Sujet UE 3 2 physio CBGpopulaire

Concours blanc général PAES
Tutorat PSA
21-22 Avril
UE 3.2 : Physiologie
_______________________________________________
Durée : 45 minutes
Documents et calculatrices interdits
RECOMMANDATIONS IMPORTANTES
AVANT DE COMMENCER L’EPREUVE
Vous avez à votre disposition un fascicule de 35 QCM.
(Réponses à reporter sur la grille de QCM)
Assurez-vous que ce fascicule comporte bien 11 pages en comptant celle-ci.
Dans le cas contraire, prévenez immédiatement un tuteur.
AUCUNE RECLAMATION NE SERA ADMISE PAR LA SUITE
OBLIGATIONS CONCERNANT LA FEUILLE DE REPONSES AUX QCM :
Vous devez absolument utiliser un stylo ou un feutre noir pour cocher votre réponse
définitive sur la feuille de réponses. Les feuilles de réponses remplies au crayon seront
affectées de la note zéro.
En cas d’erreur à l’encre, n’hésitez pas à demander une autre grille de réponses,
l’usage de stylos correcteurs (blancs) étant vivement déconseillé. Il vaut mieux remplir
une nouvelle feuille sur laquelle vous devrez reporter vos :
NOM, PRENOM, N° de TUTORAT et N° de DOSSIER
Ce sujet a été réalisé par les tuteurs de cette matière dans son intégralité.
En aucun cas ni les professeurs, ni la faculté ne sauraient être tenus responsables
de la validité des informations qui y sont délivrées.
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Question 1 : Parmi les propositions suivantes concernant l’appareil cardio-vasculaire,
laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. La compliance est le rapport augmentation de pression / augmentation de volume.
B. La compliance des artères systémiques est plus élevée que la compliance des veines
systémiques.
C. La compliance des veines systémiques est plus élevée que la compliance des artères
systémiques.
D. Les résistances sont plus élevées dans les veines systémiques que dans les artérioles.
E. Les résistances sont plus élevées dans les artérioles que dans les veines systémiques.
Question 2 : Parmi les propositions suivantes concernant l’appareil cardio-vasculaire,
laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Les pressions sont plus élevées dans les veines systémiques que dans les artères
systémiques.
B. Les pressions sont plus élevées dans les artères systémiques que dans les veines
systémiques.
C. Le débit est plus élevé dans les capillaires que dans les veines systémiques.
D. Le débit est plus élevé dans les artérioles systémiques que dans les capillaires.
E. On observe une chute du débit entre les artérioles et les capillaires.
Question 3 : Parmi les propositions suivantes concernant la vasomotricité, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. La contraction des cellules musculaires lisses est liée à l'augmentation de calcium ionisé
dans le cytosol.
B. Angiotensine et noradrénaline activent des récepteurs couplés à des protéines G.
C. La régulation automyogénique vise à garder constante la pression artérielle.
D. Il existe, dans certaines artères, une régulation visant à maintenir constante le débit
sanguin.
E. La NO-synthase métabolise la citrulline en L-arginine, puis en NO.
Question 4 : Parmi les médiateurs suivants, lesquels sont vasoconstricteurs ? :
A.
B.
C.
D.
E.
Angiotensine
NO
Noradrénaline
PGI2
Acétylcholine
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Question 5 : Parmi les propositions suivants concernant la régulation extrinsèque de la
vasomotricité artériolaire, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. En cas de baisse de la pression artérielle, le système sympathique est inhibé et le
parasympathique inhibé.
B. En cas de baisse de la pression artérielle, le système sympathique est activé et le système
parasympathique inhibé.
C. Lors d'une augmentation de la pression artérielle, le système sympathique est inhibé et le
parasympathique activé.
D. Lors d'une augmentation de la pression artérielle, le système sympathique est activé et le
parasympathique inhibé.
E. Les récepteurs qui ressentent la modification de pression artérielle sont appelés
barorécepteurs.
Question 6 : Parmi les propositions suivantes concernant les facteurs de croissance IGF et
leurs récepteurs, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
E.
IGF1R ne transduit aucun effet des IGF.
IGF2R ne transduit aucun effet des IGF.
Les IGF sont produits de façon ubiquitaire, mais la source majeure d'IGF est le foie.
