La faim dans le monde
Il s’agit d’une chronique de P. Jurgensen tiré du site www.canalacademie.com.
L’article aborde le problème de la faim dans le monde.
Tout d’abord le journaliste dit que la faim dans notre monde technologique est
encore très étendue : une personne sur six en souffre, un enfant en meurt toutes le
cinq secondes ; cette condition est malheureusement stable il y a quinze ans.
Premièrement on observe la localisation du phénomène ; la faim intéresse tous les
pays : les pays en transition, les pays industrialisés, les pays sous développés. Quant
à ces derniers la faim ne recule que s’il y a de la croissance économique. Dans les
pays les plus pauvres la faim s’accompagne à la pauvreté financière et à la manque
d’eau potable. La faim et la malnutrition sont à l’origine de la manque de croissance
et de productivité de ces pays : les travailleurs n’arrivent pas à être innovants,
productifs à cause de la malnutrition.
Les raisons portent moins sur l’insuffisance des quantités de la nourriture que sur les
transports et l’insécurité. Les pays riches et, quelques fois même les pays pauvres,
ont des surplus de produits laitiers, de céréales, de viande. Le problème est de les
transporter. Les pays touchés par les guerres civiles sont, eux aussi, dévastés par la
famine.
Les pays développés aident les pays pauvres ; chaque année, par exemple, la Corée
du nord reçoit des aides, mais on n’a pas encore réussi à vaincre la faim. La raison
est que les aides découragent les producteurs locaux et rendent les populations
dépendantes. Les projets les plus modernes posent sur les offres des produits des
pays en développement voisins. En deuxième lieu, les financements pour les
exportations vers les pays riches, elles aussi, ne soutiennent pas l’économie des pays
en voie de développement.
L’analyse des causes nous permet de déduire les remèdes possibles :
D’abord conduire des projets de développement agricole durable soutenus par les
réseaux locaux d’entretien du matériel agricole et des systèmes de formation pour
les paysans.