S-PRIM, Services Partagés Régionaux en Imagerie Médicale Vade-mecum à destination de l’ensemble des établissements et cabinets libéraux de la région île-de-France. Sommaire Un nouveau service PARTAGE pour décloisonner les pratiques.............................................. 3 Qu’apporte le PARTAGE S-PRIM ? • Aux structures de santé • Aux professionnels de santé • Aux patients • Aux systèmes d’information Les Services S-PRIM répondant aux autres besoins de l’imagerie médicale................... 6 Le Le Le Le service service service service Stockage Archivage PACS et Post-traitement avancé Échange Le modèle économique et contractuel ........................................ 10 Quel modèle économique ? Comment souscrire au service ? Quel est le rôle du GCS SESAN ? • Auprès du titulaire • Auprès de l’adhérent Le déploiement des services Un nouveau service PARTAGE pour décloisonner les pratiques La prise en charge multi-acteurs et l’insertion du patient dans des parcours de soins régionaux coordonnés sont des pratiques maintenant courantes qui ne cessent d’évoluer. Ainsi, le besoin de partage et d’échange d’images entre professionnels de santé est-il devenu fondamental. UN NOUVEAU PROJET Ce nouveau projet régional S-PRIM, impulsé par l’ARS l’accès par les professionnels de santé à ses examens Île-de-France, a pour vocation de proposer une conti- mis au PARTAGE S-PRIM permettant ainsi la consul- nuité des services régionaux d’imagerie déjà en place, tation des examens antérieurs nécessaires à sa prise mais aussi de fournir des services complémentaires en charge. La comparaison et le suivi de l’évolution dans le cadre des coopérations de territoire et de mise d’une pathologie ou la nécessité de visualiser certains en place des nouvelles organisations (GHT). examens antérieurs, comme dans le cas de réunions de concertation pluridisciplinaire, seront facilités. Le service PARTAGE S-PRIM permet une consultation des antériorités d’imagerie mises au partage régional Le service Partage de S-PRIM est une des pour les professionnels de santé, qu’ils exercent en réponses sécurisées aux projets de liaison établissement ou en ville. Le patient pourra autoriser ville-hôpital. 4 S-PRIM GCS SESAN QU’APPORTE LE PARTAGE S-PRIM ? AUX STRUCTURES DE SANTÉ À l’heure du décloisonnement entre les différents acteurs, la capacité d’une structure productrice d’imagerie à alimenter le PARTAGE S-PRIM est un facteur d’attractivité vis-à-vis des médecins de ville. La capacité de la structure à partager ses examens avec l’ensemble de la communauté des professionnels de santé constitue également un atout dans la qualité de la relation avec la patientèle. En répondant favorablement aux prérequis nécessaires (alimentation du service Partage de ses examens, connexion au Service Régional de Rapprochement d’Identité), l’établissement valorise ainsi son image dans son environnement. Si l’ouverture vers l’extérieur des structures de santé, publiques ou libérales, en vue d’améliorer la coordination des soins, n’est pas nouvelle, elle devient un facteur différenciant dans ses relations territoriales. Les structures de santé productrices d’imagerie gardent la maitrise des droits d’accès pour rendre sélectivement visibles aux utilisateurs, ou communautés d’utilisateurs de GHT par exemple, les données produites. Ce service évite ainsi à l’établissement de devoir mener son propre projet d’informatisation spécifique de mise en œuvre d’un portail ville-hôpital et d’un lien entre le dossier d’imagerie d’établissement et ceux des cabinets de ville. SERVICE S-PRIM : LES CAS D’USAGE ••Permanence et continuité des soins ••« Gardes » radiologiques communes ou tournantes ••Mises en place de GHT ••Mutualisation d’équipement ou de compétences radiologiques spécifiques ••Démarches qualité (double lecture) ••Constitution d’un dossier consolidé d’imagerie Dans un contexte de raréfaction du temps médical, le service « PARTAGE » est l’un des services S-PRIM qui peut contribuer à améliorer l’organisation de la permanence des soins radiologiques. AUX PROFESSIONNELS DE SANTÉ Le partage représente un enjeu important dans la coordination des soins et l’aide à la prise en charge du patient. Il fait évoluer des pratiques historiquement d’un