REMERCIEMENTS
Ce travail a été effectué à la Faculté des Sciences et Techniques de l'Université de
Limoges, au sein de l'Institut de Recherche en Communications Optiques et Microondes
(IRCOM) dirigé successivement par Monsieur P.Y. GUILLON, Professeur des Universités,
et par Monsieur A. BARTHELEMY, Directeur de Recherche au CNRS. Je leurs exprime à
tous deux ma gratitude pour m'avoir accueilli dans ce laboratoire.
Je tiens à remercier Monsieur B. JECKO, Professeur des Universités, pour m’avoir
accueilli au sein de son équipe et donné les moyens nécessaires à ces travaux de recherche.
J’adresse mes sincères remerciements à Monsieur P. LEVEQUE, Chargé de
Recherche au CNRS, qui a su encadrer cette thèse tout en me montrant la voie du travail
autonome. J’ai appris beaucoup grâce à toi, merci !
J’exprime ma profonde gratitude et mes plus vifs remerciements à
Monsieur R. GILLARD, Professeur des Universités à l’Institut d’Electronique et de
Télécommunications de Rennes (IETR) et à Monsieur M. NEY, Professeur, Directeur du
Laboratoire d’Electronique et Systèmes de Télécommunications (LEST) de Brest, qui me font
l’honneur d’assurer la tâche de rapporteur.
Je tiens également à remercier Monsieur M. CAMPOVECCHIO, Professeur des
Universités, Monsieur A. CELESTE, Maître de Conférence, Monsieur J.D. LAN SUN
LUK, Professeur des Universités, Monsieur M. LATRACH, Enseignant-Chercheur et
Monsieur J. WIART, Ingénieur, qui me font l’honneur de participer à ce jury.
J’associe à ces remerciements Mademoiselle N. Aymard qui, grâce à son efficacité et
son joli sourire, m’a soulagé d’un bon nombre de petits tracas.
A Armelle, qui est dans mon cœur et que j’embrasse. C’est bientôt ton tour : courage !
Merci à mes collègues Guénolée dit « la guenole » et Michaël, futur prix Nobel, pour leur
bonne humeur contagieuse. Merci à mon ancien voisin de bureau Yannick qui m’a mis en
garde sur la réalité de la thèse.
A Fabrice, pour ton soutien et ta très délicieuse purée à l’huile d’olive… A Sébastien,
dont j’admire la détermination. A Fabien, grâce à qui j’ai effectué mon premier saut (de deux
mètres au moins) en parapente. A Christine, pour ces sept ans pendant lesquels tu m’as
beaucoup apporté : « Croyons en l'avenir et aux chemins que nous dessinera le vent... ».
Enfin, à tous ceux qui ont eu envie, comme moi, de tout plaquer pour aller élever des
chèvres dans le Larzac…