Etudiants relativement nombreux grâce à la cohabilitation Paris VI/VII/XI + Cea
Entre 30 et 40 étudiants par ans. Assez bien dotés, mais semble avoir du mal à maintenir les
flux. Une dizaine d'étudiants du magistère de Paris XI, 5 du M1 de Paris VI, et quelques-uns de
Paris VII. Pour maintenir la taille de la promotion, la fraction d'étudiants étrangers croit. Tous
les cours sont en anglais.
Epoque à laquelle tous pouvaient faire une thèse est révolue. Quelques étudiants étrangers se
réorientent dans un autre M2, ou rentrent dans leur pays. Tous ceux qui ont une note > 12
arrivent à être financés. Certains veulent partir dans le privé, l'enseignement, ...
Une centaine de candidatures.
Le nombre de provinciaux reste faible.
Pas mal d'étudiants d'école d'ingénieurs.
Tropisme des étudiants vers la théorie.
Master X-Zurich-Cambridge (Mathieu):
Master assez théorique, entre NPAC et le master de Physique théorique. 6 élèves
(4 X, Un anglais, un Canadien) la première année, 15 l'année prochaine. Double
diplôme international. En phase de rodage. Incitation pour que des ingénieurs se dirigent vers
un M2 et une thèse.
Donner plus de visibilité à la physique expérimentale en utilisant la structure IN2P3.
Autrefois la coordination entre les DEA était mal vue. Cela l'est encore malgré des progrès. Il ne
s'agit pas d'uniformiser les programmes. Mais le regroupement d'étudiants est une bonne chose.
Cela se fait en particulier en physique de plasmas (regroupement à Cadarache, effet ITER).
On pourrait imaginer d'avoir une semaine de regroupement.
Ou avoir une plateforme unique et les faire défiler dessus.
⇒ Pas juste un scintillateur, mais une plateforme de pointe.
Faut-il s’inspirer de l’école européenne de physique des accélérateurs à Archamps à côté du
Cern (JUAS) ? (cursus sur 3 mois, pas facile à insérer dans une formation de M2).
Il y a un projet de faire cela à Grenoble en physique expérimentale.
Questions communes:
- Sélection des étudiants étrangers. Certaines filières sont meilleures que d'autres - échanger un
peu d'information là-dessus.
- Manière de faire la publicité à l'étranger: ne pas se faire trop concurrence à l'étranger. Avoir un
impact plus fort sans casser les équilibres.
⇒ Mais aussi faire de la publicité en France! l'IN2P3 peut être un point de convergence (stages
Janus, ....) de façon à attirer les étudiants vers nos disciplines.
Attention aux difficultés de financement des stages (mentionné à Giens)
⇒ l'IN2P3 pourrait être fédérateur, sous la forme d'une école, qui permettrait de mettre à niveau
les étudiants d'écoles d'ingénieur.
- Plateformes d'expérimentation: affaire d'argent également. Cela doit se monter. L'IN2P3 peut
contribuer, même si ce serait de l'argent qui serait enlevé à la recherche ⇒ Faire du Lobbying
auprès des présidents d'Université. C'est surtout en région qu'il faudrait le faire.
⇒ Etienne Augé va lancer une enquête auprès des responsables de M2 (Moyens, ce qu'ils ont
déjà, ce dont ils ont besoin, ...;)
- Interactions entre différentes formations: points plus controversés.
essayer de mettre en place des renvois d'ascenseur. Partage d'étudiants, d'enseignants. Prêt de
matériel pour des TPs. Cela n'avancera que par expérimentation.
- Autre point controversé souligné par Aurélien: on n'est pas la juste pour répondre aux besoins
de l'IN2P3. Il faut maintenir une formation de qualité indépendamment de la politique à court