patient établies en fonction de l’organisation. région ou d’un GHT Le médecin, libéral ou hospitalier, peut consulter les ••Consultation et alimentation au niveau de la résultats d’imagerie de son patient, y compris ceux réalisés en ambulatoires. Il évite ainsi d’avoir à faire 5 Services Partagés Régionaux en Imagerie Médicale réaliser des examens redondants conformément à la Directive EURATOM 97/43, relative à la radioprotection des personnes. Il visualise les résultats et l’examen, soit via ses propres outils métiers d’imagerie, soit directement dans le portail S-PRIM. Il respecte la confidentialité, la sécurité des données de santé et la traçabilité des accès : l’ensemble des professionnels de santé peut avoir accès au service PARTAGE en tout point du territoire. Cette volonté d’accès, par AUX SYSTÈMES D’INFORMATION Le partage S-PRIM des examens du patient apporte une réponse à des difficultés fréquemment rencontrées dans les projets d’informatisation. Il offre une infrastructure régionale reposant sur un ensemble de référentiels nationaux et de services régionaux, fixant ainsi un cadre d’interopérabilité. Il apporte une structuration et un cadre unique qui favorisent le décloisonnement entre les systèmes d’information de santé. Il s’agit à la fois d’interopérabilité technique et sémantique. tous les professionnels, est soutenue par l’Agence Régionale de Santé Île-de-France qui finance l’accès au service PARTAGE de S-PRIM. AUX PATIENTS Le service PARTAGE de S-PRIM répond à des enjeux éthiques et de sécurisation. Il garantit le respect des libertés individuelles par une gestion du consentement du patient au PARTAGE S-PRIM, offrant au patient la possibilité pour ce dernier de limiter l’accès à son dossier. Il est respectueux de la personne : certains résultats ne sont rendus visibles au patient qu’après explication par un professionnel de santé. Enfin, l’accès à ses antériorités représente bien plus qu’un simple droit à consulter son dossier d’imagerie régionale : maître de son dossier, le patient gère les autorisations d’accès aux professionnels de santé. La demande de mise à disposition de ses examens au Partage S-PRIM va lui permettre de favoriser sa prise en charge globale et immédiate. 80% Les Services S-PRIM répondant aux autres besoins de l’imagerie médicale S-PRIM est une offre en Imagerie Médicale proposant des services de diagnostic au travers de l’utilisation de visionneuses PACS, de traitements de l’image numérique et d’outils de Posttraitements avancés. Un service ÉCHANGE complète le service PARTAGE ainsi que des services de conservations de la donnée (stockage, archivage). Afin de prendre en compte les nouveaux usages de la production d’images médicales et les besoins d’accès des professionnels de santé, S-PRIM peut gérer des données de format DICOM et non DICOM et tous les services sont accessibles en mobilité. LE SERVICE STOCKAGE Peu visible pour les utilisateurs, la notion de stockage seraient pas disponible en ligne comme dans le cas nécessite une disponibilité des images et des exa- d’importation d’un examen sur CD réalisé en dehors des mens alignée avec les besoins des utilisateurs. Cette structures raccordées. performance de stockage permet d’avoir à disposition, en temps réel, les données compressées sans perte, Le service STOCKAGE intègre des fonctions de ges- dans la structure qui les a produites ou via le service tion du cycle de vie des données alignées avec les PARTAGE S-PRIM. Il en va de même pour celles qui ne usages souhaités par les utilisateurs dans le respect 7 Services Partagés Régionaux en Imagerie Médicale des dispositions réglementaire du Code de la santé regard du nombre important et croissant des examens à publique et à minima de 5 ans après la production de conserver, un des enjeux est d’offrir un coût optimisé aux l’examen (examen ambulatoire archivé dans le cadre de établissements souscripteurs. l’avenant 29 à la convention médicale). Le service ARCHIVAGE de S-PRIM a des niveaux de services et de performances qui sont ajustés au strict nécessaire pour garantir cette optimisation économique. Ainsi le service ARCHIVAGE n’est pas soumis aux contraintes de productions temps réel. Les données, compressées sans perte, sont non