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Psaume 2 : Le Roi Messianique
Introduction
La royauté divine
Ce Psaume et le reste de l’Ecriture
Le professeur William Barrick établit les liens suivants, avec le Psaume 1 :
Psaume 1 Psaume 2
Débute avec une béatitude
Se termine par une béatitude
Le juste / le pécheur
Le monde rebelle / le Fils juste
Méditer de Ps 1.2 =
= Comploter de Ps 2.1
Méchant balayé comme de la paille
Nation mise en pièce
Juste = arbre planté près d’un cours d’eau
Juste = installé sur la montagne sainte
Piété mesurée par la méditation de la
Parole
Piété mesurée par l’adoration du Fils,
Parole vivante
Il est probable que les Psaumes 1 et 2 ont été un seul Psaume dans le passé. Quoi qu’il en soit, c’est
comme une élévation dramatique du thème des deux chemins : les deux chemins pour l’individu
(Psaume 1) et les deux chemins pour les nations (Psaume 2).
Ce Psaume est «royal. »Qu’est ce que cela signifie ?
Dieu est décrit comme Roi, comme souverain.
Dieu présente son programme avec des images, avec des actions royales.
Dieu invite à l’hommage légitime qui lui est dû.
Ce Psaume est aussi l’un des 5 Psaumes messianiques (22, 45, 72, 110).
Cela est évident par le verset 2,
Cela est évident par ses citations abondantes dans le NT — c’est l’un des plus cités du NT.
Le Psaume 2 est prophétique.
Apocalypse cite ce Psaume, 5 fois. (c’est le livre du NT qui le cite le plus).
Il montre que ce descendant de David sera particulier. Sa personne est divine, son règne sera
unique, absolu et universel.
Il offre un panorama théologique de l’histoire du monde.
Lecture
Les nations se révoltent — Dieu le sait (2.1-3)
« 1 Pourquoi les nations s’agitent–elles Et les peuples ont–ils de vaines pensées ? 2 Les rois de la
terre se dressent Et les princes se liguent ensemble Contre l’Éternel et contre son messie : 3 Brisons
leurs liens, Et rejetons loin de nous leurs chaînes ! »
Les acteurs de la rébellion (2.1-2a)
Le diagnostic divin est clair. Dieu voit clairement ce qui se passe :
Les nations complotent — une meilleure traduction que «s’agitent. »
Les peuples marmonnent dans le vide — le verbe méditer, associé à un nom signifie «vidé. »
Les rois de la terre prennent une position arrogante, ils se dressent avec défiance.
Les princes se plantent fermement dans une posture hostile.
Les Psaumes Psaume 2 Page 2
Tout au long des pages de l’Ecriture, l’humanité est dépeinte à l’image d’une balance : d’un côté la vie
avec Dieu, d’un autre, la vie indépendante de Dieu, la vie dans la désobéissance. Et on trouve un
développement intéressant :
C’est un couple que Dieu créé. Deux individus qui s’unissent pour devenir les ancêtres de
l’humanité. Leurs descendants feront des choix qui s’avéreront très vite malheureux. Survient
alors le déluge de Genèse 6. L’humanité repart, et Genèse 10 établit la première carte des
nations.
A partir de ce moment là, la Bible se concentre sur un homme, Abraham, et sur sa descendance :
le peuple d’Israël. Les nations deviennent pour Israël des partenaires ou des ennemis. Leur
réaction devant Israël est un peu le test de leur spiritualité. Le terme «nations » devient alors
péjoratif, ce sont les Païens, ceux qui oppressent Israël et se moquent du Seigneur.
Les rois, les princes, les peuples, les nations se sont unis, et s’uniront encore. Mais c’est en vain. Leur
rébellion a connu une phase tragique dans la crucifixion du Christ, mais elle sera encore plus
exacerbée à la fin des temps.
A la fin de la tribulation, Jésus se présentera du ciel pour instaurer le règne promis à David. Lire
Apoc 19.11-19. C’est incroyable : Jésus revient en puissance, et les nations vont lui faire la
guerre !!!
Ce qui suit nous est décrit en Matt 25.31ss : le roi jugera l’ensemble des nations. Leur
comportement vis-à-vis d’Israël et des Juifs révèlera leur compréhension du projet de Dieu. Leur
rébellion contre Dieu ou leur compréhension du projet de Dieu.
Et lorsque 1000 ans plus tard, Satan sera libéré de sa captivité (Apoc. 20.3), il ira encore séduire
les nations (20.8), c’est-à-dire ceux qui auront, pendant le millénium, été forcé d’obéir au règne de
Jésus, sans toutefois croire personnellement en lui. Il rassemblera ces nations pour une ultime
rébellion, qui sera alors matée.
