la pensée de darwin

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L’ADN POUBELLE
Margarita Duco
Carolina Salazar
Sofia Soto-Aguilar
Première S
On sait que l'ADN humain est composé de 3,3 milliards de paires de bases mais seul
1,5% de ce potentiel serait utilisé pour la synthèse des protéines de l'organisme tout
entier. Le reste du génome, soit 3,25 milliards de paires de bases, était considéré
jusqu'alors comme de "l'ADN poubelle", sans fonction significative.
LA PENSÉE DE DARWIN
Les darwinistes fréquemment citent l’ADN poubelle comme évidence à faveur des plus
grandes affirmations de la théorie de l’évolution, confirmant que l’ADN poubelle n’as
pas trop de sens dans l’encadrement du modèle intelligent.
Le néo-darwinisme soutient que la nouvelle information biologique apparaît comme un
résultat d’un procès de mutations d’essai et d’erreur, en prévoyant qu’il y aura une
tendance de l’ADN non-fonctionnel à s’accumuler dans les génomes d’organismes
eucaryotes. D’autre part, la théorie de modèle intelligent prévoit que la majorité des
séquences non-codantes de protéines dans le génome doivent exécuter une certaine
fonction biologique.
Celle-ci est une zone où le modèle intelligent, loin d’être un paralisateur de la science,
comme les darwinistes affirment souvent, encourage réellement l’effort scientifique.
D’une perspective darwinienne, on attend beaucoup d’ADN inutile. Toutefois, si les
organismes sont des designers, donc on doit prévoir, pendant qu’il soit possible, que
l’ADN montre fonctionnalité. Intéressement, dans cette situation, les affirmations du
darwinisme -non pas celles du modèle intelligent- celles qui sont responsables d’agir
comme un paralisateur de la science, en décourageant aux investigateurs de chercher
fonctionnalités dans l’ADN poubelle.
L’ADN poubelle, à part d’être des restes inutiles de permutations évolutives, comme
les modèles matérialistes affirment, l’ADN non-codant de protéines dirige l’utilisation
d’autre information dans le génome. Celle-ci est l’une des nombreuses parties où le
modèle intelligent, contrairement aux critiques fréquemment faites, fait des prédictions
scientifiques qui peuvent-être, et sans doute ont été, vérifiés par l’expérimentation et
l’entreprise scientifique.
De toute façon, c’est entièrement plausible en vertu du design intelligent qui ce qui était
avant l’ADN fonctionnel/codant ait perdu ses fonctions, possiblement du a une
inactivation mutationnelle. Cet argument ne peut plus être utilisé comme une critique
légitime du modèle intelligent comme modèle scientifique ou dans un effort de justifier
les affirmations darwiniennes.
Mais est-il correcte de dire que cette affirmation est juste ?
LA PENSÉE SCIENTIQUE
L’ADN nommé ADN poubelle, est un ADN qui ne codifie pas des protéines. Il existe
quatre types de principes d’ADN poubelle:
- Les introns sont des segments internes à l’intérieur des gènes qui sont éliminés au
niveau de l’ARN.
- Les pseudo-gènes sont inactivés par une insertion ou suppression.
- Les séquences satellites sont des courtes répétitions.
- Les répétitions disperses sont des séquences répétitives plus longues
majoritairement dérivés d’éléments mobiles d’ADN.