modifiables. Les examens antérieurs d’un patient , entreposés dans le service ARCHIVAGE, sont accessibles, à posteriori, depuis le PACS ou depuis un portail dédié. LES FONCTIONNALITÉS LE SERVICE PACS ET POST-TRAITEMENT AVANCÉ Le service est capable de gérer des cycles de vie Le PACS, brique logicielle essentielle dans la gestion des différents selon des règles basées : images dans une structure de santé, permet la consulta- ••Sur des évènements comme la date de créa- tion des examens produits sur l’ensemble des modalités tion d’un examen, la date de sa dernière consultation... d’imagerie, toutes activités confondues. Synchronisé avec le système d’information radiologique (RIS), il facilite le ••Sur des critères paramétrables (site producteur, travail du radiologue et garantit le lien entre le dossier ••Le pré-chargement automatique sur les consoles logiques et les documents annexes sont disponibles en spécialités médicales, modalités, ...) de traitements en amont du rendez-vous, en fonction de critères variés (type examen ou de zone anatomique) ou le déplacement de la donnée vers le service d’Archivage S-PRIM. ••Prise en compte de l’Imagerie Médicale au sens large : visualisation, stockage et archivage d’images non-DICOM. •• LE SERVICE ARCHIVAGE Le service ARCHIVAGE s’adresse aux structures qui sou- patient et ses images. Ainsi les comptes rendus radiocomplément des images de l’examen. Dans le cadre d’un projet PACS, il est indispensable d’offrir des outils diagnostiques pour les producteurs d’images et les spécialistes manipulant l’imagerie pour leur pratique médicale. Les visionneuses doivent dorénavant être en mesure de proposer des outils spécialisés pour répondre à des besoins spécifiques. Parfois limitées à de la visualisation radiologique minimaliste, pour faciliter la diffusion et une manipulation simple des images, la richesse fonctionnelle des visionneuses est devenu un point crucial pour que tous les praticiens puissent y trouver les outils nécessaires à leur pratique de manière satisfaisante. haitent externaliser la gestion de dossiers d’imagerie médicale à des fins de conservation sur le long terme, Le service PACS S-PRIM dispose des fonctionnalités néces- de recherche clinique et d’évaluation. En ce sens, et au saires à l’ensemble des médecins visualisant des résultats 8 S-PRIM GCS SESAN d’imagerie et désirant comparer, manipuler, l’image pour POST-TRAITEMENT AVANCÉ S-PRIM accessible en abon- leur besoin propre. Il intègre les connexions techniques nement ou à la demande, afin que tous professionnels et les synchronisations avec les outils métiers qui per- puissent accéder aux outils dont ils ont besoin dans leurs mettent et facilitent une gestion de l’imagerie de bout en pratiques médicales à partir de la visionneuse S-PRIM. bout : du diagnostic à la consultation. La visionneuse PACS de S-PRIM se devait d’intégrer les La visionneuse légère S-PRIM représente un enjeu besoins des producteurs d’images ainsi que les outils spé- majeur pour le déploiement des usages associés à cifiques nécessaires aux activités Cardio-vasculaire et de l’échange, au partage, et à la diffusion vers la médecine Médecine Nucléaire. La visionneuse propose la plupart des de ville et les patients. outils de post-traitement directement intégrés et inclus dans le service PACS S-PRIM. Elle propose une série de fonctionnalités de base pour la visualisation et la manipulation des images (des Exemples : - Affichage et comparaison synchronisée de l’ima­gerie, de projection, volumique, dynamique et fonc­tionnelle, - Recons­tructions vasculaires, - Suivi oncologique sur critères RESIST, - Activité de sénologie - Gestion de la tomo­synthèse outils standards de mesures au MPR, MIP (MinIP), et rendu volumique). Afin de ne pas multiplier les outils de visualisation d’images et garder une cohérence dans l’utilisation des outils régionaux, la visionneuse légère de S-PRIM sera notamment proposée dans le cadre de l’Outil Régional de Télémédecine (ORTIF) et via la plateforme Terr-eSanté. LE SERVICE ÉCHANGE Les outils de post-traitement sont désormais disponibles dans le PACS S-PRIM pour garder une unicité d’outil pour le radiologue mais également une unicité de gestion de destinations des examens. Le