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l’environnement.
b. 1 000 producteurs valorisent leur production (autoconsommation, vente).
Activité 1 : Accompagnement et formation à l’amélioration des performances techniques,
économiques et environnementales des exploitations.
1 Mise en œuvre de cycles d’apprentissage pour la diffusion des bonnes pratiques
agroécologiques.
2 Formation adaptée au niveau initial des bénéficiaires et à leurs objectifs de production.
3 Accompagnement dans la mise en œuvre des bonnes pratiques agroécologiques en
foresterie, agroforesterie et sites de cultures vivrières et fruitières.
Indicateurs (cible) :
a. 1200 familles d’agriculteurs formées à la mise en œuvre des pratiques agroécologiques.
b. Au moins 1000 familles qui ont amélioré leurs systèmes de production.
c. 400 à 500 € de revenu additionnel par producteur et par an dégagés grâce aux
changements de pratiques (1 année après adoption).
Résultat 2 : 900 ha d’espaces agricoles ont été restaurés au profit des familles (création de
revenus additionnels) et permettent de séquestrer du carbone.
a. 500 000 arbres ont été plantés sur 900 ha de parcelles.
b. 1 000 familles ont développé de nouvelles activités.
Activité 2 : Appui à l’aménagement et à la mise en valeur des espaces fragiles et marginaux.
1 Identification des espaces fragiles et marginaux.
2 Cartographie et élaboration participative des plans de valorisation.
3 Mobilisation de pépiniéristes pour la production des plants.
4 Appui à la mise en œuvre des plans de valorisation.
Indicateurs (cible) :
a. 900 ha de production valorisés durablement (dont foresterie : 500 ha ; agroforesterie : 300
ha ; cultures vivrières : 100 ha).
b. 3000 tonnes de carbone séquestrées chaque année grâce aux plantations.
c. 600 0000 plants effectivement plantés.
d. 4 372 000 euros de chiffre d’affaire cumulé sur 10 ans (dont 86 000 € sur la durée du
projet) en valorisation des productions forestières, fruitières et vivrières récoltées sur 900
ha.
Résultat 3 : Le potentiel d’atténuation du projet (en terme de GES) à court et moyen terme
est évalué.
a. L’impact carbone de la mise en œuvre des nouvelles pratiques agroécologiques est mesuré
et modélisé.
b. L’impact carbone des plantations est mesuré et modélisé.
Activité 3 : Développement de méthodes d’analyse et de suivi de l’impact carbone du projet
avec l’appui d’instituts de recherche.
1 Etude préalable sur l’état des connaissances locales.
2 Définition d’échantillons représentatifs et significatifs pour la réalisation des mesures.
3 Etudes terrain pour l’évaluation du stockage de carbone et des émissions de GES liés à la
biomasse et aux sols sur l’échantillon défini.
4 Calculs, cartographie et modélisation de l’évolution des stocks de carbone et des
réductions d’émissions de GES permises par la mise en place du projet.