BMCP - Médecine Nucléaire : Imagerie moléculaire, métabolique et fonctionnelle
08/12/2015
CAMMILLERI Zacharie L2
CR : CHEMLI Nyl
BMCP
Pr TAIEB.D
20 pages
Médecine Nucléaire : Imagerie moléculaire, métabolique et fonctionnelle
Plan
A. A. Notions de radioprotection
I. Les 3 principes de radioprotection
II. Les moyens de radioprotection
III. Irradiation médicale
IV. Différences entre radiologie et médecine nucléaire
B. B. Tomographie par émission de positon
C. C. Imagerie hybride TEP-TDM
D. D. Imagerie monophotonique avec gamma-caméra
I. Exemples d'application des scintigraphies en Endocrinologie
II. Exemples d'application des scintigraphies en Neurologie
III. Exemples d'application des scintigraphies en Pneumologie
IV. Exemples d'application des scintigraphies en Oncologie
Introduction :
Imagerie nucléaire : imagerie du vivant avec étude de fonctionnement des organes (Un sujet mort ne
donne aucune image), basée sur des processus physiologiques de métabolisme.
Exemple : La consommation de glucose dans un muscle entraîne une hausse du nombre de transports du
glucose ; une injection de glucose radioactif permet le traçage de son parcours jusqu’à son métabolisme.
La médecine nucléaire permet d'identifier les processus biologiques car il existe un certain nombre de cibles qui
peuvent être ciblées par des traceurs, vecteurs couplés à des isotopes radioactifs : les radiotraceurs (1
molécule vectrice + 1 élément identifiable par imagerie).
Le terme radio-traceurs évoque la notion de trace. Ils sont administrés à des doses très faibles qui ne modifient
pas les processus biologiques, moléculaires, ou physiologiques que l'on cherche à identifier.
CR : Les radiotraceurs sont donc différents des médicaments, car ces derniers modifient les processus
physiologiques.
Il existe un lien évident entre Biologie et Médecine nucléaire. Le problème n’est pas de trouver des cibles, mais
de limiter les effets collatéraux et d’effectuer un ciblage précis (éviter les Faux Positifs : mauvaise fixation
cellulaire/tissulaire).
On va vectoriser la radioactivité dans des zones d'intérêts pour identifier les phénomènes biologiques,
moléculaires ou physiologiques. Selon le type de vecteur et l’isotope, on utilise une technique d’imagerie
associée
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