IPD lance le Code de l’environnement
IPD, leader mondial de l’analyse de la performance de l’immobilier, présente le
lancement officiel du Code de l’environnement en France, développé par le
département IPD Utilisateurs, avec le concours de Barclays, Bureau Veritas et CB
Richard Ellis.
Le Code de l’environnement regroupe un ensemble de définitions, d’indicateurs pour
la collecte, la mesure et l’analyse des données liées à la dimension
environnementale de l’immobilier.
Ce document propose une terminologie standard, internationale, permettant une
application à tous les types de bâtiments, pour les gestionnaires d’immobilier
soucieux de disposer d’outils précis en matière de mesure de performance
environnementale.
Laurent Lehmann, Directeur Général Adjoint CBRE, confirme: « Pour agir il faut
comprendre et mesurer les points critiques de l’immeuble : s’appuyer sur le Code de
l’environnement permet à chaque entreprise ou asset manager d'être en démarche
de progrès et de parler la même langue que ses prestataires »
C’est à la fois un système de classification et une méthodologie de la mesure de
performance environnementale. « A ce titre, le Code de l’environnement complète la
gamme des documents déjà produits par IPD Utilisateurs, dans sa démarche
d’information et de réflexion dite « GEMS : Global Estate Measurement Standard »
visant l’élaboration de standards internationaux : le Code International des Coûts
globaux d’Utilisation ou le Code des Surfaces. » indique Philippe Fixel, Directeur
IPD Utilisateurs et PFM, France.
S’appliquant à l’immobilier existant, le Code de l’environnement est en cela
complémentaire des autres initiatives sur le thème, qui s’appliquent plutôt à
l’immobilier en développement. C’est un référentiel qui ne constitue pas en soi une
certification, ce que souligne Eric Parisot, Vice Président real Estate et
infrastructure, Bureau Veritas. « Ces dernières années un nombre assez important
de systèmes d'évaluation ou de certification, ayant trait à la performance
environnementale des immeubles, se sont développés en Europe. En général ils se
complètent, et chacun d'eux répond typiquement à des préoccupations particulières
(neuf vs. existant, énergie vs. empreinte carbone,...), avec sa méthodologie propre.
Pour autant tous se retrouvent autour de notions communes (quantités d'énergie ou
d'eau, énergies renouvelables,...). Il devenait donc important et urgent de fixer des
définitions et des classifications, qui puissent, au-delà des particularités locales,
servir de langage commun à tous les systèmes: c'est précisément ce qu'apporte
aujourd'hui le Code de l'Environnement, simplifiant la collecte des données et
ouvrant la porte à des benchmarks européens, voire à plus grande échelle. »
Communiqué de presse
Juillet 2008