IGF2R, en transduisant l'effet d'IGF2, permet de limiter la prolifération cellulaire.
L'inactivation d'IGF1 entraîne une croissance excessive.
Question 7 : Parmi les propositions suivantes concernant l’hormone de croissance GH,
laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
E.
La GH stimule la synthèse d'IGF1.
Elle est sécrétée selon un rythme nycthéméral et de façon continue.
La GH a une action catabolisante sur le métabolisme protidique.
L'action de la GH sur la croissance est médiée par IGF1.
La sécrétion de GH est stimulée par les hormones sexuelles.
Question 8 : Parmi les hormones suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) impliquée(s) dans
la maturation des organes génitaux au moment de la puberté ? :
A.
B.
C.
D.
E.
Testostérone.
Hormone thyroïdienne.
GH.
Œstrogènes.
Vitamine D.
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Question 9 : Parmi les propositions suivantes concernant la puberté, laquelle (lesquelles) est
(sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
La puberté est caractérisée, entre autres, par une accélération de la croissance.
Le premier signe de puberté chez le garçon est l'apparition de la pilosité.
Le premier signe de puberté chez la fille est l'apparition des règles.
Le déclenchement de la puberté est marqué par l'apparition d'une sécrétion pulsatile de
LHRH.
E. Chez le garçon, la LH stimule directement la gamétogénèse.
Question 10 : Parmi les propositions suivantes concernant le contrôle de la croissance
staturale et pondérale, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
E.
Les stéroïdes sexuels exercent un rétrocontrôle positif sur la sécrétion de LH et FSH.
Après la puberté, l'activité de l'axe somatotrope diminue progressivement.
La production d'IGF1 est corrélée inversement à l'état nutritionnel.
La GH stimule directement la prolifération cellulaire.
IGF1 exerce un rétrocontrôle négatif sur la sécrétion de GH.
Question 11 : Parmi les propositions suivantes concernant la douleur, laquelle (lesquelles)
est (sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
E.
La douleur a un caractère unidimensionnel.
Une douleur aigüe est un symptôme.
Une douleur chronique correspond à un signal d’alarme.
Une douleur viscérale est une douleur qui correspond à une douleur musculaire.
Les nocicepteurs ont un seuil de décharge bas et sont polymodaux.
Question 12 : Parmi les propositions suivantes concernant les neurones nociceptifs, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Les neurones nociceptifs de la couche I sont les plus profonds.
B. Les neurones de la couche I reçoivent à la fois des messages tactiles et nociceptifs d’un
même territoire cutané.
C. Les neurones de la couche V sont des neurones spécifiques.
D. Les neurones de la couche I sont situés dans la corne antérieure de la moelle spinale.
E. Les neurones de la couche V reçoivent, entre autres, des messages d’origine viscérale.
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Question 13 : Parmi les propositions suivantes concernant les nocicepteurs, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
E.
Les nocicepteurs sont des organes encapsulés.
Les fibres A delta véhiculent la douleur à type de brûlure.
Les fibres A delta véhiculent la douleur à type de piqure.
Les fibres C véhiculent la douleur à type de piqure.
Les fibres C véhiculent la douleur à type de brulure.
Question 14 : Parmi les propositions suivantes concernant le contrôle segmentaire de la
douleur, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
E.
Il implique l'inhibition de la décharge des fibres de gros diamètre.
Il implique l'inhibition de la décharge des fibres de gros diamètre.
Il repose sur un phénomène de contre-irritation.
Les fibres de gros diamètre activent la substance gélatineuse.
Ce contrôle a conduit à la mise au point d'une méthode de traitement, le TENS.
Question 15 : Parmi les propositions suivantes concernant le contrôle intraspinal et
supraspinal de la douleur, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
E.
Le contrôle intraspinal met en jeu la Mét-Enképhaline (et la morphine).
La Met-Enképhaline stimule la libération de substance P.
Le contrôle supra-spinal de la douleur repose sur le phénomène de contre-irritation.
Le phénomène de contre-irritation est activé par les fibres tactiles.
Le contrôle supra-spinal active la substance gélatineuse, ce qui inhibe la décharge des
fibres de fin diamètre.
