Contrôle de l’Ether via une compréhension des champs
orthogonaux
2/08/98 par Rick Andersen
Avec toutes les allusions dans la science underground sur les bobines "Caducée", les
bobines bifilaires, les bobines "Möbius", et les bobines bouteille de Klein, j'ai pensé offrir
mes deux sous et vous invite à considérer ce que le champ magnétique peut être
effectivement, que nous devrions essayer de l'annuler dans l'espoir de générer
l'insaisissable champs "scalaire".
Ce qui suit est une version « Andersenisée » de ce qu’est le magnétisme, et comment
nous pourrions tirer parti de ses dérivés pour atteindre la manipulation des domaines plus
subtils, comme le légendaire champs « CHI », « QI » ou « PSI », ou peut-être la gravité
elle-même...
Une charge électrique a été définie comme une contrainte sur « l'éther», un « jet violent
de flux de particules virtuelles, etc.
Un champ magnétique, créé autour d'une charge électrique lorsque cette charge est
accélérée, a souvent été appelé «la transformation relativiste d'un champ électrique ».
Ken Amdahl dans son livre « Il n’y a pas d'électrons » compare le champ magnétique à la
trace laissée dans l'eau après qu’un hors-bord soit passé, faisant basculer les chaloupes
dans l’interférence générée par la perturbation dans l'eau.
Voici un model visualisable qui postule d’un espace temps fait d’éther, qui est un flux de
particules ou de vagues énergétiques (dépendant de l’échelle d’observation), remplissant
tout l’espace « vide ». Une ligne de champ magnétique est formée par la perturbation
« roulante » faite dans l’éther quand un électron le traverse. Les autres champs suivent;
ils gagnent en complexité à chaque échelon sur l’échelle de la réalité, ces échelons sont
perpendiculaires entre eux sur les 3 axes de l’espace tridimensionnel.
Visualisons la progression suivante, en commençant par une charge mouvante :
1) Un électron « fend » l’éther dans un écran d’ordinateur. L’éther roule à angle droit,
formant un tore, laissant un « sillage » autour du chemin de l’électron, comme un rond de
fumée.
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Ainsi, nous avons un tore d’éther tournant, roulant, courbé perpendiculairement à son
roulement, autour d’un axe qui lui-même encercle le chemin original de l’électron
perturbateur. Appelons cette direction de roulement du rond de fumée le champ A, aussi
connu comme le VECTEUR DE POTENTIEL MAGNETIQUE. Ici, je défini ceci comme une
simple rotation de l’éther causée par le chemin de l’électron à travers lui, comme en
insérant une tige entre des rouleaux et notant la direction de roulement du rouleau.
2) Puisque l'électron perturbateur est plus susceptible de faire partie d'un courant
constant d’électrons voyageant sur un fil, visualisons donc une rangée entière de tels tores
d’éther, un après l’autre, tous roulants dans la même direction que les électrons. (fig.2)
(Comprenez que les tores ne tournent pas le long de leur circonférence extérieure comme
un volant, mais ils roulent de manière à ce que leur centre tourne de l’intérieur à
l’extérieur et bouge de l’extérieur vers l’intérieur etc.)
Notez que la superposition de tous ces tores adjacents tournants, donne un vecteur net à
l’éther ou champ A qui est entraîné derrière le flot d’électron dans la même direction ; sur
la ligne extérieure nous trouvons un flot opposé d’éther. Donc nous avons des vecteurs de
champ A intérieur et extérieur qui forment de longues boucles de direction opposées, dans
la superposition des boucles éthériques individuelles.
3) Au centre de chacun de ces tores d’éther individuels, ces boucles de champ A, il y a un
axe de basse pression (mentionné plus tôt) autour duquel le champ A d’éther tourne et
roule. Cet axe central est une ligne de flux magnétique, ou une ligne de champ B.
Sa direction est vers la gauche, ou antihoraire, tandis que l’électron se dirige sur l’écran.
(Fig.3) Cette courbe autour du chemin de l’électron est connue comme la «loi de la main
gauche » qui est apprise à l’école par les techniciens en électronique.
4) Si nous courbons maintenant le chemin du courant d’électron vers la gauche (fig.4),
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formant en une boucle le fil dans lequel ils voyagent, de sorte que finalement les électrons
retournent vers nous et sortent de l'écran, puis retournent dans l’écran pour en ressortir
de nouveau, les tores éthériques (desquels les axes constituent les lignes de champ
magnétique) deviennent alignés tant qu’il y a une nette direction du champ B dans la
boucle, aussi bien qu’un composant de direction opposée à l’extérieur de la boucle. Donc
nous avons respectivement un pôle Nord et Sud. Le pôle Sud est situé où les lignes
entrent dans la boucle, convergentes. Le pôle Nord est situé où elles quittent la boucle,
divergentes.
