π
.h
xp ≥∆∆
Vmp
quantifie l’incertitude sur la valeur exacte de la vitesse ;
x
quantife l’incertitude sur la position exacte d’un mobile quelconque dans sa trajectoire.
h est la constante de Planck :
sJh
.10.6,6
34
−
=
Nous savons que, dans une description newtonienne, ces paramètres sont indispensables à la
connaissance des différentes trajectoires des particules.
Par ailleurs, la physique et la chimie, en général font apparaître des modèles différentiels complexes
dont la résolution analytique est généralement impossible. Il apparaît alors la nécessité de procéder à des
approximations. Celles-ci montrent clairement, qu’en toute généralité, la physique ne repose que sur des
modèles plus ou moins complexes permettant l’appréhension de la réalité. En aucun ce que nous
traduisons par ces modèles ne reflète exactement la réalité.
Pour expliciter la limite de la physique classique, prenons l’exemple du modèle planétaire
transposé à l’atome d’hydrogène
H
1
1
: 1 proton autour duquel gravite un électron. Nous savons que la
force qui est prédominante est la force électrostatique. En considérant alors la seconde loi de Newton , on
obtient dans le repère mobile de Fresnet :
→→
=amF
ee
et par projection sur l’axe caractérisé par le vecteur normal :
(I)
ke
Vm
V
m
ke
ee
2
2
2
2
2
=⇔= avec
==
−
Ce
SIk
19
9
10.6,1
19.9
L’énergie cinétique de l’électron gravitant dans une trajectoire circulaire autour du proton est alors
ke
E
c
2
=
On montre que l’énergie potentielle de ce même électron a pour expression :
ke
E
p
2
−=
On en déduit que l’énergie mécanique totale associée à ce système formé d’un simple électron qui gravite
autour d’un noyau formé par un simple proton est
PPC
EEE += ie :
ke
E
2
−=
Sachant que r est le rayon moyen de la trajectoire, cette fonction est, de façon claire, définie et continue
dans son domaine de définition, à savoir :
[;0]
On devrait donc s’attendre à ce que l’énergie de ce système soit un fonction CONTINUE EN r.