Remerciements
REMERCIEMENTS
Au cours de ces quelques années passées à étudier les forêts tropicales, une multitude de
personnes m'ont soutenu et ont contribué d'une manière ou d'une autre à forger les idées
développées dans ce document.
Je ne remercierai jamais assez et, comme bon nombre de mes prédécesseurs, serai toujours
infiniment reconnaissant envers celui qui m'a donné l'occasion de faire cette thèse.
Le Professeur Jean Lejoly, directeur du Laboratoire de Botanique systématique et de
Phytosociologie, promoteur de cette étude, est non seulement à l'origine du sujet présenté ici,
et que je n'aurais échangé contre aucun autre, mais est aussi à l'origine de ma passion pour la
botanique, bien que j’ai toujours été un naturaliste passionné. Les quelques occasions qui
m'ont été offertes de pouvoir l'accompagner sur le terrain resteront pour moi autant de
souvenirs inoubliables. Cette étude et les missions de plusieurs mois en pleine forêt dense,
dans la chaleur et l'humidité, au milieu d'insectes fabuleux et de l'exubérante végétation ont
été pour moi la réalisation d'un rêve.
Le Prof. Martin Tanghe a lui-aussi très fortement marqué ma façon de voir les choses en
matière de phytosociologie, avec sa rigueur légendaire et ses connaissances hallucinantes. Les
corrections qu'il a apportées à notre manuscrit ont été très enrichissantes et ses
encouragements très chaleureux.
Le Dr. Olivier J. Hardy, chercheur FNRS à l'ULB, m'a beaucoup aidé et soutenu dans la
rédaction de ce document. Je le remercie très sincèrement pour la confiance et l'intérêt qu'il
m'a témoigné.
Je remercie aussi les autres membres de mon jury de thèse pour avoir accepté d'en faire partie
et pour y avoir consacré l'attention indispensable à l'amélioration du document: merci
infiniment au Prof. Jan Bogaert, Professeur à L'ULB, au Prof. Charles De Cannière,
enseignant la Sylviculture, au Prof. Bruno de Foucault, spécialiste de la phytosociologie et
enseignant à l'Université de Lille, au Prof. Elmar Robbrecht, de l'Université d'Anvers, qui m'a
aussi beaucoup aidé dans la détermination des Rubiacées, au Dr. Robert Nasi, du Cirad-forêt
de Montpellier, et au Prof. Guillaume Decocq, de l'Université Picardie Jules Vernes. Lors de
la mise en route de notre étude, les critiques très pertinentes de Guillaume Decocq m'ont
amené à laisser de côté une tradition bien ancrée qui consiste à étudier les strates au travers de
catégories de diamètre de tronc. Aujourd'hui, je réalise à quel point cette remarque a contribué
à l'originalité de notre approche.
Pour continuer avec ceux qui ont joué un rôle déterminant dans la réalisation de cette étude, je
tiens à présenter mes compagnons de terrain. Il y a d'abord Diosdado Obiang, botaniste à
l'Indefor (Bata), qui par sa connaissance extraordinaire des arbres m'a été d'un précieux
secours. Domingo Ngomo, Norberto Nguema et Pablo Esono, botanistes à l'Indefor, m'ont
aussi épaulé plus d'une fois, à Bata et en forêt, et sont véritablement devenus des amis. Les
sardines à l'huile ont toujours été cuites à point grâce aux formidables talents culinaires de
Félipe Esono, assistant botaniste au Projet Ecofac. Son travail lors de la réalisation des relevés
s'est toujours montré irréprochable. Enfin, il y a Restituto Nguema, assistant botaniste à
Ecofac, qui a su égayer nos longs séjours en pleine forêt et dont le sens de l'orientation hors
pair s'est révélé primordial. Merci aussi à Deogracias Nculu, Donanciano Nbega, Pantaleon
Ndong, et à tous mes amis de la station Ecofac de Moca, à Monte Alén.