13.02 13.02
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14.02
12.02 12.02
11.02 11.02
10.02 10.02
MER. 11.02
l’Espace Culture Université de Lille,
Sciences et Technologies / Villeneuve d’Ascq
Pour faciliter l’accès au lieu, rendez-vous devant la sation de métro
cité Scientifique dès 18h30. L’équipe du festival vous y emmène !
(Plusieurs voyages)
DÉBUT DE LA SOIRÉE À 19H
19H / LECTURE-MUSICALE
ASPARAGUS
De Gianina Carbunariu
L’Arche est agent théâtral du texte représenté
Mise en espace Eva Doumbia
Avec Jean-Claude Giraudon et David Scattolin
Le musicien Lionel Elian est invité sur cette lecture
A travers leur quête de nourriture, les deux protagonistes
d’Asparagus parlent du repli sur soi, de communautarisme
dans un monde globalisé. George est anglais, il a environ 70
ans. Dani est roumain, il en a une bonne trentaine. Tous les
deux déambulent dans un supermarché avant sa fermeture,
au moment où les réductions sont les plus intéressantes. On
suit le monologue intérieur des deux protagonistes dans leur
recherche des produits alimentaires les moins chers.
—
Dani et George ne se parlent pas. Ils se croisent. Ils se jaugent.
Le texte est constitué des pensées qui habitent chacun devant
les produits alimentaires en putréfaction. Ils rêvent de soleil
et haïssent de manière égale les tziganes. Car il ne s’agit pas
d’une diatribe contre la malbouffe ou les magasins discount, mais
d’une métaphore des relations entre Europe de l’Est et de l’Ouest,
entreprise par l’auteure de « Kebab ». Le texte est très concret : les
pensées décrivent le cellophane entourant les poulets, les cre-
vettes presque verdâtres. Sans que les personnages ne le sachent,
leurs consciences se répondent, s’accordent, se complètent. Le
travail des comédiens tient plus de la partition que de l’inter-
prétation à deux. Aussi, pour cette mise en lecture, je propose
un dispositif sonore et musical, de manière à faire entendre la
dimension « mentale » de l’écriture. Une sorte d’apéritif musical
invitant à collectivement rire de désespoir.
Eva Doumbia
BUFFET CONVIVIAL
21H / SPECTACLE-DOCUMENTAIRE
NOURRIR L’HUMANITÉ
C’EST UN MÉTIER
Création collective / Cie Art & tça
Conception, écriture et interprétation
Charles Culot et Valérie Gimenez
Ecriture et mise en scène Alexis Garcia
Conseiller artistique Jos Verbist
Quel avenir pour notre ruralité ? Notre Culture ? Les géants de
l’agriculture seront-ils les seuls à nourrir l’humanité ? Quel ave-
nir pour notre nourriture ? Notre paysage ? Dans cette pièce de
théâtre documentaire, à travers le sort des agriculteurs, c’est l’état
de notre monde et de celui que nous laisserons à nos enfants qui
est ici interrogé. Derrière une simple table nappée d’une toile ci-
rée, un couple d’agriculteurs raconte son quotidien. Puis l’accent
change, un autre couple, un autre témoignage. Sur scène, Charles
Culot, fils d’agriculteurs lui-même, et Valérie Gimenez donnent vie
aux agriculteurs qu’ils ont rencontrés.
—
Nous sommes trois lauréats de l’Esact (conservatoire de théâtre
de Liège) et avec d’autres avons fondé la Cie Art & tça en 2002.
Nous travaillons à partir du réel afin de créer des outils de
sensibilisation sur des sujets d’actualité, des faits de société
méconnus et dont nous sentons l’urgence du changement. Nourrir
l’Humanité c’est un métier a été écrit sous l’impulsion de Charles
Culot, fils d’une famille d’éleveurs, avec qui nous sommes allés à la
rencontre de nombreux agriculteurs Belges et Français pour recueillir
leurs témoignages sur la situation agricole actuelle. Notre écriture
se base sur la restitution de leur parole, et notre travail a été de la
rendre le plus lisible possible, afin que personne n’en ressorte indemne.
