5 1 L’Homme face aux risques géologiques L’identification du risque géologique Capacités du programme – Recenser et organiser des informations pour apprécier l’aléa sismique ou volcanique – Présenter ces informations sous une forme appropriée. Conseils et suggestions – Ce chapitre vise à sensibiliser les élèves à la notion de risque géologique et aux moyens employés par l’Homme pour en limiter les conséquences. La recherche d’information sur des catastrophes géologiques récentes, largement évoquées par les médias, semble un bon point d’entrée dans ce chapitre. La comparaison du contenu de l’information permet d’exercer un esprit critique sur les différents traitements médiatiques des catastrophes. – La p. 201 permet d’associer la notion de risque et de catastrophe géologique à celle d’éducation et de prévention. – L’unité 1 est consacrée à la définition et à l’identification du risque géologique. – Le doc. 1 permet d’établir le risque géologique comme association de l’aléa et de l’enjeu. Une série de schémas est l’occasion d’une première application de cette définition dans le cadre d’une comparaison. – Le doc. 2 propose une identification des principales zones à risque géologique en Europe : il s’agit de relever et de mettre en relation les informations apportées par le document afin d’estimer le risque et de s’interroger sur les mesures à prendre. Cette étude permet de réinvestir les connaissances du chapitre 3 sur la répartition des séismes et des volcans à la surface de la Terre. Il serait judicieux de l’accompagner d’une recherche documentaire sur les séismes récents dans les zones à fort aléa sismique et/ou sur les dernières éruptions en Europe (voir l’atelier B2i p. 210, qui servira aussi à illustrer le risque associé à la Soufrière). La notion de temps géologique peut ainsi être abordée : les volcans actifs aujourd’hui ne sont pas les seuls volcans potentiellement dangereux (on peut citer les volcans de la chaîne des Puys en Auvergne, qui sont considérés comme actifs). – Le doc. 3 propose une étude comparative du risque géologique à la Guadeloupe et à la Réunion. L’aléa volcanique est associé au type éruptif (explosif ou effusif), en lien avec le chapitre 2. L’impact humain est envisagé du point de vue historique et démographique. 58 (pp. 202-203 du manuel de l’élève) Compétences mises en œuvre dans l’unité – Comprendre et définir le risque géologique (doc. 1). – S’informer sur l’aléa et l’enjeu géologiques afin d’identifier les zones à risque (doc. 2, 3 et 4). – Établir une comparaison du risque sismique de différentes régions (doc. 2 et 3). Exploitation des documents par les activités 1 Doc. 1 (Mettre en relation des informations, proposer une représentation adaptée). Village Aléa Enjeu Risque : combinaison de l’aléa et de l’enjeu A Fort Fort Très important B Fort Moyen Important C Faible Moyen Faible D Fort Moyen Fort 2 Doc. 2 (…xtraire les informations d’une carte, établir une comparaison). • Les zones les plus exposées à l’aléa sismique sont les chaînes de montagnes : Alpes, Pyrénées, Balkans et les côtes méditerranéennes. L’aléa est particulièrement fort en Italie, en Grèce et en Turquie. L’Italie et le sud de la Grèce sont des zones présentant des volcans actifs aujourd’hui : l’aléa volcanique est donc fort dans ces deux zones. L’aléa sismique et volcanique est particulièrement fort en Islande, du fait que cette île est sur une dorsale. • Paris et Rome sont des villes de plus d’un million d’habitants : l’enjeu est donc identique dans les 2 villes. L’aléa sismique est fort dans la région de Rome et faible dans la région parisienne. Le risque est donc fort à Rome et faible à Paris. 