Le clergé appelé à réfléchir sur le mariage et la

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ANGLETERRE ET PAYS DE GALLES
Le clergé appelé à réfléchir sur le mariage et la
famille
Décembre 2014, document de réflexion de la Conférence des évêques catholiques d’Angleterre et du
Pays de Galles
Le document de réflexion sur le mariage et la famille envoyé au clergé, au mois de
décembre 2014, par la Conférence des évêques d’Angleterre et du Pays de Galles, répond à la
demande du pape François qu’existe un vrai temps de « discernement spirituel » entre les deux
Synodes concernant la famille. Si le clergé est souvent le témoin privilégié de la célébration du
mariage ou de la vie et de l’amour « qui s’expriment au fur à mesure que le couple bâtit son
foyer, souvent béni par la naissance d’enfants…, rapporte le document, il est également le
témoin des difficultés que rencontrent de nombreux couples ou de personnes « qui ne
s’inscrivent pas toujours dans cet ordre “traditionnel” selon lequel nous sommes habitués à
penser ». Alors, comment aller – avec un regard d’amour et de tendresse – « à la rencontre des
personnes dans leurs situations très diverses? ». Le document des évêques d’Angleterre et du
Pays de Galles propose une méditation de l’exemple de saint Augustin, évêque d’Hippone, lors
de la crise donatiste. Celui du refus d’une « Église des purs », sans charité. Le document se
termine par un parcours d’accompagnement à l’adresse des prêtres, les questionnant autour
des fiançailles, de la célébration du mariage, sur le divorce ou encore sur l’accompagnement de
personnes homosexuelles.
Texte original en anglais, Conférence des évêques d’Angleterre et du Pays de Galles (*)
Le pape François a demandé que la période entre les deux Synodes soit un temps de « vrai discernement spirituel » sur
la famille et dans le contexte de la société d’aujourd’hui. Les évêques d’Angleterre et du Pays de Galles demandent au
clergé de nos pays de réfléchir à l’importance du mariage et au rôle du clergé dans l’accompagnement des personnes
cheminant dans le mariage et dans leur vie familiale. Le titre du Synode de l’an prochain a pour titre La vocation et la
mission de la famille dans l’Église et dans le monde contemporain.
À la rencontre des personnes à différents stades de leur vie
En tant que membres du clergé, nous rencontrons les personnes à différents stades de leur vie et de leur cheminement.
Nous rencontrons de nombreux couples qui vivent ensemble lorsqu’ils viennent nous voir avec leurs enfants pour qu’ils
soient baptisés. Tous ces couples n’ont pas forcément pensé à se marier. Il arrive aussi qu’ils aient été mariés
précédemment et que les liens se soient rompus. Nous rencontrons des couples sur le point de se fiancer et qui viennent
à nous car ils souhaitent célébrer leur mariage en l’Église. Nous sommes témoins de la célébration du mariage, qui est la
joyeuse expression de l’engagement et de l’amour que les jeunes époux éprouvent l’un envers l’autre. Nous sommes
témoins de cette vie et de cet amour qui s’expriment au fur à mesure que le couple bâtit son foyer, souvent béni par la
naissance d’enfants, et cherche notre soutien et notre aide pour apporter la foi aux enfants et à la famille dans son
ensemble. Cela se traduit souvent par la célébration des sacrements du baptême, de la réconciliation, et de la Sainte
communion avec les enfants issus de ce mariage. Nous rencontrons aussi des familles en pleine crise, lors d’un divorce,
par exemple. D’autres couples viennent présenter leur enfant pour qu’il soit baptisé et reçoive les sacrements, alors qu’ils
sont divorcés et se sont remariés civilement. Parfois, les personnes racontent leur histoire lorsqu’elles sont très malades
et se préparent à mourir. Nous rencontrons les personnes à divers stades de leur vie familiale, qui ne sont pas toujours
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clairement définis et ne s’inscrivent pas toujours dans cet ordre « traditionnel » selon lequel nous sommes habitués à
penser.