Dieu créera de nouveaux cieux et une nouvelle terre (la Nouvelle Jérusalem). Les nations y
prendront part, c’est-à-dire que les personnes sauvées (d’Adam jusqu’au dernier sauvé de
l’Apocalypse) représenteront tous les peuples :
Apocalypse 21:24 Les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre y apporteront
leur gloire.
Apocalypse 21:26 On y apportera la gloire et l’honneur des nations.
Apocalypse 22:2 Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, se trouve
l’arbre de vie, qui produit douze récoltes et donne son fruit chaque mois. Les feuilles de l’arbre
servent à la guérison des nations.
Le psalmiste se demande «pourquoi » une telle rébellion… Tout refus de l’autorité de Dieu, toute
position contre lui est stupide. Tout genou fléchira, prophétise EsaÏe (45.23).
La cible de la rébellion (2.2b)
Vous avez remarqué contre qui ils se rebellent ? Leur révolte est dirigée contre Dieu lui-même. Et
contre son Messie, celui qui a reçu l’onction, celui que Dieu a mis à part pour accomplir une œuvre
particulière.
Toutes les nations s’attaquent à Dieu et au Messie. Certains ont vu dans la notion de Messie, le roi
David (2 Sam 7.14, 10) ou encore Salomon (1 Chro 17.13-14 et 22.10) ou encore Ahaz (Esaïe 7 ; 2
Chro 28). Mais le reste du Psaume ne permet pas une telle interprétation. Car le règne de ce Roi est
d’une telle ampleur, son autorité est telle, qu’on ne peut l’appliquer à aucun roi historique.
Il existe un passage de la Bible qui éclaire énormément la lecture de ce Psaume : 2 Sam 7.12-16
David est là à l’apogée de son règne et de sa gloire.
Les Psaumes Psaume 2 Page 3
Il souhaite construire une maison pour Dieu, un temple.
Dieu lui refuse cet honneur, mais lui fait plusieurs promesses (vous pourrez lire le contexte). Au
centre de cette promesse, se trouve l’établissement d’une dynastie perpétuelle. V. 16 «ta maison
et ton trône seront pour toujours assurés devant toi, ton trône pour toujours affermi. »
Cette promesse spectaculaire est souvent reprise (Ps 89, part. 27ss). Ps 132.11 est catégorique
«L’Éternel a fait serment à David, En vérité il n’y reviendra pas : C’est un de tes descendants Que
je mettrai sur ton trône. »
Quel est ce descendant ? C’est Jésus Christ bien sûr !
En Actes 4, les apôtres prient et disent : « 27 Car en vérité, contre ton saint serviteur Jésus, à qui
tu as donné l’onction, Hérode et Ponce Pilate se sont ligués, dans cette ville, avec les nations et
avec les peuples d’Israël, 28 pour faire tout ce que ta main et ton conseil avaient déterminé
d’avance. »
Le mot messie, c’est le mot mashia’h en hébreu qui veut dire oint, une personne ayant reçu une
onction pour accomplir une œuvre particulière. En grec, le terme se lit christos, ce qui nous donne
le titre de Jésus, Jésus, le Messie.
Une parenthèse : ce texte est fondamental pour dissiper tout malentendu antisémite. Ce ne sont pas
les juifs qui ont tué Jésus. Ce sont les nations. Toutes les nations, au travers de leurs représentants :
les nations païennes représentées par Hérode et Pilate, la nation Juive représentée par le Sanhédrin.
Tous, se sont ligués contre le Messie. Tous.
Les raisons de la rébellion (2.3)
« 3 Brisons leurs liens, Et rejetons loin de nous leurs chaînes ! »
Ce que se disent ces rois, c’est qu’il faut :
Briser ou mieux, rejeter, arracher. Par exemple, le terme évoque le prêtre arrachant une plaie ou
une croûte de lèpre ou encore le peuple qui se retire d’une embuscade.
Rejeter ou mieux jeter, renvoyer, comme Hagard qui renvoie son fils Ismaël sous un arbre(Gen
21.5).
Clairement, les nations et leurs chefs refusent la royauté divine ; refusent la seigneurie du Christ,
rejettent les precepts divins. Ces hommes et ces nations ne veulent pas du règne de Dieu. Ils ne
veulent pas de la volonté divine perçue comme un carcan, une chaîne, des liens.
La Bible nous annonce que beaucoup blasphémeront contre le Dieu du ciel (ex. Apoc 11.13)
quand il suscitera de nombreux signes dans le ciel et sur la terre pour que les gens se positionnent
encore pour ou contre Christ.
Ils sont nombreux les moqueurs du Psaume 1. On les trouve aussi parmi les rois. Dans certaines
nations ils sont si nombreux, qu’on peut se sentir intimidé. Prenez courage ! Si les nations prônent la
rébellion, elles auront à en rendre compte un jour.