3 Doc. 3 (Mettre en relation des informations pour établir une comparaison). • Saint-Claude en Guadeloupe a un aléa volcanique fort et entre 10 000 et 50 000 habitants : le risque volcanique est donc élevé. SaintDenis de la Réunion a un faible aléa volcanique et plus de 50 000 habitants : le risque volcanique y est faible. • La Soufrière est un volcan explosif, le piton de la Fournaise un volcan effusif. Les zones à fort aléa volcanique sont plus étendues pour la Soufrière. Donc, un volcan explosif présente plus de danger pour la population qu’un volcan effusif. 4 En conclusion (Organiser et communiquer). Pour établir les zones à risques géologiques, il faut étudier l’activité sismique et volcanique et établir des cartes d’aléas. On évalue également l’enjeu c’est-à-dire 2 les personnes et biens menacés par le phénomène géologique. Le risque est la combinaison de l’aléa et de l’enjeu. Aujourd’hui, les principales zones à risque sismique et/ou volcanique sont identifiées. L’Homme face au risque sismique (pp. 204-205 du manuel de l’élève) Capacités du programme Compétences mises en œuvre dans l’unité – Recenser et organiser des informations pour apprécier l’aléa sismique. – Recenser et organiser des informations pour prévenir les risques pour les populations et les constructions. – Présenter ces informations sous une forme appropriée. – Comprendre les difficultés de la prévision du risque sismique (doc. 1). – S’informer sur les méthodes d’identification des zones à risque sismique (doc. 2, 3). – Mettre en relation les informations sur les mesures de prévention du risque sismique (doc. 4, 5 et 6). Conseils et suggestions – L’objectif de cette unité est de montrer comment l’Homme cherche à limiter les conséquences liées aux séismes. Il s’agit de présenter les limites de la prévision sismique à court terme et de mettre l’accent sur l’évaluation de l’aléa sismique. – L’ensemble des documents est une étude de cas dans la région des Alpes-Maritimes. Les élèves mettent en relation la méthode présentée dans le doc. 1 et les données du doc. 3 pour étudier le risque sismique dans la région de Nice. – L’intensité des séismes historiques, voire leur magnitude, sont estimées à partir des intensités épicentrales (déterminées en fonction des observations en différents lieux). Quelques failles sont représentées, mais il n’est pas établi avec certitude laquelle est à l’origine des séismes historiques. L’ensemble des données permet néanmoins de définir la région de Nice comme une zone à risque et de prévoir un séisme de magnitude proche de 6 (mais quand ?). – L’exercice 4 p. 212 propose d’étudier le risque sismique lié à une autre faille : la faille nord-anatolienne. – Les doc. 4, 5 et 6 présentent les mesures d’éducation et de prévention liées au risque sismique. Un parallèle pourra être fait avec le comportement de la population, très éduquée et disciplinée, au moment du violent séisme de mars 2011 (magnitude 9). – L’atelier « Ma commune face au risque » p. 210 est l’occasion de consulter les plans d’aménagement de la commune du collège. – La carte du doc. 4 pourra être mise en relation avec celle du doc. 3 pour comparer une zone de sismicité moyenne et une zone de sismicité faible dans un même département. Exploitation des documents par les activités Doc. 1 (Saisir des informations à partir d’un texte). • La principale difficulté est qu’il est impossible de déterminer avec exactitude la date, le lieu et la magnitude d’un séisme. • On définit les zones à risque sismique en étudiant 3 critères importants : la sismicité actuelle, la sismicité historique (les séismes du passé, leur caractéristiques, leur fréquence) et l’étude de la localisation et de l’activité des failles actives. 1 2 Doc. 1 à 3 (Mettre en relation des informations pour construire une argumentation). • La carte montre que la région de Nice est traversée par un réseau de failles actives. De plus cette zone a connu un nombre important de séismes historiques. Certains ont été meurtriers. Enfin, on enregistre aujourd’hui une sismicité avec en moyenne 20 séismes faibles par mois et un séisme modéré tous les 5 ans. Les 3 facteurs donnés dans le texte du doc. 1 sont donc réunis pour qu’on prévoie un séisme dans la région de Nice. • Pour préciser l’aléa et prévoir le risque sismique, il est nécessaire d’étudier l’activité sismique de la région, grâce à un réseau de sismomètres (doc. 2). 