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Jeudi 06 Octobre 2016
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SOMMAIRE
Synthèse ................................................................................................................................................................. 3
A la une .................................................................................................................................................................. 4
Elle servira à financer le déficit public : Une dette d’un milliard de dollars en
2017(Liberté) .............................................................................................................. 4
Production industrielle publique au 1er semestre : Hausse de plus de 2% (APS) ...... 5
Importation de céréales : Baisse de la facture (El Moudjahid) ................................... 6
Forte baisse des dépenses d'équipement dans le projet de loi de finances 2017 :
“Plusieurs secteurs connaîtront de sérieux problèmes”(Liberté) ................................ 7
Le déficit du trésor public sera réduit de près de moitié (Le Jeune Indépendant) ...... 8
Le conseil des ministres opte pour le maintien des transferts sociaux : Le choix du
statu quo (L’Expression) ........................................................................................... 10
Mohamed-cherif belmihoub à propos de la réduction du déficit budgétaire : “Les
marges de manœuvre du gouvernement sont très réduites” (Liberté) ...................... 11
Les principes de justice sociale et de solidarité réaffirmés : «La LF 2017 maintient
intacts les transferts sociaux », relèvent des économistes (Horizons) ...................... 14
Belkacem Boukhrouf, économiste, à l'expression : "Nos dépenses sont sûres et nos
recettes incertaines" (L’Expression) ......................................................................... 15
Ferhat Aït Ali, analyste financier : «La fin psychologique du Fonds de régulation
des recettes» (Le Temps d’Algérie) .......................................................................... 17
Algérie -Le statu quo en matière de dépenses budgétaires suggère un recours
prochain au crédit extérieur (Samir Bellal) (Maghreb Emergent) ............................ 18
Déficit budgétaire de l’Algérie pour les 5 prochaines années : Le FMI prévoit une
réduction progressive (El Moudjahid) ...................................................................... 20
Bouchouareb à propos des véhicules de moins de trois ans : ................................... 21
"Il n’y aura pas d’importation" (Le Midi Libre) ....................................................... 21
Son plan de charge pour l’année 2016 piétine : La SNVI tarde à livrer la commande
de sa clientèle (Le Soir d’Algérie) ............................................................................ 22
Chlef: Quel rôle de l'université dans le développement ? (Le Quotidien d’Oran) .... 23
Investissement à Tizi Ouzou : 231 projets retenus pour 61 milliards DA (Le Temps
d’Algérie) .................................................................................................................. 24
Un nouveau Fonds d’investissement au secours des PME (L’Econews) ................. 25
Banque/bourse/Assurance .................................................................................................................................. 26
Assemblées annuelles FMI-BM du 6 au 9 octobre : Hadji Baba Ammi à Washington
(Horizons) ................................................................................................................. 27
Commerce ............................................................................................................................................................ 27
Marchés et commerces à Alger : Plus de 12 millions DA de marchandises non
facturées (Le Midi Libre) .......................................................................................... 27
Coopération ......................................................................................................................................................... 28
Le ministre britannique chargé de l’Afrique et du Moyen-Orient : Le Royaume-Uni
veut des liens encore plus étroits avec l’Algérie (El Moudjahid) ............................. 28
Veille ..................................................................................................................................................................... 30
Accord de l'OPEP à Alger : De quel événement historique parle-t-on ? (Le
Quotidien d’Oran) ..................................................................................................... 30
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Synthèse
Après son adoption par le Conseil des ministres, le projet de loi de
finances 2017 a suscité la action de nombreux experts économiques.
Dans ce projet de loi, les dépenses publiques constituent la variable
d’ajustement budgétaire et ce sont les investissements publics qui
supporteront la plus grosse coupe budgétaire, indiquent plusieurs
quotidiens. L’Algérie s’attend à un déficit de 8% du Trésor public l’année
prochaine, contre 15% cette année, selon le communiqué du Conseil des
ministres, largement repris par la presse. La question de la réforme des
subventions a été évoquée par plusieurs experts dont certains qualifient
de conséquent le montant alloué aux transferts sociaux essentiellement
destinés à la subvention des prix des produits de base. En revanche,
dautres économistes préviennent que le financement de l’économie sera
le principal problème après l’ajustement budgétaire. Ceci dit, le déficit du
solde budgétaire global de l’Algérie qui s’est creusé en 2015, devrait se
réduire progressivement durant les cinq prochaines années, selon les
dernières prévisions du Fonds monétaire international (FMI), reprises par
les quotidiens et les sites dinformation. Dans un autre chapitre, le dossier
de limportation des véhicules de moins de trois ans a été définitivement
clôt par le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb.
Le ministre exclut donc toute nouvelle autorisation de l’importation de
cette catégorie de véhicules. Concernant la production industrielle du
secteur public, une progression de 2,2% a été enregistrée au 1er
semestre 2016 par rapport à la même période de 2015, tandis que des
contres performances ont éaffichées dans certains filières des différents
secteurs, note l'Office national des statistiques. Par ailleurs, la facture
d'importation des céréales a reculé de plus de 23% durant les huit
premiers mois de 2016, tandis que les quantités importées ont baissé
seulement pour le blé tendre, avance le CNIS.