C’est facile de faire le fier devant d’autres personnes mais dans la réalité de chaque jour, lorsque l’on
est seul face à soi même c’est autre chose.
La fin d’une vie, et le retour du Christ, renverseront bien des attitudes.
Dieu rit — les nations tremblent (2.4-6)
« 4 Il rit, celui qui siège dans les cieux, Le Seigneur se moque d’eux. 5 Il leur parle dans sa colère, Et
dans sa fureur il les épouvante : 6 C’est moi qui ai sacré mon roi sur Sion, ma montagne sainte ! »
Les Psaumes Psaume 2 Page 4
Je me souviens d’un enfant de 3 ou 4 ans qui avait piqué une crise de colère particulièrement intense.
Il se débattait, donnait des coups de pieds, et son père le maintenait à distance, la main sur la tête. Il
riait de la futilité du comportement de son enfant. La scène était amusante — malgré la peine que
provoquait le manque d’éducation donné à cet enfant.
Regardez comment Dieu est décrit :
Dieu siège, une image que les hommes connaissent bien pour les rois sur leur trône. Le Seigneur
est sur son trône, en position d’autorité.
Son trône est dans les cieux, c’est-à-dire bien au-dessus de la mêlée colérique des hommes.
Dieu est Seigneur. C’est-à-dire qu’il est celui qui domine. Il est maître.
Dieu se présente sous des traits humains, pour que l’on perçoive bien comment il conçoit l’attitude des
hommes :
Dieu rit. Le verbe n’a pas toujours une connotation négative. La femme vertueuse de Prov. 31.25
sourit à la vie, parce que rien ne lui fait peur — c’est le même verbe.
Dieu se moque d’eux. Il est rempli de dérision à l’égard des nations qui font ce calcul.
Dieu parle avec colère. La colère de Dieu peut être ardente et dévastatrice (Jér 25.36-37). Le
terme hébreu veut aussi dire nez ou visage. Il dénote la réaction émotive que l’on connaît dans la
colère — la respiration qui change, le nez qui rougit… La Bible dit que Dieu est lent à la colère
(Exode 34.6), c’est-à-dire que la moutarde ne lui montent pas au nez trop vite. Mais quand Dieu
est en colère, et quand il parle dans sa colère, il n’y a pas grand monde autour qui demeure
indemne !
Ouzza en fit l’expérience, lorsqu’il étendit sa main sur l’arche qui allait tomber. La colère de
l’Eternel s’enflamma, et il mourut… (1 Chro 13.10)
Le verset 5 contient une transition qui pointe vers le futur. Le temps de la colère n’est pas encore là ;
mais il arrive. Le texte d’Apocalypse qui annonce le retour du Christ dans sa gloire est frappant :
Apoc 19.15 De sa bouche sort une épée tranchante pour frapper les nations. Il les fera paître avec un sceptre de fer,
et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu Tout–Puissant. 16 Il a sur son manteau et sur sa cuisse un
nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs. 17 Je vis un ange debout dans le soleil. Il cria d’une voix forte à
tous les oiseaux qui volaient au milieu du ciel : Venez, rassemblez–vous pour le grand festin de Dieu, 18 afin de
manger la chair des rois, la chair des chefs militaires, la chair des puissants, la chair des chevaux et de ceux qui les
montent, la chair de tous, libres et esclaves, petits et grands. 19 Je vis la bête, les rois de la terre et leurs armées,
rassemblés pour faire la guerre à celui qui monte le cheval et à son armée. 20 Et la bête fut prise, et avec elle le faux
prophète qui avait opéré devant elle les signes par lesquels il avait séduit ceux qui avaient reçu la marque de sa bête
et qui se prosternaient devant son image. Tous deux furent jetés vivants dans l’étang de feu où brûle le soufre. 21 Et
les autres furent tués par l’épée qui sortait de la bouche de celui qui montait le cheval, et tous les oiseaux se
rassasièrent de leur chair.
Pourquoi ? Parce que Dieu a pour projet d’imposer son roi. Il existe un décret divin, par lequel Dieu
règnera, par son Messie, sur Sion, sa montagne Sainte. Le verset 6 est emphatique : moi (moi !) J’ai
sacré mon roi sur ma montagne sainte ! Dieu a pour projet d’accomplir toutes les promesses faites à
Abraham, faites à David : le peuple Juif recevra la terre promise, et sera sous l’autorité du Roi
davidique promis.