Tarif soirée : 10€ / Étudiants : 5 €
(Tarif unique : deux parties et buffet)
MAR. 10.02
La Ferme d’en Haut / Villeneuve d’Ascq
En partenariat avec la médiathèque Till l’espiègle
Villeneuve d’Ascq
DÉBUT DE LA SOIRÉE À 19H
19H /LECTURE
BULL
De Mike Bartlett
Mise en espace Olivier Coyette
Avec Bruno Buffoli, Olivier Coyette, Maxime Guyon,
Flavia Papadaniel
INÉDIT DANS PRISE DIRECTE
Première traduction française de Kelly Rivière
Avec le soutien de la Maison Antoine Vitez
Simplement il ne m’aime pas, cela n’a rien à voir avec le travail.
Deux postes. Trois candidats. C’est vraiment le mauvais moment
pour avoir une tâche sur ta chemise.
—
Le taureau est lâché dans l’arène pour sa mise à mort. La corrida
qui s’y déroule ne convoque pas de spectateurs : c’est un huis-clos.
Le verdict est tombé avant que la lutte ne commence. Non pas
un « combat avec l’ange », mais avec deux petits démons de la
comédie humaine ordinaire, qui voit le cynisme triompher, et l’âge
de pierre où le plus fort s’impose. Cette « sélection naturelle »,
en tant qu’adulte, je la refuse. Les humiliations de cour de récréation,
je les condamne. D’une écriture acérée, rapide, impitoyable, il nous
plonge dans un cauchemar où l’on peine à reprendre son souffle. Où
la blessure tailladée dans la chair s’agrandit tant et plus au fil de la
narration, et où la mort vient comme un soulagement. Une heure de
mise à mort, ça suffira pour ce soir. L’homme qui défend son humanité
est plus grand que ceux qui la lui volent.
Olivier Coyette
BUFFET CONVIVIAL
21H / PERFORMANCE /
LECTURE-MUSICALE
Avec l’auteure-metteure en scène
Alexandra Badéa (en direct de Berlin)
Grand prix de littérature dramatique 2013
Qui invite l’auteur Samuel Gallet
et le compositeur-musicien Benjamin Collier
J’écris toujours à partir du concret, du réel, de ce qui me fait
violence dans le monde contemporain, dans le discours public.
Je cherche les endroits où le politique interfère dans l’intime.
Dans le contexte d’aujourd’hui où le temps de monter une
production se prolonge, je m’interroge sur la possibilité des
auteurs de parler en synchronisation immédiate avec l’actualité.
—
Dans ce sens on va expérimenter avec Samuel Gallet un dispositif
d’écriture où l’auteur est sur le plateau le temps de la représentation
théâtrale et où il peut intervenir en écrivant en direct, devant les spec-
tateurs, en réagissant à ce qui vient juste de se produire, en mixant
avec le musicien Benjamin Collier des textes préenregistrés, des extraits
de journaux télé ou radio. En étant à distance entre Berlin et Ville-
neuve d’Ascq, on va tenter ensemble de créer une écriture commune
via de nouveaux outils technologiques d’aujourd’hui.
Alexandra Badéa
Tarif soirée : 10€
(Tarif unique : deux parties et buffet)
JEU. 12.02
Théâtre de l’Oiseau-Mouche
Le Garage / Roubaix
DÉBUT DE LA SOIRÉE À 19H
19H / LECTURE
DÉFAUT DE FABRICATION
De Jérôme Richer
Mise en espace Jacques Descorde
Avec Florence Decourcelle et Hervé Lemeunier
Coproduction Cie de l’Oiseau-Mouche / Francophonies en Limousin
Première partie d’un diptyque, Défaut de fabrication a reçu le prix 2012 de la Société suisse des auteurs (SSA)
à l’écriture théâtrale. La pièce a bénéficié d’une bourse littéraire de Pro Helvetia, fondation suisse pour la culture.
