QU’APPORTE LE PARTAGE S-PRIM ?
AUX STRUCTURES DE SANTÉ
Si l’ouverture vers l’extérieur des structures de santé,
publiques ou libérales, en vue d’améliorer la coordina-
tion des soins, n’est pas nouvelle, elle devient un fac-
teur diérenciant dans ses relations territoriales.
SERVICE S-PRIM : LES CAS D’USAGE
•Permanence et continuité des soins
•« Gardes » radiologiques communes ou
tournantes
•Mises en place de GHT
•Mutualisation d’équipement ou de
compétences radiologiques spéciques
•Démarches qualité (double lecture)
•Constitution d’un dossier consolidé d’imagerie
d’un patient
•Consultation et alimentation au niveau de la
région ou d’un GHT
À l’heure du décloisonnement entre les diérents ac-
teurs, la capacité d’une structure productrice d’ima-
gerie à alimenter le PARTAGE S-PRIM est un facteur
d’attractivité vis-à-vis des médecins de ville.
La capacité de la structure à partager ses examens
avec l’ensemble de la communauté des professionnels
de santé constitue également un atout dans la qualité
de la relation avec la patientèle. En répondant favorable-
ment aux prérequis nécessaires (alimentation du service
Partage de ses examens, connexion au Service Régional
de Rapprochement d’Identité), l’établissement valorise
ainsi son image dans son environnement.
Les structures de santé productrices d’imagerie gardent
la maitrise des droits d’accès pour rendre sélectivement
visibles aux utilisateurs, ou communautés d’utilisateurs
de GHT par exemple, les données produites.
Ce service évite ainsi à l’établissement de devoir mener
son propre projet d’informatisation spécique de mise en
œuvre d’un portail ville-hôpital et d’un lien entre le dossier
d’imagerie d’établissement et ceux des cabinets de ville.
Dans un contexte de raréfaction du temps médi-
cal, le service « PARTAGE » est l’un des services
S-PRIM qui peut contribuer à améliorer l’organi-
sation de la permanence des soins radiologiques.
AUX PROFESSIONNELS DE SANTÉ
Le partage représente un enjeu important dans la
coordination des soins et l’aide à la prise en charge
du patient. Il fait évoluer des pratiques historiquement
établies en fonction de l’organisation.
Le médecin, libéral ou hospitalier, peut consulter les
résultats d’imagerie de son patient, y compris ceux
réalisés en ambulatoires. Il évite ainsi d’avoir à faire
v
GCS SESAN
4S-PRIM