Question 16 : Parmi les propositions suivantes concernant l’apport de l’oxygène dans les
tissus, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? :
A. Au niveau pulmonaire, le transfert d’O2 de l'air ambiant jusque dans le sang peut être
limité à 3 niveaux : alvéolaire, membranaire ou capillaire.
B. Un espace mort fonctionnel peut correspondre à un alvéole perfusé mais non ventilé.
C. Un espace mort fonctionnel peut correspondre à un alvéole ventilé mais non perfusé.
D. L’hypoxie anémique apparaît lorsque la concentration d'hémoglobine dans le sang
diminue.
E. L’hypoxie hypoxémique apparaît lorsque le débit sanguin régional est diminué, soit par
diminution du débit cardiaque, soit par défaut de la circulation locale.
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Question 17 : Parmi les propositions suivantes concernant la courbe ci-dessous, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s)? :
A.
B.
C.
D.
E.
En abscisse est représentée la pression partielle en O2 (PO2 en mm Hg).
En ordonnée est représentée la concentration en O2.
La courbe en A représente la quantité d’O2 liée à l’hémoglobine.
La courbe en B représente la quantité d’O2 liée à l’hémoglobine.
Lorsque la pression partielle en CO2 (PCO2) augmente, on observe un déplacement vers
la droite de la courbe A.
Question 18 : Parmi les propositions suivantes concernant les mécanismes d’adaptation de
l’apport d’O2, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? :
A. La vasodilatation réactionnelle met en jeu l’ouverture de canaux K+. Ceux-ci sont activés
par le K+ et inactivés par le H+, l’adénosine et le lactate.
B. Après avoir clampé l’artère fémorale, la levée de l’occlusion entraine une hyperhémie
réactive, immédiate, transitoire, d'autant plus longue que l'occlusion a été prolongée.
C. Les glomus carotidien et aortique sont composées de cellules de type II enveloppées par
les extensions des cellules de type I.
D. Les cellules composant les glomus sont en contact synaptique avec l'extrémité de fibres
efférentes du nerf glossopharyngien.
E. Les fibres efférentes du nerf glossopharyngien stimulent la contraction des muscles
inspiratoires, le diaphragme et les muscles intercostaux internes principalement.
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Question 19 : Parmi les propositions suivantes concernant la protéine HIF-1 (hypoxia
inducible transcription factor 1), laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? :
A. En condition de normoxie, HIF-1α est dégradée extrêmement rapidement.
B. En condition de normoxie, HIF-1β est dégradée extrêmement rapidement.
C. En condition d’hypoxie, HIF-1α est ubiquitiné puis dégradé par le protéasome.
D. HIF-1β est exclusivement nucléaire.
E. En condition d’hypoxie, HIF-1β seul va se fixer sur la séquence HRE (hypoxia response
element).
Question 20 : Parmi les propositions suivantes concernant les conséquences de l’hypoxie,
laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? :
A. L'hypoxie favorise l'expression de 2 enzymes : la nitric oxide synthase (iNOS) et l'hème
oxygénase 1 (HO-1) qui produisent 2 substances vasodilatatrices, respectivement le NO et
le CO.
B. L’érythropoïétine inhibe la production de PI3K et STAT5 dans les précurseurs
érythrocytaires, stimulant ainsi la production de globules rouges.
C. L’hypoxie favorise l’expression de l’érythropoïétine, un facteur de croissance produit
principalement dans le rein.
D. L'hypoxie favorise l'expression d'un facteur angiogénique, le VEGF (vascular endothelial
growth factor).
E. Les vaisseaux initiés par le VEGF deviennent indépendants de celui-ci dès qu’ils sont
entourés d’une membrane basale.
Question 21 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation du sodium
alimentaire, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Le sodium échangeable représente 40 mmol/Kg de poids corporel.
B. La majeure partie du sodium échangeable est à l’intérieur de la cellule.
C. La concentration plasmatique de sodium est une grandeur régulatrice.
D. La quantité de sodium extracellulaire reflète le volume extracellulaire.
E. Seules deux hormones stimulent l’absorption intestinale de Na+ : l’aldostérone et les
glucocorticoïdes.
Question 22 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation du sodium
alimentaire, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. L’absorption intestinale du sodium ne peut se faire qu’en période post prandiale en même
temps que les nutriments digérés.