Elle a été retravaillée dans le cadre d’E.T.C. (Ecriture Théâtrale en Chantier)
Jérôme Richer décrit avec justesse, force et élégance la vie d’un
couple d’ouvriers, le manque de douceur, de fric, l’amour qui a
foutu le camp après plus de trente ans de mariage, le corps
façonné par la machine et les mains gonflées par les produits
chimiques. Et surtout l’envie folle d’un homme qui décide de
tout lâcher, de faire table rase de toute une vie, de « se mettre
en panne », puisque le sens de sa propre vie s’en est allé.
—
Il était une fois, un homme et une femme qui vivaient dans un appar-
tement HLM, à l’intérieur d’une tour. Ils étaient mariés depuis de
nombreuses années. Leur amour s’était progressivement étiolé pour
laisser place à la morne habitude de la vie partagée. L’homme tra-
vaillait pour une entreprise de la région. Il était ce qu’on appelle un
ouvrier. La femme faisait des ménages pour le compte de plusieurs
particuliers. Pour autant, ils n’étaient pas spécialement à plaindre. Un
jour, l’homme rentra du travail plus tôt que prévu. Pour seule explica-
tion, il dit qu’il se sentait fatigué. L’homme et la femme finirent par
se disputer. Cette dispute n’était ni plus grave, ni moins grave que les
précédentes. Mais quelque chose avait changé.
Jacques Descorde
Suite à la lecture, le public est invité à se rendre
à la Condition Publique (3 min. à pied) pour un
BUFFET CONVIVIAL
La Condition Publique / Roubaix
21H / LECTURE
CHAÎNE DE MONTAGE
De Suzanne Lebeau
Le texte est édité en France aux Éditions Théâtrales
Une création du Carrousel, compagnie de théâtre et du Théâtre de Quat’Sous (Montréal)
Mise en espace Arnaud Anckaert
Avec Corine Masiero
Et les musiciens Ivann Cruz (Du Collectif Muzzix / composition, guitares)
et Olivier Lautem (diffusion sonore, électronique)
Montage des images de Angel Estrada Soto (Mexique) : Manuella Anckaert
En 1993, on retrouve le corps à moitié enterré d’une jeune fille
violée et assassinée à Juàrez, au Mexique. Elle est la première
victime d’une liste effroyable de centaines ouvrières tuées
durant vingt ans. L’affaire n’a jamais été élucidée. Sans doute
parce que les cibles sont des femmes, des prolétaires sans
visage et sans voix. Elles sont les maillons interchangeables
de cette chaîne de montage d’usines produisant vêtements
et objets pour alimenter la surconsommation des Américains
du Nord. Suzanne Lebeau lance un cri d’alarme pour que ces
mortes ne restent plus ignorées.
—
J’ai lu ce texte et je l’ai pris en pleine figure, il y a une volonté de
connaître ce qui est impensable. Autrefois, il n’y pas si longtemps, on
faisait référence aux atrocités liées à la guerre, notamment aux camps
de concentration. Aujourd’hui, la guerre c’est le néolibéralisme débridé,
et les camps de concentration, ce sont les usines délocalisées.
Certains penseront que j’exagère, mais en lisant ce texte il n’y a
plus d’ambiguïté. Ce qui se passe à Juàrez dépasse l’entendement.
Écrit comme une enquête, ce monologue est une saine colère, il incite
à garder les yeux ouverts.
Arnaud Anckaert
Tarif soirée : 12€
(Tarif unique : deux parties et buffet)
21H : FÊTE
DE CLÔTURE
À La rose des vents / Villeneuve d’Ascq
Après le spectacle Hetero de Thomas Condemine / TPN Theatre
BUFFET CONVIVIAL
LOVE LETTERS
LECTURE-PERFORMANCE MUSICALE
Performance de vos lettres d’amour
par les artistes du festival.
