PGM : 1) Les centres d’impulsion et les inégalités de développement (l’espace mondialisé
est dominé par trois grands centres d’impulsion, dont l’UE ( à traiter particulièrement) =>
insister sur l’intensité des réseaux d’échanges qui relient ces trois centres ainsi que la mise
sous domination du reste du monde = marge, lui-même très diversifié.
2) D’autres logiques d’organisation de l’espace mondial => la mondialisation est
l’objet de débats concernant ses modalités de mises en œuvre, sa relation avec la question
du développement et avec les enjeux environnementaux. Par ailleurs, le processus de
mondialisation ne constitue pas la seule clé de lecture du monde. D’autres logiques se
juxtaposent et interfèrent : aires de civilisation, Etats, organisation économiques régionales.
- L’ESPACE MONDIALISE OU SYSTEME-MONDE : dynamiques et espace nés d’un processus économique
contemporain : la mondialisation ??? donc espace avant tout économique !
Donc…Qu’est-ce que la mondialisation ?
Interdépendance accrue des économies due à l’augmentation des flux et des échanges permise par la
multiplication des potentialités techniques de communication et d’échanges. La mondialisation est un
processus historique qui débouche sur la création d’un espace économique mondial : elle date de la RI (fin XIX),
même si depuis la Renaissance l’Europe a développé une velléité à dominer le monde économie-monde »).
Cependant avec l’amélioration rapide des NTIC (révolution informationnelle : 1975 : création de Microsoft par B.GATES,
1984 : 1er Mac, 1990 : création du WEB, internet devient un réseau mondial civil, 1999 : NTIC 5%PIB français contre 8% USA)
et notamment la volution des Transports dans les années 1950 (expliquer : spécialisation des modes de T pour
grandes distances (flux tendus) et polarisation, hiérarchisation par les T)
mondialisation effrénée qui met en relation tous les territoires monde de flux, monde en réseaux ???
question des territoires ???
mondialisation = industrialisation des espaces (donc urbanisation, étatisation) dans le cadre de la Division
Internationale du Travail (DIT) mise en place sur le principe de la Division du Travail inhérente au
libéralisme économique (Adam Smith)
Le but de ce processus est d’augmenter la production de richesses afin d’assurer le bien-être matériel (=
bonheur ???) d’un maximum de personnes à travers l’expansion d’un modèle économique, celui du capitalisme
libéral => cf notion de développement économique et social à remettre en question (cours sur les périphéries) car
développement = progression de la mondialisation libérale
La mondialisation a d’abord été mise en place par les Etats qui accompagnaient les patrons (1ère mondialisation),
puis à partir des années 1950, ce sont les grandes FTN industrielles qui prennent le relais et enfin nouveau
tournant dans les années 1980 : capitalisme financier => globalisation financière avec une explosion
exponentielle des flux de capitaux à échelle mondiale (aujourd'hui 50 fois plus que les échanges de
marchandises), notamment avec les IDE. Importance de la 4ème phase de la RI => NTIC.
Enfin, expansion planétaire dans les années 1990 suite à l’effondrement du bloc soviétique => le monde entier
devient libéral, hormis quelques enclaves (indiens d’Amazonie, quelques peuples africains…).
mise en place de réseaux mondiaux de production et d’information
Cette interdépendance accrue des économies entraîne une interdépendance accrue des politiques et ce à toutes
les échelles (locale mais aussi gouvernance mondiale => FMI, BM, OMC) => uniformisation culturelle ??? donc
fortes implications politiques et culturelles.
Cette expression DESPACE MONDIALISE ou, mieux, de SYSTEME-MONDE rend bien cette réalité de flux intenses
hiérarchisant les différents espaces en le mettant en relation mais de manière inégale => relation de
domination: aujourd’hui l’espace mondial est produit, perçu à travers les flux porteurs d’échanges, =>
changement rapide de nos représentations et de nos productions spatiales => multiplication des cartes espace-
temps, multiplication des aménagements propices aux échanges qui deviennent les véritables cœur mondiaux =
points nodaux (Hub, métropoles, ZIP…) => notion d’économie d’archipel (P. Veltz) ainsi que connectivité et
connexité.