Un regard d’amour et de tendresse
Le document final du Synode d’octobre dernier nous demande de nous faire l’écho de la propre approche de Jésus
concernant ce que nous pourrions appeler le désordre de la vie familiale dans le monde contemporain. Comme Jésus,
nous devons veiller: « a regardé avec amour et tendresse les femmes et les hommes qu’il a rencontrés, en accompagnant
leurs pas avec vérité, patience et miséricorde, tout en annonçant les exigences du Royaume de Dieu. » ( Relatio Synodi,
12) (1). Le Synode n’élude pas la vérité de l’Évangile et du Royaume. Il nous exhorte de répondre « aux exigences du
Royaume de Dieu », mais cela doit être accompagné de compassion et d’amour, en voyant tout d’abord des personnes
qui sont aimées de Dieu, et ensuite leur situation. Comme Jean-Paul II l’a écrit il y a presque vingt ans dans Veritatis
Splendor (n. 95) (2): « (…) la présentation claire et vigoureuse de la vérité morale ne peut jamais faire abstraction du
respect profond et sincère, inspiré par un amour patient et confiant, dont l’homme a toujours besoin au long de son
cheminement moral rendu souvent pénible par des difficultés, des faiblesses et des situations douloureuses. L’Église, qui
ne peut jamais renoncer au principe “de la vérité et de la cohérence, en vertu duquel elle n’accepte pas d’appeler bien ce
qui est mal et mal ce qui est bien”; elle doit toujours être attentive à ne pas briser le roseau froissé et à ne pas éteindre la
mèche qui fume encore (cf. Is 42, 3). »
Le pape François nous invite à réfléchir à nos différentes manières d’accompagner les personnes, pour que petit à petit,
elles puissent comprendre l’appel du Christ et la façon dont elles doivent vivre leur vie. Comment allons-nous à la
rencontre des personnes dans leurs situations très diverses?
Le regard de saint Augustin sur l’Église
Saint Augustin, évêque d’Hippone et docteur de la vérité de l’Église, nous propose une manière de regarder l’Église, à
son époque, mais celle-ci reste tout à fait pertinente aujourd’hui. L’Église d’Afrique du Nord a été divisée, au début du IV e
siècle par l’hérésie donatiste. Saint Augustin s’est prononcé contre cette hérésie lors du concile de Carthage en juin 411.
Les donatistes croyaient qu’ils représentaient « l’Église des purs », non contaminée par la dissidence de ceux qui avaient
trahi leur foi chrétienne lors d’une période de persécution. Ils prétendaient que l’Église catholique de l’époque d’Augustin
était souillée par son ancien lien avec ceux qui, lors de la persécution, cent ans plus tôt, avaient livré les livres sacrés aux
flammes, les « traditores ».
Deux paraboles de l’évangile de Matthieu, chapitre 13, occupent une place prépondérante dans tous les écrits de saint
Augustin au cours de cet âpre conflit: Le bon grain et l’ivraie (v. 24-30) et Le filet ramenant des poissons de toutes
espèces (v. 47-50).
Les disciples de Donat refusaient tout contact avec les catholiques qui, pensaient-ils, étaient souillés et ne pouvaient
représenter l’Église du Christ. Ils se considéraient comme les seuls représentants de la véritable Église en raison de leur
fermeté et de leur détermination pendant les persécutions. S’inspirant de la parabole du bon grain et de l’ivraie, Augustin
plaida avec ardeur et insistance en faveur de la patience et de la tolérance, car arracher l’ivraie signifierait aussi abîmer le
bon grain. En cela, Augustin ne faisait que suivre ce que le maître dit lui-même dans la parabole: « Non, en enlevant
l’ivraie, vous risquez d’arracher le blé en même temps » (13, 29). Répondant à l’assertion selon laquelle l’Église
catholique acceptait et consentait à la présence de pécheurs en son sein, Augustin assura que les bons catholiques ne
seraient aucunement affectés par les pécheurs à partir du moment où ils n’imitaient pas le comportement de telles
personnes. De même, le maître de la parabole se contente-t-il d’attendre la fin de la moisson où il sera procédé à la
séparation finale: l’ivraie sera liée en bottes pour la brûler, pendant que le blé sera ramassé et rentré dans le grenier.