CONCERT
SHRI ET JC001(chanteur du peuple de l’herbe)
Tarif soirée : 10€
(Tarif unique : deux parties, buffet et fête de clôture)
VEN. 13.02
maison Folie Wazemmes / Lille
DÉBUT DE LA SOIRÉE À 19H
19H / LECTURE
CES FILLES-LÀ
D’ Evan Placey
Représentée en Angleterre par Knight Hall Agency Ltd
Avec le soutien de la Maison Antoine Vitez
Mise en espace Leyla-Claire Rabih
Avec Céline Dupuis, Floriane Potiez et Jeanne Bonenfant, Suzanne Gellée,
Lou Valentini (élèves-comédiennes de l’École du Nord)
INÉDIT DANS PRISE DIRECTE
Première traduction française d’Adelaïde Pralon
Les filles de Sainte Hélène ont grandi ensemble. Elles ont juré
qu’elles seraient amies pour la vie. Mais quand une photo
de Scarlett nue fait le tour des élèves, les filles l’évitent, chu-
chotent, et les garçons rigolent. Isolée, harcelée, Scarlett est
obligée de changer de lycée. Mais son histoire la rattrape, sa
photo circule à nouveau. Elle disparaît et les médias s’emparent
de l’histoire. Au milieu du chœur des filles, surgissent des voix
plus anciennes, celles de femmes de générations passées, des
années 20, 60, 80, des femmes qui se sont battues pour leurs
droits, leur liberté.
—
Ces filles-là fait entendre les voix de très jeunes filles autour de ce
qu’on appellerait une rumeur, au sens sociologique du terme. La
fulgurante férocité de l’adolescence s’allie à la rapidité de la techno-
logie. Comment enfle une rumeur ? Quelles pressions subissent les
adolescentes aujourd’hui, soumises aux images stéréotypées de la
femme, aux injonctions à se définir par le groupe et l’image de soi ?
Comment l’individu peut-il se construire sans éprouver la limite entre
virtuel et réel, entre soi et les autres ? Une forme polyphonique et
narrative, qui laisse émerger une fine critique de nos sociétés
hyper-connectées et hyper-technologisées.
Leyla-Claire Rabih
BUFFET CONVIVIAL
21H / LECTURE-PERFORMANCE
DES COWBOYS
De Sandrine Roche
Mise en espace par elle-même
Avec Pédro Cabanas, Lyly Chartiez, Fanny Chevallier,
Farido Ounchouiene et Victor Guillemot (élève-comédien de l’École du Nord)
Les musiciens SHRI, et JC001 (chanteur du Peuple de l’herbe)
sont invités sur cette lecture
Texte écrit en résidence à La chartreuse, Villeneuve-les-Avignon
« J’ai toujours dit qu’il n’y avait rien de meilleur pour
un homme que d’être assis sur un cheval. »
Ronald Reagan 12 août 1987
Un vieux dicton de l’ouest affirme qu’ « un homme sans cheval
est tout sauf un homme ». Et un homme sans chaussures ?
Sans chapeau ? Sans rien ? Est-ce que c’est encore un
homme ? Des cow-boys joue avec les codes du western pour
s’inscrire dans notre société capitaliste : conquête, possession,
territoires, frontières, duels, loi du plus fort… autant de notions
transposées dans nos vies quotidiennes, pour comprendre ce
que devenaient nos identités, nos langues, et nos corps dans le
grand marché du vendu/acheté.
—
L’envie de travailler sur Des cow-boys est née de la série de règlements
de comptes marseillais dont j’ai été le témoin médiatique en 2012.
Un western s’est rapidement imposé ; un espace où le plus fort fait
la loi ; où la loi dépend de l’argent : où l’argent créé le monde…
J’ai ensuite beaucoup voyagé. J’ai observé les corps, les attitudes,
les regards ; j’ai étudié le vocabulaire en fonction des espaces,
des âges, des contextes … Je me suis intéressée de près à ce que
représentait l’inconnu, l’autre, l’ailleurs, l’étranger. A ce que re-
présentait notre vivre ensemble. Et j’ai décidé de travailler sur le
contenu du texte d’abord en regardant et en écoutant des gens.
En discutant ensemble de notre « être ou ne pas être » cow-boys.
Et j’ai écrit un texte qui parle.
Sandrine Roche
Tarif soirée : 9€ / Réduit: 5 €
(Tarif unique : deux parties et buffet)
Journée
du 14.02
Médiathèque
Jean Lévy / Lille
10h
BRUNCHEZ
AVEC SANDRINE
ROCHE
Rendez-vous dans cette
belle bibliothèque
pour rencontrer
Sandrine Roche autour
d’un brunch !