D’où, contrairement aux affirmations darwiniennes, des découvertes scientifiques
récentes ont démontré que les introns, pseudo-gènes, séquences satéllitales et ces
répétitions diverses de protéines du génome, dirigent la production de molécules
d’ARN qui régulent l’utilisation des régions codantes de protéines de l’ADN. Biologistes
de cellules et de génome aussi ont découvert que ces régions “non codantes” de
protéines du génome réalisent fonctions telles comme les suivantes:
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Régulation de la réplique d’ADN
Régulation de la transcription
Marquer lieux pour réorganisations programmés de matériel
Influencer le pliage et la maintenance appropriée de chromosomes
Contrôler les interactions des chromosomes avec la membrane nucléaire
Contrôler le processus, coupé et commune de l’ARN
Moduler la traduction
Réguler le développement embryologique
Réparation d’ADN
Aider à combattre maladies
De plus, avec ce dernier point, ces chercheurs viennent de montrer, sur une partie
représentative du génome, que même les ADN non-codants sont presque tous
transcrits en ARN, qui ont en outre des fonctions non négligeables: les ARN noncodants régulent très spécifiquement l'expression protéique. Ainsi, si une protéine est
trop ou trop peu produite dans une cellule, l'équilibre est déplacé et des maladies
peuvent
survenir.
Ces conclusions ouvrent de nouvelles perspectives diagnostiques et thérapeutiques: le
génome tout entier s'offre désormais au diagnostic génétique, laissant présager une
détection
encore
plus
précoce
des
maladies.
30 millions de bases du génome humain ont été ainsi étudiées par des chercheurs
internationaux dans le cadre du projet ENCODE (ENCyclopedia Of DNA Elements).
Initié en 2003, ce programme vise à identifier, classer et caractériser tous les éléments
qui ont une réelle utilité biologique au sein du génome humain. ENCODE fédère plus
de 300 chercheurs, issus de 80 institutions réparties dans 11 pays.
Un groupe de chercheurs internationaux vient de montrer que les fragments de notre
patrimoine génétique qui étaient considérés jusqu'alors comme "ADN poubelle" codent
également pour des ARN. Ces "ARN poubelles" ne sont en aucun cas insignifiants
puisqu'ils semblent participer à l'apparition de cancers ou d'infarctus.
CONCLUSION
L’ADN poubelle pourrait avoir une inutilité que nomme les darwinistes pour être censés
de produire des cellules malades, entre autres fonctions qui pourraient former un
équilibre avec cette espèce de masochisme de notre propre corps avec son control de
production, ordre au niveau de l’information génétique du noyau. De plus, ceci aiderait
aux scientifiques à découvrir des façons pour trouver le combattant génétique de ces
maladies.
Cet ADN poubelle a été formé par notre corps à travers des mutations de l’information
génétique et ainsi, on a évolué en ce qui nous sommes maintenant.
Premièrement ce sont les darwinistes qui l’ont considéré comme quelque chose qui ne
servait à rien, que seulement s’accumule dans notre organisme et qui sert seulement
comme une perte de temps pour la science car ils cherchent une fonction et ne
trouvent pas malgré être le pourcentage le plus grande de l’ADN. Après, eux-mêmes,
les darwinistes, ont renouvelé ses idées et ont conclu que c’est par une raison qu’elle
se trouve dans notre corps et qu’il doit avoir une certaine utilité.
Temps après, s’est prouvé à travers d’expériments, que l’ADN poubelle avait une
fonction : il a du pouvoir sur l’information génétique des personnes
D’une autre part il y a une opinion scientifique sur le thème qui s’oppose au
darwinisme, car ils nous disent qu’ils dirigent la production de molécules d’ARN, aussi
interviennent sur l’ADN pour diriger la manière qu’ils codent les protéines et même ils
sont transcrits en ADN.
Donc d’après cette pensée, l’ADN poubelle n’est pas du tout négligeable, au contraire,
il est très important, car s’il ne contrôlerait pas l’ADN du point de vue de production de
protéines, peut avoir un déséquilibre qui peut mener à une maladie.
Comme on peut voir alors, il y a deux types de pensées complètement différentes.
C’est une question de chacun qu’est-ce qu’on veut y croire finalement. Mais les
expériences nous indiquent que ce n’est pas comme le nom le dit, « poubelle », il est
bien utile pour notre organisme, pour le codage des protéines, mais en même temps,
l’ARN poubelle qui dérive de l’ADN poubelle, participe à des maladies considérés
comme graves, pourtant on peut les considérer bien plus importants qu’on les
considérait auparavant.
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