Augustin interprétait ce passage de la parabole comme une métaphore du jugement dernier, lorsque le Christ lui-même
séparera une fois pour toutes les bons des méchants.
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Dans sa compréhension de l’autre parabole, celle du filet que l’on jette dans la mer, et qui ramène toutes sortes de
poissons, Augustin insiste de nouveau sur la nécessité d’attendre le jugement dernier lorsque les anges sépareront les
méchants des justes. Il ne nous revient pas de tirer des conclusions hâtives et prématurées. Augustin fait une autre
remarque intéressante: lorsque le filet est jeté à la mer, le pêcheur ignore totalement quels sont les bons ou les mauvais
poissons pris dans les mailles, puisqu’ils demeurent hors de sa vue. Il ne le saura que lorsqu’ils seront triés sur le rivage.
Augustin veut dire que nous ne sommes pas en mesure, dans cette vie, de porter un jugement sur les autres. Seul le
Christ peut se faire une idée exacte qu’il révélera au jour du jugement.
Tout au long de cette controverse avec les donatistes, Augustin appela à la paix et à l’unité dans l’Église: « Dès
maintenant mettez-vous d’accord avec la paix, attachez-vous à l’unité, rendez-vous à la charité, cédez devant la vérité », (
Ad Donatistas post Collationem, 18, 24) (3).
En vue de la préparation du prochain Synode, ces paroles essentielles prononcées par saint Augustin peuvent nous aider
à faire avancer le débat au-delà des questions les plus difficiles et à placer ces mêmes questions dans un contexte plus
large. L’Église est appelée à proclamer la paix du Christ à son peuple, et au monde. Les gens ont besoin de cette
proclamation et veulent l’entendre, dans leur vie souvent confuse et fragmentée. Le concept de charité est le trait distinctif
de toute la théologie d’Augustin d’Hippone. La charité peut-elle nous permettre de vivre avec la différence, sans diminuer
ce qui est essentiel à notre foi catholique? L’ancien proverbe, dont l’origine est incertaine, imprègne l’esprit d’Augustin:
« Liberté dans le doute, unité dans l’essentiel et en toutes choses, la charité. » Le propre cheminement personnel
d’Augustin pour trouver la vérité fut long et ardu. Il y eut des moments où il désespérait de la trouver, avant d’y parvenir
graduellement et grâce à la gentillesse et au témoignage de son prochain. Dans un monde qui évolue rapidement, surtout
en matière d’autonomie morale, il nous faut être patient et tolérant avant que la clarté et la vérité émergent dans la vie des
gens.
Le parcours d’accompagnement
Accompagner les couples au moment des fiançailles
Bien préparer, jusqu’au bout, les couples au mariage est de la responsabilité du prêtre. Certains pensent qu’il s’agit
souvent d’une tâche chronophage, mais de bien des façons, ce qui est central dans cette préparation n’est pas seulement
le fait que le couple connaisse le prêtre, mais que le prêtre connaisse le couple, afin qu’il puisse aborder les éventuelles
idées fausses que le couple aurait sur le mariage.
Le Synode a noté que l’ensemble de la communauté chrétienne devait être impliquée dans la préparation de ceux qui
vont se marier. Des programmes spécifiques « qui soient une véritable expérience de participation à la vie ecclésiale et
constituent un approfondissent les différents aspects de la vie familiale. » ( Relatio Synodi, 39) (4).
L’accent doit être mis sur la formation aux vertus, et notamment celle de la chasteté, qui permet au véritable amour de
croître au sein du couple. Celui-ci doit examiner si l’essence du don réciproque qui est au cœur du mariage est enracinée
dans le baptême et illustre la relation entre le Christ et son Église. Ils se donnent l’un à l’autre et trouvent leur
accomplissement dans l’autre et dans leur ouverture à Dieu.