producteur d’image n’utilise ainsi qu’un seul environnement de travail pour réaliser l’ensemble de ses tâches médicales d’interprétation. Le producteur d’image n’utilise ainsi qu’un seul environnement de travail pour réaliser l’ensemble de ses tâches médicales d’interprétation. Les outils accessibles directe­ment dans la visionneuse PACS S-PRIM vont permettre aux médecins d’optimiser le temps consacré à la consulta­tion ou au diagnostic des examens d’imagerie. Des outils complémentaires de post-traitements avancés pour des activités particulières (outils spécifiques de neurologie fonctionnelle, d’oncologie ou d’orthopédie) sont également proposés dans le service Le service ÉCHANGE s’adresse potentiellement à toutes les structures de la région qui souhaitent mettre en place des organisations de travail collaboratif, qu’elles soient productrices de données ou non (contexte des GHT notamment), avec leurs correspondants en ville, et leurs patients. Le service ÉCHANGE réalise l’intermédiation de la production et de la gestion du dossier d’imagerie médicale entre l’utilisateur cible du service et le producteur des données. 9 Services Partagés Régionaux en Imagerie Médicale Il propose les fonctionnalités nécessaires à l’échange, soit du résultat à un professionnel de santé. C’est dans cette nativement, soit indirectement au travers d’une intégra- même interface que le patient va gérer la mise à dispo- tion forte avec l’outil régional de télémé­decine ORTIF. sition ponctuelle ou permanente de ses examens à un ou plusieurs professionnels de santé. Entre souscripteurs des services PACS ou STOCKAGE S-PRIM, le service ECHANGE permet de créer une liste Enfin, c’est à travers ces portails qu’un professionnel de de travail commune à travers laquelle les radiologues santé extérieur à l’Île-de-France pourra se connecter ont accès aux examens produits sur plusieurs sites. Ces pour accéder, sur invitation d’un patient ou d’un confrère, derniers peuvent également, directement dans les outils aux examens qui sont nécessaires à sa prise en charge. S-PRIM, réaliser une demande d’avis simple qui consiste en la transmission d’un examen anonymisé à un confrère. Les échanges évolués, en place ou à venir (télé-expertise neurologique, grande garde de Neurochirurgie ou NeuroAVC) ou les activités de Téléradiologie seront réalisés dans ORTIF. Une intégration des deux plateformes est réalisée, évitant ainsi d’avoir à transporter les données DICOM des examens et optimisant ainsi les temps de transfert de télédossiers et d’accès aux images. L’ORGANISATION DU CATALOGUE DES SERVICES S-PRIM Dans la logique d’une utilisation ergonomique des deux outils, les radiologues utilisant le PACS S-PRIM, travaillent dans une seule et unique interface : l’initialisation et la notification des étapes de prise en charge d’un télédossier ORTIF, tout comme son affichage et l’intégration des LE BOUQUET DE SERVICES S-PRIM • PACS (incluant stockage + Echange + Partage et le post-traitement natif) comptes rendus de l’expert est réalisé directement dans • Stockage (incluant Echange + Partage) le PACS S-PRIM. • Partage • Archivage (incluant l’indexation au Partage) Le service ÉCHANGE de S-PRIM porte directement la rela- • Post traitement avancé tion avec le patient et la médecine de ville. La diffusion vers le médecin prescripteur ou un correspondant des MODALITÉS FINANCIÈRES dossiers d’imagerie médicale produits et la diffusion vers le patient font l’objet d’une forte demande. • Frais d’accès au service (comprenant les prestations nécessaires au déploiement Le portail de diffusion vers les professionnels de santé va des services) permettre, outre la présentation des résultats (imagerie • Un coût à l’usage (sauf pour le partage) clé, compte rendu) la notification préalable et l’autorisa- • Prérequis établissement tion d’accès au seul médecin demandeur. Le portail de diffusion patient va, quant à lui, permettre de consulter Les marchés subséquents établissements peuvent l’ensemble des résultats d’imagerie de manière simple aller jusqu’à avril 2024. et facilitée mais également rendre possible l’envoi direct Le modèle économique et contractuel Le modèle économique S-PRIM repose un modèle de type service (SaaS) assorti d’un paiement