- POLARISATION, DOMINATION, INEGALITES, INTERDEPENDANCES : dynamiques spatiales induisant une vision
systémique (cf 1er cours) :
a) polarisation sous-entend le drainage et l’attractivité engendrés par certains espaces => pôles ou
centres d’impulsion. Ces centres d’impulsion créent, produisent l’espace mondialisé pour leur propre
reproduction sociale et donc la continuation de leur situation de domination et de pôles Les
échanges et les flux sont donc des vecteurs de domination. Ces centres ont déjà été étudiés : Etats-
Unis, Japon, mais aussi UE.
b) domination est la conséquence logique de la polarisation de l’espace par les centres d’impulsion : les
relations mondiales sont donc foncièrement inégales et entretiennent des rapports de domination
entre centre et périphéries: ces périphéries dépendent donc des centres d’impulsion mais sont
entretenues dans leur situation car elles restent en marge des échanges mondiaux soit en terme de
volume soit par rapport à la valeur et donc aux termes de l’échange (cf cours sur l’espace
méditerranéen.)
mise en place d’aires de puissances
c) inégalités : l’espace mondialisé est donc foncièrement inégal non seulement par la hiérarchisation
des espaces en fonction de leur imprégnation dans les échanges et les flux, mais aussi par la
différenciation de l’espace engendrée par la mondialisation même => les richesses sont basées sur les
échanges, or les échanges engendrent les inégalités (cf cours sur façade asiatique, atlantique et
surtout les périphéries)
d) interdépendances : concept de base de la mondialisation, toujours engendré par la théorie des
échanges comparatifs (D. RICARDO) => ouverture des frontières et abaissement des barrières
douanières sont la conséquence de cette théorie, donc production d’un espace mondialisé fluide,
d’un monde rétréci => « village planétaire ». Mais attention interdépendances à des degrés divers en
fonction des productions et de la diversification des flux => inégalités aussi très fortes à travers cette
situation d’interdépendance entre les espaces différenciés (cf cours sur l’espace méditerranéen)
PBL : Comment les acteurs de la mondialisation (FTN, Etats, puissances, régions économiques…)
produisent-ils l’espace mondialisé ? Quelle en est l’organisation spatiale ?
Comment ce monde de flux et de réseaux intègre-t-il les territoires (et les sociétés) ?
comment rendre compte de la complexité du monde, de l’imbrication du temps et de l’espace, et
de la multiplicité des échelles, en géographie ?
I) UN MONDE DE FLUX ET DE RESEAUX ?
A) LA MULTIPLICITE DES FLUX DE TOUTES SORTES
Les flux matériels et immatériels ne cessent non seulement de se répandre à la surface du monde mais aussi,
désormais, de façonner l’espace mondialisé : c’est à travers eux qu’émerge un véritable espace mondialisé
(essentiellement depuis la 2GM).
4 types de flux sont habituellement distingués :
1°) l’ampleur du commerce mondial de biens/marchandises dirigé par les pays du Nord
ensemble des flux concrets, matériels
Explosion des exportations mondiales depuis les années 1950 grâce à libéralisation et RT ( 1970 14% des
marchandises échangées contre 28% aujourd’hui) => aujourd’hui les exportations sont plus importantes que les
productions car les taux d’ouverture des économies ne cessent de progresser (cf Singapour ou HK avec un tx
d’ouverture supérieur à 100% car ils fondent leur économie sur l’activité de port de réexportation).
ce sont les produits manufacturés qui dominent le commerce international de marchandises : ¾ des échanges
mondiaux => pour ces échanges, le profit se fait pour les pays du Nord car dans une large mesure ce sont eux qui
les transforment notamment pour les hautes technologies-, ou ils les échangent entre eux .