3 Doc. 2 à 4 (Associer les informations extraites des documents). Les communes ayant adopté un PPR séismes sont situées dans une zone de sismicité moyenne, à proximité de failles actives. De nombreuses communes des Alpes-Maritimes ont connu des secousses meurtrières et destructrices. Le plan PPR séisme vise à prévenir ces dégâts humains et matériels. 4 Doc. 4 à 6 (Saisir des informations). Le PPR permet de réglementer l’aménagement du territoire et en particulier de mettre en place des règles de construction D • Chapitre 5 • L’Homme face aux risques géologiques 59 parasismiques (doc. 4). Les terrains à bâtir sont choisis, les matériaux doivent être aux normes parasismiques. La construction parasismique permet d’éviter l’effondrement des bâtiments et donc de sauver des vies en cas de secousses. Les mesures de prévention (doc. 6) permettent d’éduquer la population sur les conduites à tenir en cas de séisme : avant, pendant et après la secousse. 3 En conclusion (Communiquer en rédigeant une synthèse). L’Homme ne peut pas prévoir avec exactitude un séisme. Cependant, l’étude de la sismicité, des séismes historiques et de l’activité des failles permet de délimiter des zones à risques. Dans ces zones, l’activité sismique est surveillée et des PPR sont adoptés précisant les règles de prévention : construction parasismique, éducation et information des populations. 5 L’Homme face au risque volcanique Capacités du programme – Recenser et organiser des informations pour apprécier l’aléa volcanique. – Recenser et organiser des informations pour prévenir les risques pour les populations et les constructions. – Présenter ces informations sous une forme appropriée. Conseils et suggestions – Cette unité vise à montrer comment une prévision fiable des éruptions permet une prévention efficace du risque volcanique. Il serait judicieux de l’introduire par la description d’une catastrophe liée à une éruption (la Montagne Pelée, www.brgm.fr/brgm/Risques/Antilles/ guad/v1902.htm). On peut également aborder cette partie par l’étude d’une œuvre d’art représentant un volcan en éruption (la Procession de Saint Janvier à Naples pendant une éruption du Vésuve d’Antoine Jean-Baptiste Thomas, 1822). Le choix s’est porté ici sur le piton de la Fournaise, l’un des plus actifs et des plus surveillés du monde (www.fournaise.info/observatoire.php). – Les documents se concentrent autour de l’éruption du 2 avril 2007, en lien avec son étude chapitre 2. – Les documents 1 à 4 sont consacrés à la détection des signes précurseurs de l’éruption volcanique : les déformations sont mesurées par GPS, sismomètre et enregistrés par des caméras. Les émissions du volcan sont surveillées en permanence. Il ne s’agit pas d’établir une liste exhaustive des paramètres mesurés mais de montrer qu’on peut prévoir une éruption avec des délais de quelques jours à quelques semaines. – Le réseau de surveillance permet une prévision du risque volcanique et le déclenchement du PSS (doc. 5). D’autres PSS pourront être évoqués et comparés à celui du Piton (la Soufrière de la Guadeloupe, http://volcano.ipgp. jussieu.fr/guadeloupe/les_risques_volcaniques. htm). – L’unité permet de mettre en relation les informations relatives à l’éruption du 2 avril 2007 pour déterminer le seuil d’alerte du PSS et le risque pour la population. 