SAM. 14.02
JOURNÉE ET SOIRÉE
LOVE LOVE
Dans le planétarium du Forum départemental
des Sciences / Villeneuve d’Ascq
DÉBUT DE LA JOURNÉE À 15H
15H / LECTURE
LES
DÉTERRITORIALISATIONS
DU VECTEUR
ATLAS DE L’ANTHROPOCÈNE
CARTOGRAPHIE 3
Le moustique-tigre, les aires d’autoroute, la dengue et le
chikungunya (contribution à une géographie des épidémies)
De et par Frédéric Ferrer
Photographe autoroute, assistante effets visuels Claire Gras
Production Vertical Détour, Domaine d’O (Montpellier)
« Une histoire d’amour impossible »
Le vecteur c’est le moustique-tigre. On l’appelle tigre ce petit
moustique, parce qu’il est rayé comme un tigre, et c’est un
vecteur parce qu’il transmet des virus. Celui de la dengue. Et
aussi celui du Chikungunya. Alors les hommes ne l’aiment pas
beaucoup. C’est pour cela qu’ils veulent le tuer partout où il
se trouve. Mais c’est très compliqué ça, parce que justement
aujourd’hui, ce petit moustique se trouve partout. Parce que
lui, justement, il aime les hommes.
—
Cela faisait longtemps que j’avais envie de faire quelque chose avec
des lieux et des cartes. Et l’accélération actuelle du monde, boulever-
sant les milieux et les hommes, excite davantage mes envies d’explora-
teur. L’Atlas de l’anthropocène est né de ça. De mon envie de raconter
des espaces. C’est un recueil de cartographies des bouleversements
du monde, nourri d’enquêtes, de rencontres et d’échanges avec les
« connaisseurs » de l’espace cartographié et des thématiques
abordées. Chaque cartographie met donc en jeu un territoire, pose une
question centrale non résolue. Sans question, il n’y a pas de cartographie.
Chaque cartographie développe un raisonnement par hypothèses.
Frédéric Ferrer
La rose des vents, Scène nationale
Lille Métropole / Villeneuve d’Ascq
Dans le cadre de la soirée Love Love des Samedis de la rose
17H / LECTURE
CHACUN VAQUE
À SON DESTIN
D’Antoine Lemaire
Mise en espace Sophie Rousseau
Avec Murielle Colvez et Antoine Lemaire
L’écriture de ce texte a pour origine une question et un projet
mené avec des personnes âgées et des jeunes adolescents :
Comment parler de ce qui est important dans la vie ? C’est
l’histoire d’un homme et d’une femme riches de l’expérience
d’une vie qu’ils ont construite ensemble. Ils pensaient la
poursuivre comme ils l’avaient inventée jusque là, mais la
maladie bouleverse ce projet. La maladie oblige à réinventer
leur rapport comme si c’était la première fois.
—
C’est l’histoire d’un homme et d’une femme qui ont passé une
vie ensemble. On sent qu’ils s’aiment toujours après ces années
partagées. Un jour, elle ne revient pas. Il l’attend. Elle rentre tard
dans la nuit. Elle ne sait pas qu’il est tard. Elle ne se souvient
pas de ce qui s’est passé. Il veut faire comme si tout était presque
normal mais elle le met devant le fait accompli : elle est malade,
elle a la maladie d’Alzheimer. Le sujet est grave mais le texte
d’Antoine Lemaire permet de partager l’intimité de ces
personnages avec la distance de l’humour. C’est drôle, délicat,
émouvant, parfois piquant. Le texte réussit le pari de nous donner
envie de profiter de chaque instant de la vie et de rester inventif avec
ceux qu’on aime.
