on veut garder la
modalité
3° Tu ne cloneras point
a) modalité declarative > mode de l’indicatif + l’ordre de l’assertion (tu ne…)
b) modalité injonctive > Futur souligne la puissance rhetorique de la phrase
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