B. Le débit sanguin rénal représente 40% du débit cardiaque.
C. L’apport habituel en sodium d’un européen est de 100 à 200 mmol/jours.
D. Dans le tube contourné proximal, la réabsorption de sodium est stimulée par le système
parasympathique.
E. Au niveau du tube contourné proximal, la majorité du Na+ est réabsorbé grâce à un
échangeur Na+/H+, appelé NHE3.
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Question 23 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation du sodium
alimentaire, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. L’eau fécale peut contenir une concentration de sodium allant jusqu’à 600mmol/L.
B. Le rein permet le maintien d’un bilan nul de sodium.
C. Chaque rein est constitué de 80 000 à 120 000 néphrons.
D. L’insuffisance rénale est caractérisée pas une diminution du débit de filtration
glomérulaire.
E. Le sodium traverse librement le filtre glomérulaire.
Question 24 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation du sodium
alimentaire, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. L’aldostérone est une hormone synthétisée par la médullosurrénale.
B. Le peptide natriurétique auriculaire est synthétisé en réponse à une baisse de la tension
pariétale des oreillettes, provoquée par une hypovolémie.
C. Les peptides natriutériques ont pour cible les reins (entre autres), où ils augmentent la
réabsorption de sodium.
D. La fraction de filtration représente environ 20% du flux plasmatique rénal.
E. La réabsorption de sodium dans le TCD est stimulée par le système sympathique via des
récepteurs alpha et par l’angiotensine II.
Question 25 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation du sodium
alimentaire, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Dans le CC, la réabsorption de sodium représente 15 % de la charge filtrée.
B. L’essentiel de la régulation du bilan du sodium en fonction des apports s’effectue dans le
TCD.
C. La réponse normale à une diminution du volume sanguin et/ou de pression artérielle
implique une diminution du contenu en Na+ dans l’organisme et entraîne une
augmentation de la réabsorption de Na+ au niveau rénal.
D. Le facteur déterminant à long terme l’excrétion rénale de NaCl est l’aldostérone
E. Dans le TCP, la réabsorption de Na+ représente environ 66% de la charge filtrée. Il s’agit
d’un transport actif secondaire transcellulaire.
Question 26 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation nerveuse et
hormonale, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Une régulation, en physiologie, est un mécanisme permettant de maintenir constante une
grandeur mesurée.
B. Les régulations physiologiques s’expliquent à l’échelle cellulaire.
C. L’homéostasie est la constance du milieu extérieur.
D. Les thermostats sont des récepteurs qui détectent un écart à la valeur régulée.
E. Les régulations physiologiques s’effectuent par des récepteurs qui changent d’activité en
fonction de la grandeur régulée, et qui ont une action directe sur la correction des écarts
détectés.
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Question 27 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation nerveuse de la
pression artérielle, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. La pression artérielle moyenne est d’environ 90 mmHg et est constante pendant tout le
cycle cardiaque.
B. Le système nerveux parasympathique permet d’augmenter la résistance des artérioles.
C. Les barorécepteurs carotidiens et aortiques sont sensibles à la tension de la paroi
artérielle.
D. Lorsque la PA augmente, elle induit une activation du système nerveux sympathique, et
donc une bradycardie.
E. Le système rénine-angiotensine-aldostérone et ADH ont un même effet : une diminution
de la PA.
Question 28 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation hormonale de la
glycémie, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. L’apport régulier du glucose est indispensable à certaines cellules, qui n’utilisent que le
glucose comme substrat énergétique.
B. L’insuline favorise la synthèse de glycogène et de triglycérides.
C. L’augmentation de la glycémie induit une augmentation de la sécrétion d’insuline par les
cellules beta du pancréas
D. Le cortisol, hormone sécrétée par les glandes corticosurrénales, a les mêmes effets que
l’insuline.
E. L’insuline et l’adrénaline inhibent la néoglucogenèse.
Question 29 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation de la natrémie et de
l’hydratation, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Les variations du bilan de sel ne modifient pas la natrémie.
B. L’ADH inhibe la diurèse et est donc hyponatrémiante.
C. Un déficit en ADH est responsable d’un « diabète insipide », qui correspond à une
réabsorption excessive d’eau.
D. L’ADH agit par l’intermédiaire de l’AMPc et de la PKA.
E. La natrémie reflète l’hydratation globale.
Question 30 : Parmi les propositions suivantes concernant la régulation nerveuse et
hormonale, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A.