Questions pour susciter la réflexion:
• Selon vous, quelle est l’importance de la préparation au mariage dans votre ministère pastoral actuel?
• Pensez-vous avoir été suffisamment formé pour préparer les couples au mariage?
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• De quelle manière mobilisez-vous les couples mariés dans ce processus capital, de sorte qu’il devienne réellement une
célébration du mariage et de la vie de famille pour l’ensemble de la communauté?
• Dans l’expérience qui est la vôtre, quelle est l’attitude des couples vis-à-vis de la préparation au mariage?
• Trouvez-vous que l’ambiguïté présente chez de nombreux couples qui viennent pour le mariage (le fait qu’ils vivent déjà
ensemble, qu’ils aient peut-être déjà des enfants) soit difficile à aborder avec eux? Pensez-vous pouvoir les amener à
« vivre les vertus » dans la situation où ils se trouvent?
• Quelles ressources trouvez-vous les plus utiles?
Accompagner les couples jusqu’à la célébration du mariage, et lors de celle-ci
La partie finale du processus de préparation au mariage « immédiat » fournit l’occasion de progresser vers la célébration
du sacrement pendant laquelle les époux donneront et recevront leur consentement, exprimeront leurs vœux,
échangeront les alliances. Une partie de cette période est consacrée à la réflexion sur la liturgie du rite du mariage. De
même, les futurs époux et le prêtre sont amenés à choisir l’une des trois formes rituelles que prendra le mariage, en
adéquation avec la situation du couple: une messe nuptiale, un mariage chrétien sans Eucharistie, une simple
bénédiction. La catéchèse liturgique et spirituelle peut, à ce moment-là, permettre de guider les futurs époux dans le choix
des lectures et de la musique pour la cérémonie du mariage. Le cas échéant, également à ce stade, il peut être envisagé
que les couples reçoivent une catéchèse et célèbrent le sacrement de la réconciliation.
Le couple célèbre son mariage au cours de la liturgie, en présence des témoins, de la famille et des amis. La célébration
du mariage est importante car elle fournit l’occasion d’une évangélisation, tout spécialement pour les invités du couple qui
ne viennent pas normalement à l’Église ou n’ont pas la foi.
Questions pour susciter la réflexion:
• Comment abordez-vous la célébration du mariage avec les couples que vous préparez?
• Utilisez-vous le temps qui vous est imparti pour vous servir de la catéchèse adéquate dans le choix des lectures et des
chants de la célébration?
• Le sujet de la confession et de la réconciliation est-il abordé avec les couples?
• Pour la célébration, préparez-vous une homélie reposant sur les lectures et sur votre connaissance du couple, en vous
assurant qu’il y a bien un message pour chacune des personnes présentes?
• De quelle manière mobilisez-vous la communauté paroissiale lors des célébrations de mariage? Invitez-vous les
paroissiens à ces cérémonies, ou sont-ils tenus à l’écart de la vie liturgique de la communauté?
• Annoncez-vous les mariages en utilisant de manière efficace les moyens de communication de la paroisse: journal
paroissial, site web, etc.?
Accompagner ceux dont le mariage s’est brisé
Le pape nous invite à réfléchir à notre pratique pastorale envers ces catholiques dont la relation matrimoniale s’est
rompue, qui sont séparés ou divorcés. Quelle est votre pratique pastorale si ces personnes se remarient civilement?
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Questions pour susciter la réflexion:
• Comment accompagnez-vous ceux dont la relation matrimoniale est en train de rompre?
• Quels sont les divers moyens de soutien et d’assistance? Envoyez-les vous vers d’autres personnes?
• Comment les personnes divorcées vivent-elles le fait de faire partie de l’Église? Comment sont-elles accueillies et
impliquées?
• Si des personnes vivant de nouveau en couple viennent vous trouver, quelle est votre pratique pastorale?
