Psychiatrie et controverses
Par certains côtés on peut comparer la psychiatrie à un art divinatoire. Par
exemple lorsque un diagnostic d’hyperactivité est posé par un soit-disant
spécialiste de l'autisme, quand justement la mère de cet enfant vient de dire
qu’elle consulte parce qu’il est hyperactif…..
La même chose quand tombe le diagnostic d’autisme, quand les parents viennent
de dire qu’ils consultaient parce qu’il ne parle pas, a des manies bizarres, des
problèmes de socialisation et que le tout est un comportement autistique….
Les spécialistes ont fait tant d’années d’université pour répertorier des
symptômes sur un papier ou confirmer ce que les parents viennent de dire ! Ces
parents consultent parce qu’ils s’aperçoivent que quelque chose de grave se
passe dans le corps de leur enfant, quelque chose qui modifie son comportement.
En tant que médecin, il devrait trouver pourquoi cet enfant est comme ça,
chercher la cause médicale de ces problèmes, prescrire un traitement et non
confirmer des symptômes avec un diagnostic qui n’est pas une fin en soi.
L’autisme et les troubles envahissants du développement sont des Symptômes.
Symptômes qui signalent que quelque chose intoxique la personne au point de
déranger le fonctionnement normal de son cerveau.
Dénigrer le fait que certains ingrédients alimentaires puissent exacerber les
problèmes de déficit d'attention, d'hyperactivité et autres troubles du
comportement et du développement traduit l'ignorance de la recherche
scientifique. Refuser cet aspect du problème met en grand danger le bien-être de
ces enfants
Voici la définition que « doctissimo » nous donne sur la psychiatrie
La psychiatrie est la branche de la médecine qui décrit et traite les maladies
mentales.
La psychiatrie (du grec psyché = l'esprit, iatros = médecin) est la médecine de
l'esprit.
Lire l'article
Origine
Il n'y a pas une cause à l'autisme, mais plutôt un "télescopage" entre des facteurs
provenant de deux sources:
En ce qui concerne la Mère, on peut noter une dépression post-partum non
contenue et non perçue par l'entourage. Cela provoque un non investissement
psychique du bébé.
En ce qui concerne l'enfant, on pourra retenir des éléments organiques, ou une
sensibilité excessive. L'enfant se sent plus tôt qu'un autre détaché de sa Mère, et
se trouve confronté dans ce cas, à une Mère défaillante qui ne peut compter sur
lui pour se restructurer.
Une des fonctions du bébé est de restructurer sa Mère. La femme déprimée qui
trouve un bébé souriant en rentrant chez elle (un bébé qui répond et sollicite sa
Mère), pourra compter sur la relation induite par l'Enfant pour restructurer le Moi
défaillant, pour se réparer. Le bébé gratifie, satisfait narcissiquement la Mère
déprimée. On peut donc parler d’événements circonstanciels d'où résulte
l'autisme.
Notons que l'autisme touche en majorité les garçons (à 80%).
Ces inepties se lisent encore aujourd'hui !
Lire l'article
Note d'Une brique dans le mur » : si vous n’avez pas compris ce qui précède,
nous tenons à vous rassurer, le langage des psychiatres à ça de « merveilleux »
qu’il ne se comprend qu’entre psychiatres afin de vous troublez et de vous faire
avaler leurs mensonges et leur incompétence ! Il ne repose sur rien de concret et
de scientifique. Et ne peut donc se démontrer ou se prouver.
Source de ce qui suit
L'autisme est un désordre neurologique grave caractérisé par un repliement sur
soi qui limite considérablement la communication et l'interaction du malade avec
son entourage. La maladie débute généralement avant l'âge de 30 mois et le plus
souvent, avant un an.
T.E.D. ( Troubles Envahissants du comportement)
Ces troubles sont rangés par le DSM dans la catégorie des troubles du
développement depuis la publication du DSM-III, en 1981 (auparavant, il les
assimilait à des psychoses). La classification française des troubles mentaux de
l'enfant et de l'adolescent les considère toujours comme des psychoses précoces,
ce qui pour Geneviève Macé présente quatre inconvénients:
augmenter l'angoisse des parents, dont l'enfant reçoit successivement plusieurs
diagnostics différents
empêcher la France de participer à la recherche internationale sur la génétique
de l'autisme
faire obstacle aux prises en charge adaptées, en privilégiant l'hôpital au lieu
d'une éducation adaptée
faire une place aux théories psychanalytiques
La psychiatrie meurtrière !
Pas de lien entre l'autisme et le mercure (vaccin)
Une recherche du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) montre que
l'autisme n'est pas lié à l'exposition au mercure, que ce soit par les vaccins, les
amalgames dentaires ou le méthylmercure présent dans l'alimentation.
Dr Éric Fombonne et ses collègues ont recueilli des échantillons de cheveux et de
sang sur 71 enfants autistes et leurs mères ainsi que sur un groupe de
comparaison de 76 enfants et leurs mères.
Les taux de mercure détectés chez les enfants atteints d'autisme se
situaient dans la fourchette normale de la population en général. De plus, il
n'y avait pas de lien entre le niveau de mercure et la sévérité des symptômes
et le niveau de fonctionnement des enfants autistes.
Une implication pratique de cette recherche est que les thérapies de chélation,
faisant appel à des médicaments puissants pour désintoxiquer l'organisme des
métaux lourds nuisibles, doivent être abandonnées. L'efficacité de la chélation
n'a jamais été démontrée, précise Dr. Fombonne. Ce procédé est même
dangereux car il élimine aussi des minéraux essentiels comme le calcium et le
potassium.
Ces résultats ont été présentés à la sixième réunion internationale de la
recherche sur l’autisme se déroulant à Seattle.
Source: Centre universitaire de santé McGill, News Center
Une brique dans le mur : Non seulement les psychiatres ne consolident pas
leurs dires mais en plus ils veulent sauvegarder leurs prérogatives par des
pseudos études qu’ils sponsorisent et qui vous affirment le contraire de plusieurs
autres études, elles scientifiques et sérieuses. De ce fait les psychiatres se font
complices de meurtre en niant les dangers du mercure !
En septembre 2005, l’Inserm publie un rapport consacré aux troubles des
conduites chez l’enfant qui préconise le « repérage des perturbations du
comportement dès la crèche et l’école maternelle », cela tombe à point nommé
pour le ministre de l’Intérieur, qui n’hésite pas à le citer abondamment pour
promouvoir son plan sur la prévention de la délinquance. Cette idée d’une
détection dès le berceau de la délinquance future a trouvé écho dans les multiples
procédures de surveillance et de contrôle qui jalonnent désormais les parcours
des enfants.
Les recherches catastrophe des psy !
Tout au long du XXe siècle, les psychiatres tentèrent de mettre au point des
traitements empiriques efficaces.
Ils inoculèrent des malades mentaux l'agent responsable de la malaria
plongèrent des schizophrènes dans des comas hypoglycémiques
rétablirent l'humeur de mélancoliques grâce à des chocs électriques ou des
convulsions au cardiazol.
En dernier recours, ils demandèrent même à des neurochirurgiens de
sectionner les fibres blanches du cortex préfrontal.
Dans la seconde moitié du XXe, les " neuroleptiques " mirent fin à l'agitation et
atténuèrent les délires, le lithium régula l'humeur des maniaco-dépressifs et les
antidépresseurs redonnèrent un meilleur moral aux mélancoliques.
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