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10.2. Des valeurs particulières de l’imparfait en français/ le preteritum et
le preteritum perfektum en norvégien par rapport aux
valeurs modales…………………………………………………………….....67
10.3. Des valeurs modales de divers temps du passé en français, en anglais,
en roumain et norvégien……………………………………………..……...68
11. LE ROUMAIN VERSUS LE FRANÇAIS. ………………………………………….72
11.1. Caracterisation générale……………………………………………………72
11.2. Le perfectul simplu/ le perfectul compus versus le passé simple/
le passé composé……………………………………………………………..73
11.3. L’imperfectul versus l’imparfait……………………………………………76
11.4. Les verbes de sentiments en roumain et leur emploi à un temps passé….78
12. LE NORVÉGIEN VERSUS LE FRANÇAIS………………………………………...79
12.1. Le perfektum/le preteritum versus le passé composé/le passé récent……...79
12.2. Le preteritum perfektum versus le plus-que-parfait………………………..82
12.3. L’aspect en norvégien. Comparaison avec le français…………………….83
12.3.1. L’aspect perfectif en norvégien. Comparaison avec le français……………...83
12.3.2. L’aspect imperfectif en norvégien. Comparaison avec l’imperfectif en
français…………………………………………………………………………...83
12.3.3. L’aspect inchoatif et l’aspect égressif en norvégien. Comparaison avec le
français…………………………………………………………………………..84
12.3.4. L’aspect itératif et fréquentatif en norvégien………………………………....85
DEUXIÈME PARTIE : APPLICATION PRATIQUE DE L’APPARATE THÉORÉTIQUE
13. LES LANGUES EN CONTRASTE : LE FRANÇAIS, L’ANGLAIS, LE
NORVÉGIEN ET LE ROUMAIN…………………………………………………..85
13.1. Présentation d’objectifs……………………………………………………..85
13.2. Le roman Les mots et les choses, de Michel Foucault. Récit original et
ses traductions en anglais, en roumain et en norvégien. Analyse pratique
………………………………………………………………………………87
13.3. Le roman Snømannen, de Jo Nesbø. Récit original et ses traductions
en français et en anglais. Analyse pratique………………………………96
13.4. Le roman Eat, pray and love, de Elizabeth Gilbert. Récit original et
ses traductions en français, en roumain et en norvégien.
Application pratique………………………………………………………101
14. CONCLUSION………………………………………………………………………110