2°) Le développement rapide du commerce de services (20% valeur commerce mondial)
au « service » des pays du Nord
ensemble des flux immatériels, fondamentaux pour les opérations de production de richesses,
(transports, assurances, achats de brevet, conseil aux entreprises, tourisme, recettes et dépenses des
gouvernements à l’ étranger…)
Dans les échanges mondiaux de services en 2000, les secteurs les plus dynamiques sont le transport/ logistique
(310 milliards de $), le tourisme (440 milliards) et les télécommunications (670 milliards de dollars). Les services
financiers et technologiques sont les plus dynamiques = services aux entreprises.
La totalité représente 1350 milliards de $ échangés soit 21% des transactions mondiales.
Ils concernent largement les pays développés grâce à la tertiarisation avancée de leur économie + le
degré d’avancement de développement de leur société (création de besoins de plus en plus immatériels comme
le tourisme, les NTIC, informatique…)
Les espaces d’origine sont majoritairement les pays développés mais de plus en plus délocalisations pour
les services de base (cf centre d’appel) par les FMN dans les pays du Sud car main-d’œuvre avec qualification
moyenne mais salaire moindre et droits sociaux inexistants ou presque ; les espaces d’arrivée sont aussi
majoritairement les pays du Nord mais aussi pour les services les plus spécialisés les pays du Sud comme l’Arabie
Saoudite ou la Chine qui ont les moyens d’avoir une technologie avancée mais sans investir dans la formation à
haute valeur ajoutée => accroissement de l’interdépendance mais inégale car les services échangés ne sont pas
identiques, en valeur et en utilité.
Ainsi l’UE est par excellence le pôle d’échange de services avec 63% des transactions de services mondiales (car
échanges internes), le 2nd étant les Etats-Unis.
Tous les secteurs peuvent-ils être touchés par la monétarisation des services ??? la question se pose pour
des secteurs d’utilité publique particulièrement sensibles comme la santé ou l’éducation (pour les néolibéraux,
ces secteurs doivent aussi participer au mouvement de marchandisation du monde de manière à accroître
productivité donc croissance donc richesses).
3°) l’essor des flux de capitaux entre les pays du Nord : base de la domination
Essor essentiellement à partir des années 1980 : d’abord entre les pays du Nord et ceux du Sud sous forme
d’emprunt ou de réinvestissement puis suite à la cessation de paiement de la dette par le Mexique (1982),
réorientation Nord-Nord // mise en place d’un marché unique de l’argent entre les différentes bourses mondiales
(non stop) = GLOBALISATION FINANCIERE (possibilité grâce à la 4ème révolution industrielle et informationnelle =
absolution du temps de transaction).
Quelles caractéristiques de ces flux de capitaux ?
- Importance des IDE qui ont énormément augmenté, essentiellement entre pays du Nord (ou avec
des pays en transition ou émergents mais au sein d’une même organisation régionale contrôlée : cf UE avec les ex
pays de l’Est ou Etats-Unis avec Mexique )
Rappel : achat d’un bien ou d’une partie d’un bien (rachat d’une entreprise étrangère, ou partie, construction à l’étranger,
achat de terres, immeubles…). Outil privilégié des FMN pour se développer à échelle planétaire
- spéculation financière : cad que sur 1500 milliards qui circulent par jour, seuls 100 milliards
correspondent à des opérations concrètes => ainsi désormais les opérations spéculatives dans lesquelles la
monnaie a un rôle clé (elle n’est plus un simple support mais une marchandise en tant que tel) à partir de laquelle
on spécule (baisse ou hausse) à court terme, mais complètement déconnecté de la réalité => pb est l’explosion
des bulles financières comme en 1997 en Asie ou en 2008, accélération du rythme des crises depuis la
libéralisation des échanges financiers. I. Wallerstein, Après le libéralisme, y voit un signe de fin de cycle => fin du
capitalisme ?
- investissements indirects = fonds de pensions entre autres (cad placements sans volonté d’acquisition,
simple rentabilité) (cf fonds de pension aux USA en 1995 = 5000 milliards de dollars) ; importance désormais des
fonds d’investissement des pétromonarchies partout dans le monde.