Participent-elles aux sacrements? Comment les aidez-vous à se rapprocher du tribunal matrimonial? Y a-t-il des cas,
selon vous, où elles pourraient être invitées à la Sainte communion, même si leur situation objective n’est pas réglée?
Quels peuvent être ces cas?
• Comment l’Église peut-elle témoigner du fait d’être une Église de miséricorde et de vérité?
Accompagner des personnes ayant des tendances homosexuelles
Parmi les familles de la paroisse, il existe des personnes ayant une attirance pour des personnes du même sexe.
Certaines ont des difficultés à reconnaître leur orientation sexuelle. Beaucoup d’entre elles tentent de vivre les
enseignements de l’Église; mais seul l’État permet à ces personnes de s’unir légalement par le pacte d’union civile et le
« mariage ». L’Église accepte les personnes attirées par d’autres du même sexe, sans réduire leur identité à ce seul
aspect, et les appelle à partager des amitiés chastes.
Questions pour susciter la réflexion:
• Comment exercez-vous votre ministère auprès des personnes ayant des tendances homosexuelles et comment les
aidez-vous à intégrer leur orientation sexuelle?
• Comment exercez-vous votre ministère auprès de leur famille? De quoi doit-on faire part à l’évêque?
• Quelle est votre réaction lorsque des partenaires homosexuels approchent l’Église pour y être accueillis et intégrés?
• Trouvez-vous difficile cette question des relations homosexuelles et souhaiteriez-vous être aidé et guidé sur la manière
d’exercer de manière efficace votre ministère auprès de ces personnes?
Conclusion
Ces réflexions contribueront au processus de vrai discernement spirituel dans lequel le Saint-Père a demandé à l’Église
de s’engager entre les deux rencontres synodales. L’Église ne peut s’abstraire du monde dans lequel nous vivons, mais
nous témoignons de la vérité de la foi que le Seigneur nous a accordée. En accomplissant cette tâche, nous devrions
nous efforcer de vivre selon les préceptes de saint Augustin que sont la patience et la tolérance, en cherchant la vérité
dans la charité. Le Synode des évêques est appelé à examiner ces questions « En observant attentivement les signes
des temps, nous nous efforçons d’adapter les voies et les moyens… aux besoins pressants de nos jours et aux nouvelles
conditions de la vie sociale. » (Paul VI, Lettre apostolique Motu proprio Apostolica sollicitudo) (5)
En réfléchissant à la situation pastorale du mariage, le clergé contribue au processus du Synode. Cela peut se faire à
travers:
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• La réflexion personnelle et la discussion commune autour des questions soulevées lors de vos réunions au niveau du
doyenné.
• La collecte des questions soulevées au niveau des doyennés pour qu’elles soient l’objet d’un débat plus ciblé au Conseil
presbytéral.
• La soumission à la Conférence des évêques d’un rapport assez concis émanant de chaque diocèse, exposant les
discussions que le clergé a eues.
Veuillez envoyer tous les rapports devant être revus par les délégués synodaux pour l’Angleterre et le Pays de Galles,
avant la Pentecôte 2015. Cela permettra au cardinal Nichols (Westminster) et à Mgr Doyle (Northampton) d’être informés
des réponses apportées, en vue des débats et des discussions du Synode qui se tiendra à Rome en Octobre 2015.
(*) Traduction française de Sophie Gallé. Titre et certains intertitres de La DC.
(1) DC 2015, n. 2517, p 66.
(2) DC 1993, n. 2081, p. 933.
(3) Bibliothèque Augustinienne, n. 32, p. 307; le nom du traité: Aux donatistes, après la conférence.
(4) DC 2015, n. 2517, p. 72.
(5) Lettre apostolique Motu proprio instituant le Synode des évêques pour l’Église universelle (DC 1965, n. 1456, col. 1663).
http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-F/Le-clerge-appele-a-reflechir-sur-le-mariage-et-la-famille-2015-02-13-1280360
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