magnétiques extérieurs. C’est pourquoi les bobines toriques sont devenues si populaires
pour les fabricants de récepteurs radio. Finis sont les jours où les bobines RF devaient être
emboîtées dans du métal mis à la masse permettant qu’un couplage magnétique
indésirable ne se produise entre les étages d’amplification très sensibles.
Maintenant examinons le champ A d’une bobine torique (fig.8) : il ressemble au champ B
d’un solénoïde ! Donc il y a une nette direction du flot du champ A à travers le trou central
de la bobine torique en forme de beignet. Il y a une direction présumée Nord et Sud. Les
lignes de potentiel du champ A affluent dans le trou central d’un côté, concentrées là, puis
s'écoulent de l'autre côté et s’élargissent en de plus grandes boucles qui finissent par
converger de nouveau dans la bobine. Ainsi, tandis que le champ magnétique B d’une
bobine torique est circulaire et est contenu presque entièrement dans la bobine elle-
même, le vecteur de potentiel magnétique (champ A) est de forme toroïdale, comme
une version agrandie du bobinage lui-même, et est composé probablement, de boucles
toroïdales d’éther, avec une direction déterminée à travers le tore !
A ce niveau, jetons un coup d’œil en arrière et demandons nous comment nous avons
construit notre description du champ A. Et bien, le champ A est le roulement original de
l’espace temps ou éther à la façon d’un « rond de fumée » autour du chemin d’un électron
en mouvement. Par conséquent, le champ A ou vecteur de potentiel magnétique est
également un mouvement, ou mouvement potentiel de l’éther ! Donc, la bobine torique,
avec son champ magnétique caché dans le tore (non pas annulé), semble ne donner
aucun effet magnétique, mais donne un flux (ou flux potentiel) d’éther à travers le trou du
beignet, dans une direction définie.
A ce point, implantons une bobine torique dans une image dans laquelle il y a des
vecteurs d’éther tombant verticalement d’en haut (fig.9), et orientons la polarité de notre
champ torique de manière à ce que les vecteurs éthériques du trou central pointent vers
le haut, par opposition les vecteurs extérieurs pointent vers le bas.
Maintenant, supposons que ces vecteurs pointant vers le bas sont équivalents à un champ
de gravité. Disons que cette gravité « pousse », elle ne « tire » pas, dans le sens qu’il y a
un flux omnidirectionnel de pression éthérique en tous points de l’espace. Si vous êtes sur