Sophie Rousseau
Journée
du 10.02
Médiathèque
Till l’Espiègle à
Villeneuve d’Ascq
Formation à l’attention
des bibliothécaires
DÉCOUVERTE
DES AUTEURS
CONTEMPORAINS
Intervenants :
Soazic Courbet, librairie
Théâtrale Dialogues
Théâtre, et l’auteur
Samuel Gallet
Organisée par le Centre
de Ressources Régional
du Théâtre en Amateur,
en partenariat avec la
Médiathèque
Départementale du Nord
et la Médiathèque
Till l’espiègle
à Villeneuve d’Ascq.
Journée
du 12.02
la Condition
Publique
Roubaix
Rencontres inter-lycéennes
des options théâtre,
atelier de pratique théâtrale.
Premières et terminales
(options obligatoires)
L’APPROCHE
DU CONTE
DANS
L’UNIVERS
DE JOËL
POMMERAT
Intervenantes : les comédiennes
Isabelle Rivoal et Maya Vignando
Interprètes dans les spectacles de
Joël Pommerat / Cie Louis Brouillard
Journée
du 13.02
Université Lille 3
Villeneuve d’Ascq
Avec le soutien des Laboratoires
CEAC / CECILLE, et du service
Action Culturelle
10h/12h
et 13h/15h
DU TEXT(O)
PLATEAU /
FROM TEXT(ING)
TO STAGING
En présence de l’auteur
Evan Placey,
de la traductrice
Adelaïde Pralon
et de la metteur en scène
Leyla-Claire Rabih.
Avec la participation
des étudiants des arts de
la scène et de la littérature
anglophone.
Ouvert à tous
Renseignements et résas :
Cie Théâtre du Prisme
+33 (0)3 20 56 15 12
—
maison Folie
Wazemmes / Lille
Rencontres inter-lycéennes
des options théâtre.
Avec Sandrine Roche,
et JC 001 (Chanteur du
Peuple de l’herbe)
Visite de l’exposition de
photo “De là-bas et d’ici”
de Gilles Roudet
Premières et terminales
(options obligatoires et
facultatives)
Bibliothèque publique
de Mouscron
20 Rue du Beau Chêne
Mouscron (B)
0032 56 860 685
www.bibliotheque-
mouscron.be
—
La Ferme d’en Haut
268, rue Jules Guesde
Villeneuve d’Ascq
+ 33 (0) 3 20 61 01 46
—
Espace Culture - Université
de Lille, Sciences et
Technologies
Pour cette soirée
rendez-vous à la station
de métro Cité Scientifique
Cité Scientifique
Villeneuve d’Ascq
+33 (0) 3 20 43 69 09
culture.univ-lille1.fr
—
Théâtre de l’Oiseau
Mouche / Le Garage
28, avenue des Nations Unies
Roubaix
+33 (0)3 20 65 96 50
www.oiseau-mouche.org
—
La Condition Publique
14, place Faidherbe Roubaix
+33 (0)3 28 33 48 33
www.laconditionpublique.com
Université Charles
de Gaulle Lille 3
Domaine universitaire du
“Pont de Bois” Rue du Barreau
Villeneuve d’Ascq
www.univ-lille3.fr
—
maison Folie Wazemmes
70, rue des Sarrazins Lille
mfwazemmes-lille.fr
—
Médiathèque
Jean Lévy
32/34 rue Édouard Delesalle Lille
+33 (0)3 20 15 97 20
—
Forum départemental
des Sciences
1, Place de l’Hôtel de ville
Villeneuve-d’Ascq
+ 33 (0)3 59 73 96 00
www.forumdepartemental
dessciences.fr
—
La rose des vents,
Scène nationale
Lille Métropole
à Villeneuve d’Ascq
boulevard Van Gogh
Villeneuve d’Ascq
+33 (0)3 20 61 96 96
www.larose.fr
—
Fort de Mons,
Le Trait d’Union
12 rue de Normandie
à Mons-en-Baroeul
+33(0)8 99 23 76 47
INFOS PRATIQUES
CONTACT
Compagnie Théâtre du Prisme
+33(0)3 20 56 15 12
—
Suivez le festival sur
facebook.com/FestivalPriseDirecte
VENIR AU FESTIVAL
Les accès route, métro, bus, v’Iille sont disponibles
sur le site du festival :
www.theatreduprisme.com/prisedirecte