Un océan de possibles
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Un océan de possibles
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Fragiles et encore mal connus, les océans sont en danger ! Connaître et surveiller les
océans mais aussi contribuer au développement durable des activités maritimes,
telles sont les missions de l’Ifremer.
L’Ifremer vous révèle les océans
L’Ifremer vous révèle les océansL’Ifremer vous révèle les océans
L’Ifremer vous révèle les océans
Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer, l’Ifremer a vocation à faire progresser la
connaissance des mers et des océans, à exercer des missions de surveillance et d’expertise du milieu
marin, et à apporter un appui au développement durable de l’économie maritime française.
Chaque année, de nombreuses campagnes océanographiques sont menées par la flotte
océanographique civile française gérée par l’Ifremer : évaluation des ressources halieutiques,
technologie des pêches, géosciences marines, océanographie physique, biologie marine, études
environnementales…
Des navires et engins divers pour étudier les océans
En 2008, la vedette Haliotis a enrichi la flotte de l’Ifremer donnant ainsi
accès à une vue complète des fonds marins, de la plage aux grands fonds.
En effet, Haliotis permet d’accéder à la bande côtière des très petits fonds
comprise entre 0 et 15 mètres de profondeur. Il permet de mettre en œuvre
de l’imagerie acoustique, de la cartographie électronique et de la vidéo sous-
marine afin d’obtenir des informations précises sur la nature, l’épifaune et la
macro-flore des fonds marins non accessibles aux autres navires.
Constituée de 8 navires (4 côtiers et 4 hauturiers), la flotte de l’Ifremer c’est aussi un important parc
d’équipements embarqués ainsi que plusieurs engins sous-marins dont : le Nautile (submersible habité)
et le Victor 6000 (robot téléopéré) tous deux capables de plonger à 6000 mètres de profondeur, des
engins sous-marins autonomes et de nombreux moyens d’essais.
Le Nautile, le Victor 6000, le Pourquoi pas ?, l’Atalante et l’AUV Aster
X
© Ifremer
Flotte et infrastructures, des moyens à l’échelle européenne
Lancé en 2008, le projet européen EUROFLEETS, coordonné par l’Ifremer, regroupe
24 instituts de 16 pays européens. Il a démarré en septembre 2009 pour une durée
de quatre ans et un budget de 7.2 millions d’euros. Son objectif est d’intégrer les
flottes de recherche en poursuivant la construction à l’échelle européenne d’une
panoplie de navires et d’équipements cohérents et complémentaires.
© Ifremer/O. Dugornay
L’Ifremer, un océan de sciences
L’Ifremer, un océan de sciencesL’Ifremer, un océan de sciences
L’Ifremer, un océan de sciences
Les domaines d’activité de l’Institut, qui te en 2009 ses 25 ans d’existence, n’ont
cessé de s’élargir au fur et à mesure de l’évolution de l’océanographie. À ses
champs disciplinaires initiaux (halieutique, géosciences, technologies marines et
sous-marines, pisciculture et environnement littoral) s’est ajoutée l’océanographie
opérationnelle, permettant de veiller sur tous les océans du monde, donc sur le
climat et par conséquent, sur lavenir de la planète.
Les recherches de l’Ifremer portent également sur la biodiversité marine pour la
découverte et la préservation de notre patrimoine écologique, sur les
biotechnologies bleues qui offrent des pistes nouvelles dans les secteurs
médicaux, cosmétiques et alimentaires ainsi que sur les énergies renouvelables
d’origine marine dont le potentiel de développement en matière de production
d’énergie durable est reconnu.
Les technologies et les compétences scientifiques de
l’Ifremer offrent ainsi un potentiel considérable
d’innovations, de partenariats et de transferts vers de
nombreux secteurs industriels : l’environnement (service
de l’eau, dépollution, énergies renouvelables…), les
industries énergétique, pharmaceutique, cosmétique et
agro-alimentaire, l’instrumentation et l’ingénierie, les
télécommunications, l’aquaculture, la défense… et bien sûr
le nautisme.
Chaque année, l’Ifremer collabore avec plus de 200 partenaires privés.
L’all
L’allL’all
L’all
iance pour les sciences de la mer
iance pour les sciences de la meriance pour les sciences de la mer
iance pour les sciences de la mer
A l’issue du Grenelle de la Mer, les tables-
rondes finales ont permis de formuler en juillet dernier
plusieurs centaines de propositions à travers un Livre Bleu. Parmi les engagements présentés, l'un
concerne la création d'une Alliance pour les sciences de la mer
qui conduise à la mise en réseau de
la communaudes sciences marines, moyen de faire face aux défis majeurs d'aujourd’hui, tant à
l'échelle de l’Europe qu'à l'échelle du monde. Cette Alliance figure dans le contrat quadriennal 2009-
2012 de l'Ifremer, au sein de la démarche globale de rapprochement fonctionnel entre organismes
;
il s'agit dans un premier temps d'étudier les attentes de chaque partenaire et le mode opératoire de
cette mise en réseau. L'Alliance pour
les sciences de la mer sera ensuite un moyen de travailler
autour d'axes préalablement identifiés. A l’occasion de son 25
e
participants du monde entier lors d’un colloque constituant la première étape de la mise en se
au
de la communauté des sciences marines.
L’Ifremer au Salon Nautique 2009. Retrouvez toute l’exposition et encore plus d’infos sur :
http://wwz.ifremer.fr/institut/actualites/nautic2009
Aquaculture
Halieutique
Grands fonds
Environnement littoral
Flotte et grandes
infrastructures
Océanographie
opérationnelle
L’océan et le changement climatique
L’océan et le changement climatiqueL’océan et le changement climatique
L’océan et le changement climatique
Selon le rapport (AR4) du Groupe Intergouvernemental pour l’É
tude du Changement Climatique
(GIEC), l’activité humaine perturbe le climat terrestre. En stockant la chaleur et le dioxyde de
carbone, l’océan joue un rôle de modérateur du réchauffement climatique entraînant
:augmentation
de la température globa
le, élévation du niveau de la mer, acidification des océans… Cependant, le
nombre réduit d’observations limite le diagnostic sur l’amplitude et lorigine des changements
régionaux et, donc, la prévision de l’évolution du climat et de ses impacts.
Afin de
quantifier les changements climatiques en cours, d’améliorer notre compréhension des
processus et de développer des modèles de prévision et d’estimation des risques, la recherche sur
le climat s’organise autour d’une approche pluridisciplinaire et de progr
ammes nationaux qui font
intervenir de nombreux organismes de recherche qui contribuent aux programmes internationaux
dans le domaine.
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