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c) Un nombre de Reynolds est un ordre de grandeur. Il est absurde de le donner avec
trop de chiffres significations. Beaucoup de permutation laminaire/turbulent, convectif/viscosité.
3-a) La condition imposée par la sphère est une condition aux limites permettant de détermi-
ner le champ des vitesses. Tout autre condition est trop vague.
b) Le calcul de div(
) doit être clairement mené. Lorsqu’une ligne ne découle pas
logiquement (et algébriquement) de la précédente, il faut le signaler.
c) La détermination d’une fonction à partir de ses dérivées partielles obéit à une mé-
thode claire vue en cours et en TD plusieurs fois auparavant. La pression n’est pas un vecteur, elle
n’a donc pas de « composantes » Pr ou Pq.
d) La force élémentaire de pression fait intervenir le vecteur
r(P) qui dépend du
point courant P du domaine d’intégration. Ce vecteur change et on ne peut pas le sortie de
l’intégrale. Une réponse donnant la résultante comme portée par
q est donc totalement absurde.
L’erreur vient de la paresse consistant à noter
r plutôt que
r(P), comme c’est fait dans tout le
cours et tous les corrigés fournis en classe.
La question «calcul d’une résistance de force de pression » est classique pour qui a fait
l’effort d’écouter le cours et faire les exercices correspondants. Elle n’est faite dans aucune copie.
4-a) Même erreur que ci-dessus en remplaçant
r(P) par
q(P).
b) Le résultat montre que dans la force de traînée subie par la sphère, il n’y a pas que
l’effet de la viscosité mais aussi celui de la pression qui n’est pas uniforme sur toute la surface.
Partie II
1-a) Le poids est négligeable devant les autres forces.
b) La mobilité n’est pas le vitesse
c) L’unité SI de masse est le kilogramme et non le gramme.
d) Il s’agit d’un calcul d’ordre de grandeur. Il est donc hors de question de faire in-
tervenir le terme en exponentiel de la vitese.
2-a) C’est la structure des ions qui est demandée, pas celle des atomes.
c) Il faut des explications pour justifier le schéma.
3-a) L’expression de la conductivité d’une solution est vue dans le cours de SUP.
4-a) Une équation « vérifiée par V » doit permettre de déterminer cette fonction. Sil reste un
r ou un
inconnu, ce n’est pas le cas. La solution est neutre donc r = 0.
b) Les lignes de courant sont les lignes de champ car la solution est un conducteur.
5-a) Il n’est évidemment pas question d’utiliser la méthode intégrale pour calculer le poten-
tiel : il n’y a pas de charge ponctuelle ici et l’intégrale n’est pas calculable.
6-b) Une question de cours pour sauver les meubles.
c) Il faut appliquer le théorème de superposition.
Partie III
1-a) x, y ou r sont des variables relatives au point courant quelconque dans l’intégrale du dé-
bit. Il n’est donc pas possible de les retrouver dans l’expression de la vitesse moyenne.
1-b à 1-f : des calculs mathématiques qui ne demandent pas d’avoir vraiment compris grand
chose. On applique le formulaire donné par l’énoncé. La condition aux limites sur le tuyau isolant
porte sur Jr mais pas sur Jq. Il ne s’agit pas d’un liquide visqueux ici.
2-b) On ne sait pas comment sont les lignes de champ entre A et B. On ne peut donc pas cal-
culer VA – VB par la circulation de
. Par contre, on connaît le gradient de V donc l’expression de
ces dérivées partielles, d’après la question précédente. Il suffit donc de déterminer la fonction
V(r, q) par la même méthode qu’en I-3-c.
3-a) Le tube est de longueur infinie. Cela ne justifie pas que la distribution de courant soit
invariante par symétrie par rapport à un plan perpendiculaire à l’axe. Il ne faut pas confondre la
forme géométrique du support et l’allure des lignes de courant qui s’y trouvent.