5) Si l’on enroule beaucoup de boucles d’électrons, l’une après l’autre, le long d’un axe
commun (ex. bobiner un solénoïde, et le placer verticalement, avec les électrons entrant
en haut et descendant en spirale jusqu’en bas), la superposition de toutes les lignes de
champ B produiront un flot concentré vertical de lignes de champ B au centre du
bobinage, lequel sortira alors et remontera au sommet de la bobine en boucles larges du
bas vers le haut. Le haut, où les lignes de champ entrent, est le pôle Sud. Le bas d’où
elles sortent, est le pôle Nord. (fig.5)
Cet ensemble de boucles à angle droit du bobinage est ce que l’on appelle le champ
magnétique du solénoïde, similaire en cela à une barre d’aimant.
6) À ce point nous avons un autre regard sur ce qui est arrivé au champ A. D’ailleurs les
choses commencent à être plus difficiles à visualisées à ce niveau de complexité, l’effet
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net est que nous voyons maintenant le champ A comme un ensemble de cercles
concentriques, entourant le solénoïde sur sa longueur, parallèlement au fil du bobinage
(fig.6). La direction du flot au sein de ces cercles est apparemment à l'encontre de celle de
la circulation du courant dans la bobine.
Le champ magnétique B existe à angle droit du bobinage et du champ A. Donc l’ingénieur
électricien définit le champ B comme la courbe du champ A. Une ligne de force
magnétique, encore une fois, se situe où le vecteur de potentiel magnétique A, tourne ou
se courbe autour d’un axe cylindrique central. Cela crée une zone de basse pression dans
l’éther. Une différence de pression dans l’éther produit un potentiel pour la force
magnétique, dans ce cas B = courbe A.
7) Maintenant prenons la bobine solénoïde et courbons la jusqu’à ce que les bouts se
connectent en un cercle. Nous avons maintenant une bobine torique, et c’est ici que les
choses deviennent intéressantes quand on les regarde d’un point de vue éthérique.
La première chose que nous notons est ceci, à toutes fins pratiques, toutes les lignes
magnétiques de champ B sont maintenant à l’intérieur de la bobine (fig.7). Cette
propriété, spécialement quand la bobine est enroulée sur un noyau de matériau
hautement perméable, donne au tore la capacité de se protéger lui-même des champs
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magnétiques extérieurs. C’est pourquoi les bobines toriques sont devenues si populaires
pour les fabricants de récepteurs radio. Finis sont les jours où les bobines RF devaient être
emboîtées dans du métal mis à la masse permettant qu’un couplage magnétique
indésirable ne se produise entre les étages d’amplification très sensibles.
Maintenant examinons le champ A d’une bobine torique (fig.8) : il ressemble au champ B
d’un solénoïde ! Donc il y a une nette direction du flot du champ A à travers le trou central
de la bobine torique en forme de beignet. Il y a une direction présumée Nord et Sud. Les
lignes de potentiel du champ A affluent dans le trou central d’un côté, concentrées là, puis
s'écoulent de l'autre côté et s’élargissent en de plus grandes boucles qui finissent par
converger de nouveau dans la bobine. Ainsi, tandis que le champ magnétique B d’une
bobine torique est circulaire et est contenu presque entièrement dans la bobine elle-
même, le vecteur de potentiel magnétique (champ A) est de forme toroïdale, comme
une version agrandie du bobinage lui-même, et est composé probablement, de boucles
toroïdales d’éther, avec une direction déterminée à travers le tore !
A ce niveau, jetons un coup d’œil en arrière et demandons nous comment nous avons
construit notre description du champ A. Et bien, le champ A est le roulement original de
l’espace temps ou éther à la façon d’un « rond de fumée » autour du chemin d’un électron
en mouvement. Par conséquent, le champ A ou vecteur de potentiel magnétique est
également un mouvement, ou mouvement potentiel de l’éther ! Donc, la bobine torique,
avec son champ magnétique caché dans le tore (non pas annulé), semble ne donner
aucun effet magnétique, mais donne un flux (ou flux potentiel) d’éther à travers le trou du
beignet, dans une direction définie.
A ce point, implantons une bobine torique dans une image dans laquelle il y a des
vecteurs d’éther tombant verticalement d’en haut (fig.9), et orientons la polarité de notre
champ torique de manière à ce que les vecteurs éthériques du trou central pointent vers
le haut, par opposition les vecteurs extérieurs pointent vers le bas.
Maintenant, supposons que ces vecteurs pointant vers le bas sont équivalents à un champ
de gravité. Disons que cette gravité « pousse », elle ne « tire » pas, dans le sens qu’il y a
un flux omnidirectionnel de pression éthérique en tous points de l’espace. Si vous êtes sur
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