60 (pp. 206-207 du manuel de l’élève) Compétences mises en œuvre dans l’unité – S’informer sur les méthodes de prévision du risque volcanique (doc. 1 à 4). – Mettre en relation les informations sur les mesures de prévention du risque volcanique (doc. 5 à 7). Exploitation des documents par les activités 1 Doc. 1 à 4 (Concevoir et construire un tableau). Mesure Observation Appareil de mesure Mouvements du sol Vibrations, écartements des fissures, augmentation de l’altitude, augmentation de la distance entre les repères GPS, Caméra Température et composition des gaz Modification des propriétés des gaz émis Stations de mesure des gaz Activité sismique Augmentation du nombre de séismes Sismomètres Doc. 2 et 4 (…xploiter un graphique, mettre en relation des informations). Entre le 1er janvier et le 2 avril 2007, le nombre de séismes est variable mais ne dépasse jamais une centaine par jour. Le 2 avril, on enregistre plus de 300 secousses. Ces séismes sont enregistrés grâce au réseau de sismomètres. 2 3 Doc. 5 et 7 (Mettre en relation des informations). Le 2 avril 2007, le nombre de séismes augmente. Le doc. 7 est une photographie montrant la coulée de lave traversant le RN2 le 2 avril 2007. Cela signifie que la coulée de lave a quitté l’enclos du volcan et menace les routes et les populations. Le niveau d’alerte doit donc être au moins le niveau 3. Doc. 5 à 7 (Saisir des informations). Les mesures de prévention liées au risque volcanique sont : la mise en place d’un plan d’alerte qui prévoit la préparation et 4 l’alerte des équipes d’intervention, l’information des populations et le bouclage de certaines zones (doc. 5) ; l’éducation des populations sur les comportements à adopter en cas d’éruption (écouter la radio, se mettre à l’abri) (doc. 6) ; la fermeture des routes pour protéger la population qui nécessite l’intervention d’équipes en alerte sur place (doc. 7). la surveillance des volcans actifs de la planète. Avant l’éruption, les signes précurseurs sont détectés par les instruments et l’éruption est prévue. Pour prévenir le risque volcanique, des mesures d’éducation et d’information sont adoptées par les communes et préfectures. Un plan d’alerte en plusieurs phases permet de prévenir et de protéger la population en cas d’éruption. 5 En Conclusion. (Communiquer en rédigeant une synthèse). Des stations de mesure permettent (pp. 212-213 du manuel de l’élève) Les corrigés de la rubrique « Je vérifie mes connaissances » (p. 212) se trouvent à la fin du manuel élève (p. 221). Sont proposés ici les corrigés des exercices de la rubrique « J’applique mes connaissances » et de l’exercice « J’apprends à résoudre une tâche complexe » 3 PISA Une éruption en Islande Mettre en relation des informations. Cet exercice permet de réinvestir les capacités travaillées dans les unités de ce chapitre : la saisie d’informations à partir d’une carte et la mise en relation entre les informations de différents documents. Il s’agit également d’élargir la notion de risque volcanique : les cendres envoyées dans l’atmosphère constituent également un facteur de risque. Cet exercice pourra être l’occasion de souligner l’importance de la surveillance satellite des éruptions volcaniques, mais aussi d’évènements liés à d’autres risques majeurs (marée noire, pollution chimique...). a. Le nuage de cendres se forme en Islande. Sur le doc. 1, on observe que le 14 avril à 10 h (jour de la 2e éruption) le nuage de cendres est au-dessus de la partie Sud de l’Islande. Le vent souffle d’Ouest en Est. Le 15 avril à 10 h, on observe que le nuage s’est reparti sur une partie de l’océan Atlantique à l’est de l’Islande et jusqu’au nord de la Grande-Bretagne. b. Risque pour la population Mesure de sécurité L’éruption menace directement la population La population est évacuée dans la région du volcan Les cendres menacent les réacteurs des avions de ligne Fermeture des aéroports islandais puis de l’espace aérien européen c. Les images satellite permettent de visualiser le nuage de cendres. Or ces cendres menacent les réacteurs des avions. Les images permettent donc de déterminer la zone aérienne dans laquelle les avions ne doivent plus passer et ainsi de protéger l’équipage et les passagers. 