4°) Les mobilités humaines : facilitées ou contraintes ?
accélération et mondialisation des flux migratoires : le nombre de personnes vivant dans un pays autre
que celui d’origine à été multiplié par trois depuis les années 1960 (environ 200 millions de personnes).
Pourquoi ? Révolution des transports (mais pas tant que cela car les migrants du Sud conservent les modes
traditionnels), mais surtout révolution des communications importance de l’information transmise notamment
par la télévision : développement de la culture occidentale avec l’expansion d’un mythe du mieux-vivre.
Information transmise notamment par le téléphone ou internet qui permet la constitution de réseaux rapides et
pérennes.
Les pôles d’accueil sont essentiellement l’UE, l’Amérique du Nord largement en tête, mais aussi l’Asie du Sud Est
et les pétromonarchies ainsi que l’Argentine ou le Venezuela en Amérique du Sud. Les politiques d’accueil
diffèrent cependant entre ces les et sont tributaires de considérations géopolitiques et économiques
contingentes. (quotas, fermeture ou ouverture totale ou partielle, immigration choisie en fonction de l’intérêt de
l’individu…).
Les migrants sont pour une part majoritaire originaires du Sud, d’autant plus que de nombreux pays du Sud
connaissent une pression démographique => migration d’ordre économique (pauvreté car grandes disparités de
richesses d’autant plus éclatantes) ou politique (réfugié ou asile politique, d’autant plus que multiplication des
conflits depuis les années 1950 => cf cours d’histoire sur un monde de plus en plus violent). Mais il y a aussi une
augmentation des flux entre les pays du Nord => révolution des T.
Explosion exponentielle des flux touristiques depuis les années 1950 à écrasante majorité en provenance
des pays du Nord vers le Nord (Amérique du Nord ou UE) mais aussi le Sud.
Pourquoi ? Révolution des Transports qui facilite le transport intercontinental, révolution culturelle aussi avec la
naissance d’une société de loisirs dans les années 1960, mais aussi révolution de l’information qui permet de
découvrir la diversité du monde => le pb est que l’information peut aussi faire rapidement chuter les flux
touristiques : ainsi les récentes épidémies (SRAS ou grippe aviaire en Asie, ou les attentats terroristes en Indonésie ou au
Moyen-Orient ont ils des répercutions extrêmement rapides sur les flux touristiques => flux très aléatoires, dépendent
énormément du contexte géopolitique).
Est-ce une chance de développement pour le Sud ??? certes important transfert de devises, aménagement
ponctuel, emploi et croissance mais nouvelle domination par la dépendance créée car extraversion des
économies de ces pays qui dépendent ensuite des demandes des pays du Nord + pb de l’expansion du tourisme
sexuel.
5°) L’Antimonde ou « la mondialisation par le bas » : la floraison des flux illicites
= 20% des échanges mondiaux
Profitant de la dérégulation et de la déréglementation + ouverture des frontières nationales , les
organisations interlopes ont développé des activités illicites (drogues, prostitution, armes…) ou des trafics illégaux
notamment la contre-façon ou la contrebande (cad production légale mais acheminement illégal), désormais à
échelle mondiale complexification pour arrêter ces trafics car multiplicité des acteurs et des lieux + rapidité de
réaction car eux aussi possède l’information (= base de la puissance).
Ces flux vont essentiellement dans le sens Sud-Nord ou Sud Sud.
Ces flux profitent de lieux, de territoires comme les paradis fiscaux (îles Caïman, Liban avant guerre civile,
Sealand…) ou les zones franches, mais aussi à l’intérieur des Etats, ils arrivent à s’installer et à trouver, par la
force, une protection => Italie, mais aussi Russie où on estime que 40% du PIB serait contrôlé par la mafia.
Ainsi les flux et les échanges apparaissent-ils de plus en plus nombreux et variés, ils circulent tout autour du
monde mais suivant une logique économique particulière engendrée par la théorie néolibérale. Ils sont donc
différenciés et profitent avant tout aux pays producteurs de ce système-monde (= pays du Nord).