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A la une
Elle servira à financer le déficit public : Une dette d’un milliard de
dollars en 2017(Liberté)
Le document intitulé nouveau modèle économique qui s’assimile au plan
anticrise de Sellal indique que le gouvernement compte recourir à
l’endettement extérieur pour réduire le déficit du budget : un milliard de
dollars à mobiliser en 2017, soit l’équivalent de 106 milliards de dinars,
rapporte une source sûre citant le texte. C’est pour la première fois que le
gouvernement tranche sur la question.
Il a décidé d’opter pour l’endettement extérieur. Nouveauté : les crédits
extérieurs contractés en 2017 serviront à réduire le déficit budgétaire. Un
indice de la gravité de la situation financière. Les recettes fiscales
pétrolières et celles ordinaires ne suffisant pas, le gouvernement décide
de recourir, outre l’endettement extérieur, au marché local des capitaux
pour résorber le trou du budget en 2017.
La décision pourrait conduire les grandes entreprises comme Sonatrach,
Sonelgaz et Air Algérie à mobiliser des crédits extérieurs pour financer
leur plan de développement.
Ce qui était, jusqu’ici, exclu. “Le recours à l’endettement extérieur ne peut
être positif que si les crédits extérieurs contractés servent à financer des
projets d’investissement rentable et non des dépenses budgétaires”,
avertit un spécialiste financier.
Concernant le cadrage budgétaire qui constitue l’essentiel de ce nouveau
modèle économique ou de croissance, les dépenses budgétaires sont
plafonnées entre 2017 et 2019 à hauteur de 7 000 milliards de dinars,
ceux de fonctionnement sont stabilisées à 4 500 milliards de dinars, soit
au niveau actuel des dépenses budgétaires.
Quant aux dépenses d’équipement, elles passent à 2 300 milliards de
dinars, contre 3 100 milliards de dinars actuellement, soit une baisse
moyenne de 25%. Elles stagneront à ce niveau durant cette période. Le
déficit du trésor en 2017 est estimé à 2 000 milliards de dinars, soit 20
milliards de dollars. Pour l’éponger et arriver en 2019 à l’équilibre du
budget visé par le nouveau modèle économique, le gouvernement table en
2017 sur le restant de l’argent accumulé dans le fonds de gulation (740
5
milliards de dinars), les marchés financiers (emprunt obligataire…) et
l’endettement extérieur.
Par ailleurs, le gouvernement cible des exportations hors hydrocarbures
de moins de 2 milliards de dollars entre 2017 et 2019, indique le
document.
Sur ce plan, le gouvernement paraît peu ambitieux. Le document fixe une
projection de prix du baril de 50 dollars en 2017, 55 dollars en 2018 et
60 dollars en 2019 et un taux de change pour la période de 108 DA pour
un dollar américain.
Le document comporte une seconde partie : la construction d’une vision à
2030.
Il prévoit de multiplier par 2 ou 3 la richesse nationale à cet horizon, de
porter la part de l’industrie dans le Pib de 5% actuellement à 10%,
d’instituer la New public administration (pour la simplification des
procédures administratives, la lutte contre la bureaucratie), la forme de
l’administration économique…
Production industrielle publique au 1er semestre : Hausse de plus
de 2% (APS)
La production industrielle du secteur public a progressé globalement de
2,2% au 1er semestre 2016 par rapport à la même période de 2015
tandis que des contre performances ont été enregistrées dans certains
filières des différents secteurs, a appris l'APS auprès de l'Office national
des statistiques (ONS). Hors hydrocarbures, le taux de croissance du
secteur public industriel a atteint 2,9% entre les deux périodes de
comparaison. A l'exception des industries diverses et l'industrie
agroalimentaire, toutes les autres filiales ont enregistré une croissance de
janvier à fin juin 2016 par rapport à la même période de 2015.
Il s'agit principalement des industries de "Bois, liège, papier et
imprimerie" (+28,7%), "chimie, caoutchouc, plastique" (+14,3%),
"industrie des cuirs et chaussures (+7,8%), "textiles, bonneterie et
confection" (+7,4%), matériaux de construction, céramique et verre
(+5,9%) et énergie (+3,3%). Une légère hausse de la production
industrielle a également été enregistrée dans les branches
"hydrocarbures" (+0,4%), "mines et carrières" (+0,4%) et "industries
sidérurgiques, métalliques, mécaniques et électriques et électroniques"
(ISMMEE) (+0,3%). Au sein de la branche "Bois, liège, papier et
imprimerie", c'est l'industrie du liège qui a connu une baisse (-17%). Pour
l'industrie de "chimie, caoutchouc, plastique", des baisses ont été connues
pour l'industrie chimique minérales de base (-64,1%) et la fabrication de
peintures (-1,3%). Concernant les matériaux de construction, céramique
et verre, la plus forte croissance de la production a éenregistrée dans
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