4 Une ville sous surveillance Raisonner et argumenter. Cet exercice propose de mobiliser les connaissances acquises sur la nature et la répartition des séismes dans le cadre de l’évaluation du risque sismique. La région d’Istanbul est une des zones du monde où le risque sismique est le plus élevé. L’élève devra également construire un paragraphe d’argumentation dans un cadre proche de celui de l’activité 2 de l’unité 2. Il devra également exercer son esprit critique car le document proposé ne présente pas la sismicité actuelle de la région. Réponses attendues : a. Les séismes de 1912, 1957, 1967 et 1999 sont alignés au Nord de la zone représentée. Le séisme de 1953 est plus au sud. Ces séismes sont sur la faille active. b. Les séismes sont dus à la rupture d’une zone fragile : la faille nord anatolienne. c. Le réseau de failles actives parcoure la région d’Istanbul, des séismes historiques récents et nombreux se sont produits dans la région. Istanbul présente bien les caractéristiques d’une zone à fort risque sismique. D • Chapitre 5 • L’Homme face aux risques géologiques 61 J’apprends à résoudre une tâche complexe Compétence 1 : rédiger un texte, cohérent et ponctué. Compétence 3 : savoir utiliser des connaissances dans divers domaines scientifiques, pratiquer une démarche scientifique, communiquer dans un langage adapté. La réalisation de cet exercice est une tâche complexe qui utilise des informations présentes dans 4 documents constitués de différentes cartes. Les notions développées prennent appui sur celles abordées en particulier dans l’unité 1 du chapitre 4. L’élève doit extraire des différentes cartes les informations utiles, puis les mettre en lien afin de comprendre que l’on se trouve à la frontière de 3 plaques, la plaque eurasiatique, la plaque pacifique et la plaque des Philippines. Il doit ensuite rédiger une synthèse, réaliser un schéma et le rendre fonctionnel en symbolisant le sens du mouvement de ces 3 plaques. limite de plaque plaque eurasiatique épicentre Mer du Japon Pyongyang JAPON Séoul Tokyo plaque des Philippines N Taipei Océan Pacifique plaque pacifique 330 km Réponse attendue : Quelques documents sur le séisme du 11 mars 2011 : Les séismes sont fréquents au Japon, 1 à 4 séismes de magnitude égale et supérieure à 5 se produisent chaque année pour une surface de 12 300 km2 (doc. 1 p. 213). Le séisme du 11 mars 2011, de magnitude 9, s’est produit au large des côtes nord-est, dans une zone où les séismes ne dépassent pas d’habitude une magnitude de 4 (doc. 1) : c’est donc un séisme d’une rare puissance. La sismicité élevé du Japon s’explique par sa situation à la limite de 3 plaques lithosphériques : la plaque eurasiatique, la plaque pacifique et la plaque des Philippines (doc. 4 p. 187 et doc. 2 p. 213). Ces plaques sont en mouvement, dont le sens est symbolisé sur le schéma ci-contre. Le rapprochement entre la plaque des Philippines et la plaque pacifique est de 4,73 cm par an (doc. 2 p. 213), celui entre la plaque eurasiatique et la plaque pacifique de 9,08 cm par an (doc. 2 p. 187). Le séisme du 11 mars 2011, de magnitude 9, est le quatrième plus important séisme au monde depuis 1900 et le plus puissant qu’ait connu le Japon depuis 130 ans. Voici quelques ressources en ligne à ce sujet : – le site de l’USGS (une référence, en anglais) : http:// earthquake.usgs.gov/earthquakes/eqinthenews/2011/ usc0001xgp/ – le site d’Eduterre Usages (en français) : http://eduterre. inrp.fr/eduterre-usages/ressources_gge/subduction_Japon/subduction_Japon Ce dernier site propose un dossier particulièrement intéressant, regroupant de nombreuses données sur la zone de subduction du Japon et sur le séisme du 11 mars 2011 (carte, localisation de l’épicentre, sismogrammes, vidéos, etc.), ce qui permet un vrai travail en autonomie de la part des élèves dans le cadre d’une démarche d’investigation. 62