B.
C.
D.
E.
La soif met en jeu l’aire thalamique latérale.
La soif a une action hypernatrémiante.
Une hyperhydratation intracellulaire a pour conséquence une hypernatrémie.
Pour évaluer le stock d’eau d’un patient, on le pèse.
Les osmorécepteurs impliqués dans la régulation de la soif sont responsables de la
relation linéaire entre la concentration d’ADH et l’osmolalité plasmatique.
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Question 31 : Parmi les propositions suivantes concernant la thermorégulation, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Il n’est pas possible de définir quantitativement le biosystème en mesurant son énergie
interne.
B. Dans les biosystèmes, l’énergie peut être transformée potentiellement d’un type en un
autre à trois niveaux : la première étape est la photosynthèse, la seconde étape est la
respiration qui est le propre de la cellule animale, la troisième étape est le travail
cellulaire.
C. L’ensemble bio écosystème évolue donc de façon telle que l’entropie globale diminue.
D. Lorsque l’oxydation se produit de manière explosive dans un calorimètre, ΔH est connu
en mesurant la quantité de chaleur dégagée.
E. La chaleur est le moyen le plus commode pour le corps de transférer de l’énergie.
Question 32 : Parmi les propositions suivantes concernant la thermorégulation, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. L’énergie libre de Gibbs est la part de l’énergie totale d’un système qui ne peut être
convertie en travail en conditions isothermes.
B. Le catabolisme du glucose, comme toutes les oxydations, est un processus exergonique,
spontané, irréversible.
C. Le travail du cœur n’est pas le même selon les forces de gravitation qui règnent dans
l’écosystème par exemple.
D. La réserve énergétique quantitativement la plus grande est contenue dans le tissu adipeux.
E. La consommation d’oxygène, et par conséquent, la production énergétique, à l’état
stationnaire, est une fonction linéaire de la puissance de l’exercice.
Question 33 : Parmi les propositions suivantes concernant la thermorégulation, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Le travail de synthèse chimique représente 80 % de la dépense de fond.
B. La dépense de fond, est la dépense énergétique qui subsiste lorsqu’on a annulé la dépense
de fonctionnement (donc lorsque le sujet se trouve dans les conditions basales).
C. La dépense de fond est remarquablement fixe chez un même sujet.
D. La dépense énergétique est sensiblement proportionnelle à la surface corporelle.
E. Le débit cardiaque est sensiblement proportionnel à la surface corporelle.
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Question 34 : Parmi les propositions suivantes concernant la thermorégulation, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. La mesure de la dépense énergétique est généralement faite par la mesure de la
consommation d’oxygène, VO2.
B. Toute déviation du métabolisme de base de plus de 5 % par rapport à la valeur normale, à
un âge donné, doit être considérée comme pathologique.
C. Dans la convection libre, le déplacement du fluide est dû au changement de masse
volumique provoqué par les échanges de chaleur.
D. Le débit sanguin cutané est le facteur sur lequel l’organisme peut intervenir pour ajuster
les transports de chaleur à la production de cette dernière.
E. En première approximation la température centrale est égale à la température du sang
artériel et du sang veineux.
Question 35 : Parmi les propositions suivantes concernant la thermorégulation, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ? :
A. Les pertes par conduction s’accroissent lorsqu’une partie importante de la surface
corporelle entre en contact avec un corps bon conducteur de la chaleur comme l’eau.
B. L’hypothalamus antérieur est le siège des commandes thermorégulatrices s’opposant à
l’échauffement.
C. Les glandes sudoripares sont sous la commande du système parasympathique.
D. Les muscles squelettiques affectés par le frisson sont commandés par les voies motrices
pyramidales.
E. Si l’homme est génétiquement adapté à la lutte contre le froid, il est en revanche un
homéotherme imparfait dans la zone du chaud.
A remplir sur la grille à la ligne 70 :
Ce sujet était (plusieurs réponses possibles)
A/ trop long
B/ pas assez long
C/ trop dur
D/ pas assez dur
E/ d’une bonne longueur et d’une bonne difficulté
Pour d’éventuelles questions sur ce sujet et cette matière, n’hésitez pas à aller sur le forum du
tutorat : http://forum.tutoratpsa.org/
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