,
STAGE DE RECHERCHE de MASTER 2èME ANNEE
Master « Océan, Atmosphère, Climat, Observations Spatiales »
Année Universitaire 2016-2017
LABORATOIRE Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement
TITRE DU SUJET DE STAGE : Rôle des poussières et de la végétation dans les
changements de caractéristiques des événements El-Niño
COORDONNEES DU RESPONSABLE :
Nom – Prénom : Braconnot Pascale
Grade: directeur de recherche
Adresse: Orme des Merisiers, bat 712, 91191 Gif sur Yvette cedex
Téléphone : +33 1 69 08 77 21
Téléphone du secrétariat : +33 1 69 08 77 11
Fax :
NATURE DU SUJET :
Théorie Pas du tout xUn peu Beaucoup
Modélisation num. Pas du tout Un peu xBeaucoup
Expérimentation xPas du tout Un peu Beaucoup
Analyse de données Pas du tout Un peu xBeaucoup
Instrumentation xPas du tout Un peu Beaucoup
POURSUITE :
Ce stage peut-il donner lieu à un sujet de thèse ? oui sur l’aspect stochastique des
changements de variabilité climatique dans le long terme dans un climat moyen en évolution.
Noter que le stage de M2 peut être totalement indépendant du sujet de thèse.
SUJET :
Développer le sujet sur une page maximum.
Le dernier rapport du GIEC (2013) fait ressortir que les liens entre les changements de
variabilité climatiques aux échelles interannuelles à multi décennales, les changements de
saisonnalité et les tendances à long termes sont encore peu compris. En particulier, il y a
encore peu de consensus concernant l’évolution future des moussons et du phénomène El
Niño. Une partie de la difficulté provient de l’aspect chaotique de la variabilité climatique,
associée par exemple au phénomène El Niño dans les régions tropicales. De plus, les
dernières décennies étant déjà perturbés par le réchauffement climatique induit par l’activité
humaine, certaines caractéristiques de la variabilité peuvent déjà être modulées par les
tendances du climat, ce qui rend difficile une bonne caractérisation sur la période
instrumentale. L’objectif du stage est d’explorer ces liens entre variabilité et tendances du
climat moyen à l’Holocène moyen et dans le futur, en considérant un ensemble de simulations
multi-complexité avec le modèle l’IPSL. Ces simulations, réalisées dans le cadre d’un projet
européen de calcul intensif, permettent d’explorer, en plus du couplage océan-atmosphère, le