Enfin ces échanges sont avant tout guidés par les flux d’informations. En effet, dans un monde d’échanges,
l’information est à la base de toute puissance et de toute intégration. La révolution informationnelle est donc
fondamentale pour comprendre le système-monde, l’augmentation et l’accélération des flux : elle est donc à
l’origine d’une RECOMPOSITION DE LESPACE MONDIAL en ayant créé un monde de flux et de réseaux, mais un monde
hiérarchisé : un espace (un Etat, une ville…tout acteur spatial ou ensemble d’acteurs) a une place dans la
mondialisation, et dans l’espace mondialisé, en fonction de sa capacité à produire des informations, à les détenir,
à les analyser, à les rassembler => cf cours sur Etats-Unis
Ainsi la géographie de l’information n’est pas plus égale que les autres, malgré l’illusion que peut parfois créer la
révolution internet => ainsi la chaîne informative est puissamment contrôlée par des oligopoles issus des pôles de
la mondialisation (AOL Time Warner, Vivendi Universal, News Corporation) => la fracture technologique renforce-t-elle
les disparités spatiales mondiales.
=> si le monde est désormais façonné, réalisé, par les flux, que deviennent les territoires, anciens pôles de
production et d’analyse du monde ? Est-on dans un monde en réseaux, soit supraterritorial ?
B) ET LES TERRITOIRES ?
définition : un territoire est un espace approprié, socialisé par une société qui s’y projette et donc
l’aménage et le borne. Il est donc statique (coordonnées absolues) et en ce sens contraire aux flux, mais il
est aussi dynamique, car un sentiment d’appropriation évolue au gré des dynamiques culturelles et
globales. Il se comprend à plusieurs échelles : locale, nationale ou régionale.
En réalité, la géographie des flux, la géographie de la mondialisation est toujours ancrée à des espaces clés,
DES PÔLES, que les acteurs spatiaux (politiques, économiques, idéologiques, financiers…) vont vouloir s’accaparer,
mais ces flux recomposent l’organisation de l’espace mondial en créant de nouveaux territoires correspondant
aux pôles producteurs, aux centres d’impulsion de ces flux ; en parallèle elle tend à déstabiliser les anciennes
appropriations, notamment par l’effondrement des frontières étatiques.
1°) Les lieux de liens, espaces de production de richesses
La mondialisation étant liée à la révolution des Transports et de l’information, de nouveaux lieux de liens et
d’échanges ont vu le jour et sont devenus en quelques dizaines d’années des pôles inévitables de l’espace
mondialisé : les Hubs comme Chicago, Paris ou Londres (transport aérien pour les denrées périssables ou les
services), mais surtout les littoraux et les grandes métropoles portuaires (ZIP), essentiellement développée dans
les pôles de la Triade et les pays émergents, au cœur des routes maritimes mondiales (le commerce de
marchandises s’effectuent à 75% par la voie maritime). Même la mer devient un territoire intégré à la
mondialisation => cf terre-plein japonais ou ZEE créées en 1982.
Recherche aussi de lintermodalité de manière à accroître les vitesses de chalandise => plate-forme
multimodales comme New-York, Tokyo, Los Angeles, Singapour, Hong Kong…
Ces espaces sont les plus productifs et donc les plus recherchés de l’espace mondialisé car au cœur des
échanges, ils sont ceux qui permettent le plus de création de richesses.
2°) Les lieux de l’économie ultralibérale au profit du Sud ?
D’autres espaces sont produits les seules règles sont celles du olibéralisme (donc restriction de l’espace
géographique à une seule de ces composantes) : les paradis fiscaux et les zones franches notamment redéploient
le système productif à échelle planétaire => ainsi les pays du Sud, la législation est souvent beaucoup plus
souple, ont ils bénéficié de la mondialisation à travers ces espaces de non-droit. Ce sont surtout les FMN et les
organisations illicites qui profitent de ces espaces.
3°) Les métropoles au cœur de la mondialisation : les lieux organisateurs
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