Figure 18. Photographie au microscope électronique à transmission

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Université Paris 13. UFR SMBH. L2. Sciences du Vivant.
UE S3F1. Génétique 2. Partie I.
Figure 18. Photographie au microscope électronique à transmission d’une conjugaison entre bactéries E. coli.
Figure 19. Les trois types de transferts génétiques horizontaux chez les bactéries : transformation, transduction et
conjugaison.
Figure 20. Mise en évidence de la recombinaison génétique entre deux souches auxotrophes de bactéries.
Cette recombinaison produit des prototrophes. Contrairement aux prototrophes, aucune des deux souches auxotrophes ne se
développe sur milieu minimum, suggérant qu’une recombinaison génétique a eu lieu.
Figure 21. Transfert d’un plasmide d’une cellule à une autre durant la conjugaison.
Comme dans tous les procédés de transfert de gènes horizontaux chez les procaryotes, le transfert est
unidirectionnel.
Figure 22. Conjugaison : croisement F+ x F–
Ce schéma montre comment les cellules réceptrices F – deviennent F+. Durant la conjugaison, l’ADN du facteur F est
répliqué et une nouvelle copie pénètre dans la cellule réceptrice la rendant F +. pour indiquer la rotation de la
réplication dans le sens des aiguilles d’une montre, une barre a été dessinée sur le facteur F.
Figure 23. Insertion du plasmide F dans le génome d’E.coli et formation d’une souche Hfr.
Le plasmide F peut s’intégrer dans le chromosome bactérien en de nombreux sites différents au niveau de
séquences d’insertion, dans l’exemple il s’agit de IS3, localisée entre les gènes chromosomiques pro et lac.
Certains des gènes du plasmide sont représentés. La flèche indique l’origine de transfert, oriT. Dans cette souche
Hfr, pro serait le premier gène chromosomique a être transféré et lac serait le dernier.
Figure 24. Coupure du chromosome Hfr à l’origine de transfert puis transfert de l’ADN à la cellule
receveuse.
La réplication a lieu durant le transfert. La figure n’est pas à l’échelle ; le plasmide F intégré représente réellement
moins de 3 % de la taille du chromosome d’E. coli.
Figure 25. Conversion d’un état F+ en un état Hfr.
Figure 26. Conversion d’une bactérie Hfr en F’.
Figure 27. Technique de croisement interrompu.
Au dessus : transfert progressif de gènes variés d’une souche donnée Hfr d’E. coli vers une souche F-, durant la
conjugaison. En dessous : carte temporelle des gènes étudiés.
Figure 28. Les expériences de Griffith avec des pneumocoques.
Des cellules lisses (S) vivantes contiennent une capsule et tuent les souris car les cellules immunitaires ne peuvent
pas tuer les bactéries encapsulées ; les cellules prolifèrent dans les poumons et causent une pneumonie fatale. Les
cellules rugueuses (R) n’ont pas de capsule et ne sont pas pathogènes. Mais un mélange de cellules vivantes (R) et
de cellules mortes (S) tue les souris, et des cellules de type S peuvent être isolées dans les animaux.
Figure 29. Transformation bactérienne.
Figure 30. Analyse par complémentation.
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