Au 8e siècle av. J.-C. Osée 3:4-5 : 4 «car les Israélites resteront longtemps sans roi, sans chef,
sans sacrifice, sans stèle, sans éphod, et sans téraphim. 5 Après cela, les Israélites reviendront ;
ils chercheront l’Éternel, leur Dieu, et David, leur roi ; et ils trembleront en s’approchant de
l’Éternel et de sa bonté, dans la suite des temps. »
Esaïe 2 : 2 Il arrivera, à la fin des temps, Que la montagne de la Maison de l’Éternel Sera fondée
sur le sommet des montagnes, Qu’elle s’élèvera par–dessus les collines, Et que toutes les nations
y afflueront. 3 Des peuples nombreux s’y rendront et diront : Venez, et montons à la montagne de
l’Éternel, A la Maison du Dieu de Jacob, Afin qu’il nous instruise de ses voies, Et que nous
marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, Et de Jérusalem la parole de l’Éternel. 4 Il
Les Psaumes Psaume 2 Page 5
sera juge entre les nations, Il sera l’arbitre de peuples nombreux, De leurs épées ils forgeront des
socs Et de leurs lances des serpes : Une nation ne lèvera plus l’épée contre une autre, Et l’on
n’apprendra plus la guerre.
Une remarque : la manière de regarder le texte varie selon les églises. Celles qui ne croient pas en un
millénium disent que Jésus règne dans le ciel — et que c’est suffisant pour accomplir le Psaume 2 et
toutes les autres prophéties qui parlent du roi issu de David. Cependant, les textes sont trop
nombreux et trop précis pour éluder un règne terrestre du Christ.
C’est bien à Jérusalem que Jésus est sacré roi, qu’il est installé en tant que Roi. Or Jésus a refusé la
royauté, car le peuple était impie dans son élan, et le temps de l’accomplissement de la prophétie
n’était pas encore là.
Dieu décrète — les nations périssent (2.7-9)
« 7 Je publierai le décret de l’Éternel ; Il m’a dit : Tu es mon fils ! C’est moi qui t’ai engendré
aujourd’hui. 8 Demande–moi et je te donnerai les nations pour héritage, Et pour possession les
extrémités de la terre ; 9 Tu les briseras avec un sceptre de fer. Comme le vase d’un potier, tu les
mettras en pièces. »
Le serviteur de l’Eternel n’est pas seulement Roi, il est Fils de l’Eternel. Dieu agit ici par décret : toi, tu
es mon fils ! Le serviteur de l’Eternel est fils de David de naissance, mais fils de Dieu par décret ! La
royauté se transmettait de père en fils, et la promesse qui est faite, est que celui qui est Dieu et source
de toute autorité, intronise un roi à Sion (ce sont les versets que l’on vient de voir) puis déclare ce roi
là, Fils de Dieu.
Bien sûr, cela rappelle beaucoup ce que Dieu dit dans le Nouveau Testament.
Les évangiles rapportent ce qu’a dit la voix qui s’est fait entendre lors du baptême du Christ. Vous
vous souvenez ? Luc 3:22 «l’Esprit Saint descendit sur lui sous une forme corporelle, comme une
colombe. Et il vint une voix du ciel : Tu es mon Fils bien–aimé, objet de mon affection. »
Hébreux montre que Jésus est supérieur aux anges précisément dans le verset 7. Hébreux 1:5
Auquel des anges, en effet, (Dieu) a–t–il jamais dit : Tu es mon Fils, C’est moi qui t’ai engendré
aujourd’hui ? Et encore : Moi je serai pour lui un Père, Et lui sera pour moi un Fils ?
Cette filiation entre Dieu et Jésus est prouvée par la résurrection des morts en Actes 13:33 «Dieu
l’a accomplie pour nous, leurs enfants, en ressuscitant Jésus, selon ce qui est écrit au Psaume 2 :
Tu es mon Fils, C’est moi qui t’ai engendré aujourd’hui. »
Cela rappelle bien sûr la promesse de 2 Sam. 7.14. Dieu avait dit qu’il serait père du roi issu de David.
Dieu ferait du Roi son Fils.
Il faut souligner que le NT parle de Jésus en tant que Fils selon différents contextes. Ici, ce n’est pas
tant la nature de Jésus qui est annoncée — ce n’est pas la 2e personne de la trinité que l’on décrit ici.
C’est plutôt l’image d’un homme que l’on couronne Roi et Fils de celui qui détient toute autorité, Dieu
le Père. Lisons le Psaume 89.27-28 : « Lui, il m’invoquera (en disant) : Tu es mon père ! Mon Dieu et
le rocher de mon salut ! 28 Et moi, je ferai de lui le premier–né, Le plus haut placé des rois de la
terre. » Il est engendré dans sa fonction. Cela ne veut pas dire qu’il «naît » ou qu’il vient à l’existence
en tant que fils de Dieu.
Je sais que c’est un peu complexe, mais l’idée, c’est que Jésus est le Roi légitime. Et comme il est Roi
légitime, il peut demander un accroissement de son règne. Au verset 8,il annonce qu’il dominera sur
les nations, et que son règne ira jusqu’aux extrémités de la terre.
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