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EN HÉMATOLOGIE/ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE 
 
L'examen consiste en une seule composante écrite et comprend deux épreuves de 
trois heures d'environ 20 à 30 questions à réponse courte (QRC) par épreuve.   
 
Chaque épreuve se fonde sur les principes et l'exercice de l'hématologie/oncologie 
pédiatrique et des greffes de cellules souches conformément aux Objectifs de 
formation.  Les questions couvriront tous les aspects de l’hématologie/oncologie 
pédiatrique et les greffes de cellules souches, y compris les sciences fondamentales, 
la prise en charge clinique, le diagnostic, les examens, la prise de décisions 
concernant le traitement  et la méthodologie de recherche clinique,  et  incluront 
toutes les compétences CanMEDS.  
 
Les candidats doivent avoir de bonnes connaissances de la littérature actuelle ainsi 
que des principaux écrits portant sur la prise en charge des  patients en 
hématologie/oncologie pédiatrique et des greffes de cellules souches. Aucun manuel 
en particulier n’est donc recommandé. La meilleure ressource pour déterminer le 
contenu de l’examen est le document des Objectifs de formation de la discipline. 
 
Questions à réponse courte (QRC) :  
 
Les points ne sont accordés que pour les bonnes réponses; aucun point n'est 
cependant retiré en cas de réponse inexacte. Si on vous demande un nombre précis 
de réponses (p. ex., QUATRE), n'en donnez pas plus; les réponses surnuméraires ne 
seront pas notées (p. ex., si on demande quatre réponses, seules les quatre 
premières seront notées). Veuillez écrire le plus lisiblement possible. Soyez aussi 
concis et direct que possible et utilisez l'espace fourni après chaque question. 
  
Exemple de QRC :  
 
Question 1 
1. Une adolescente de 16 ans, avec des antécédents de purpura trombopénique 
idiopathique (PTI), présente un ictère d'apparition soudaine et une anémie 
normocytaire avec test de Coombs positif. Selon ses antécédents médicaux, elle 
a eu un PTI il y a cinq ans. On pose un diagnostic de syndrome d’Evans, et la 
patiente passe des examens en vue de déceler un syndrome lymphoprolifératif 
auto-immun (SLPA).  
 
La tomodensitométrie met en évidence une augmentation pathologique du volume 
de plusieurs ganglions lymphatiques retropéritonéaux.  
 1a)  Hormis une lymphoprolifération chronique non maligne, quel autre critère est 
nécessaire pour le diagnostic de SLPA? (1 point) . . . 2