à l’examen avec des frais d’accès de mise en service. Ces derniers comprennent l’ensemble des prestations d’intégrations techniques nécessaires à la mise en place du service souscrit, la gestion de projet et la formation. QUEL MODÈLE ÉCONOMIQUE SERVICES S-PRIM ? POUR LES Le coût du service, à l’usage, est un modèle simple et prévisible puisque conditionné à la production d’examens. La visibilité et la prédictivité des dépenses inhérentes à S-PRIM sont un argument facilitant dans l’ARS afin de favoriser la culture du PARTAGE et l’usage de ce service au niveau régional quel que soit les organisations et les coopérations qui sont mises en place. COMMENT PUIS-JE CONTRACTUALISER AVEC S-PRIM ? l’identification des coûts et la maîtrise des budgets. Par un contrat d’adhésion S-PRIM : un document Ce coût à l’examen comprend la licence logicielle, l’hé- unique pour l’adhérent qui lui présente l’offre de service bergement de la solution et son maintien en condition S-PRIM, qui établit les engagements respectifs au GCS opérationnelle, les maintenances correctives et évolu- SESAN (règles de conduite du projet), définit les moda- tives, le support et la réversibilité en fin de marché. lités économiques et permet la mise à disposition de Le maintien en condition opérationnelle, l’hébergement l’accord-cadre et donc la passation des marchés subsé- et la maintenance du service sont pris en charge par quents par la structure adhérente auprès de l’industriel 11 Services Partagés Régionaux en Imagerie Médicale titulaire de l’accord-cadre. L’adhérent peut alors réaliser suivi contractuel, assistance aux tests et à la recette). une lettre de consultation sur le périmètre de services Dans la phase d’exploitation, le GCS SESAN réalise un qu’il souhaite mettre en place. Il gèrera alors la passa- support aux référents et chef de projet de l’adhérent, tion de son marché subséquent, l’exécution et pilotage l’animation, la coordination et l’évaluation de la qua- de ses propres marchés subséquents directement avec lité de service lors de Comités de Suivi Opérationnels. l’industriel. QUEL EST LE RÔLE DU GCS SESAN ? COMMENT SE PASSE LE DÉPLOIEMENT DES SERVICES S-PRIM ? Après la signature du contrat S-PRIM entre l’adhérent et le GCS, l’industriel titulaire du marché S-PRIM réalisera une réunion d’information doublée d’un audit qui permettra d’initier une lettre de consultation décrivant l’existant et le périmètre de déploiement des services S-PRIM souhaités. L’adhérent l’adresse alors à l’industriel qui a 21 jours maximum pour proposer une offre subséquente décrivant les couts et prestations inhérentes à la mise en œuvre de la solution sur le périmètre initial souhaité. Une fois l’offre subséquente acceptée par l’adhérent, le déploiement des services S-PRIM au sein de la structure de santé sera présenté lors d’une réunion de lan- Le rôle du GCS SESAN est de garantir le respect des cement se déroulant dans la structure de l’adhérent. Le obligations contractuelles des marchés passés pour déploie­ment s’effectuera en trois phases : installations la mise en œuvre de la solution S-PRIM dont le GCS techniques, test et formation des utilisateurs, puis véri- SESAN est le pouvoir adjudicateur. fication en début d’exploitation sur un planning proposé et partagé lors de cette réunion de lan­cement du projet • Directement auprès du titulaire Le GCS SESAN réalise la passation d’un marché subséquent, directement auprès du titulaire, d’unités d’œuvre régionale dans un marché subséquent couvert par la subvention régionale. Il assure le pilotage stratégique et fonctionnel de l’exécution de l’accordcadre (Comité de Pilotage de l’accord-cadre) et le suivi des montées de version de la Plateforme centrale. • Directement auprès de l’adhérent Pour la phase de mise en service, SESAN réalise un premier niveau d’accompagnement en vue de la contractualisation des sites adhérents avec le titulaire. Il peut réaliser, de manière optionnelle, une assistance à la mise en service (suivi des actions et S-PRIM de la structure de l’adhérent. GCS SESAN 10, rue du Faubourg-Montmartre 75009 Paris www.sesan.fr Pour en savoir plus ou accéder à S-PRIM et bénéficier de l’accompagnement de SESAN, contactez-nous : 01 48 78 99 88 [email protected]