o OBSERVATION : Chez la femme, le cycle ovarien est actif à partir de la puberté seulement.
Quel problème cela pose -t’il ?
o PROBLEME :
_Il doit exister un contrôle de cette activité : Comment est contrôlée l’activité
ovarienne ?_________________________________________________________________________
o Pouvez-vous formuler des HYPOTHESES qui permettent de répondre au problème scientifique
posé ?
(éventuellement en vous inspirant de ce qui a été vu lors de l’étude de la physiologie sexuelle de
l’homme)
-_Intervention des hormones hypophy_____________________________________aires comme chez
__________________________
l’homme.__________________________________________________________________________
Pour résoudre le problème scientifique, vous disposez de documents et de résultats expérimentaux :
ceux du logiciel REHOR. Vous devez donc utiliser ce logiciel et choisir les expériences vous
permettant de répondre au problème et de valider ou réfuter vos hypothèses.
Les expériences qui vous seront utiles seront consignées dans le tableau suivant :
EXPERIENCE REALISEE
RESULTATS INTERPRETATION
Hypophysectomie
1. Une atrophie de l'ovaire.
2. Une chute du taux des hormones
ovariennes (œstradiol et
progestérone).
L’hypophyse semble stimuler
l’ovaire et semble nécessaire à la
sécrétion des hormones
ovariennes par l’ovaire.
Pour en être sûr : injection de
FSH ou LH après
hypophysectomie :
On observe la formation et la
mâturation de follicules ovariens
On vérifie bien que l’hypophyse
stimule l’ovaire et que les
hormones hypophysaires sont
nécessaires à la sécrétion des
hormones ovariennes.
Suppression des connexions
nerveuses entre l'hypophyse et
l'hypothalamus d'une rate adulte
normale
1. Chute et annulation des taux
sanguins de FSH et de LH.
2. Chute et annulation des taux
sanguins d'œstradiol et de
p
rogestérone
L’hypothalamus semble stimuler
l’hypophyse ; il semble nécessaire à
la sécrétion des hormones
hypophysaires.
Pour le vérifier : Injection de
GnRH à une rate adulte
hypothalamectomisée.
1.Rétablissement des taux sanguins
normaux de FSH et de LH .
2. Rétablissement des taux
sanguins normaux d'œstradiol et
de progestérone
La GnRH, hormone
hypothalamique stimule la sécrétion
de LH, FSH par l’hypophyse.
o En CONCLUSION, vous construirez un schéma fonctionnel visant à expliquer le mécanisme de
régulation de la sécrétion des hormones sexuelles chez la rate.
TP 3 : La régulation de l’activité ovarienne
o Que se passe-t’il si on réalise une injection d’hormones ovariennes chez une rate normale ?
__ Quelles que soient les doses fournies, les deux hormones administrées simultanément provoquent
une chute des taux sanguins de FSH et de LH._____________________________________________
o Interprétation :
Les hormones ovariennes freinent, diminuent, l’activité du complexe hypothalamo hypophysaire.____
__________________________________________________________________________________
Pour savoir où agissent les hormones, on peut utiliser des hormones radioactives. Elles vont se fixer
sur les organes cibles et on détectera donc la radioactivité au niveau de ces organes.
o Que se passe-t’il si on injecte des hormones ovariennes marquées radio activement ?
Les neurones hypothalamiques sécréteurs de GnRH ont fixé l'œstradiol
radioactif___________________________________________________________________________
o Comment expliquer le pic de LH, FSH à J 13 si les hormones ovariennes exercent un
rétrocontrôle négatif ?
__________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________
o Complétez le schéma précédemment réalisé, en précisant les relations entre l’ovaire et le
complexe hypothalamo-hypophysaire.
Des stress répétés peuvent entraîner une diminution de la fertilité. Le stress est une situation
physiologique qui provoque une augmentation de la sécrétion des opiacées (endorphine, encéphaline)
par certains neurones, ces opiacées agissant sur d’autres neurones en modifiant leurs sécrétions. Or, on
a montré que les neurones responsables de la sécrétions de GnRH « sont connectés » à des neurones à
opiacées.
o Expliquez pourquoi le stress peut entraîner une diminution de la fertilité et complétez le
schéma général.
__________________________________________________________________________________
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Pour finir, ajoutez l’utérus sur votre schéma, en précisant la nature de ses relations avec les ovaires.
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