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Table des matières
Chapitre I : Points de repère
1. Première approche de l'éthique et de la morale
1.1. Une interrogation constitutive de l’existence humaine et une branche de la philosophie
1.2. Différents types d'action
1.3. Objet et extension de l'éthique et de la morale
1.4. La vie bonne : une recherche humaine
1.4.1. Diversité des éthiques
1.4.2. Structures de l’existence humaine et éthique
2. Distinguer l’éthique et la morale ?
2.1. Étymologie
2.2. Usage des termes
2.3. Que retenir à ce stade de l’interrogation ?
Chapitre II : Aristote (env. 384-322 ACN)
1. Introduction :
1.1. Indications bibliographiques
1.2. L’Ethique à Nicomaque : histoire de l’œuvre
2. L’éthique
2.1. Signification de l’éthique, sa teneur
2.2. Statut épistémologique de la réflexion éthique
2.2.1. Types de science ou de savoirs :
2.2.2. Caractéristiques des savoir-faire
Démarche
Enoncés
Subordination de l’intelligence productive à l’intelligence exécutive
3. Le bien
3.1. Le bien est la fin de toutes les activités
3.2. La politique est la discipline maîtresse
3.3. La nature du bien
3.3.1. Première approche : par l’opinion commune
3.3.2. Deuxième approche : critique des conceptions courantes
Le plaisir
L’honneur
La vertu
La méditation
La richesse
3.3.3. Troisième approche : critique de théories philosophiques, principalement le
platonisme
3.3.4. La conception d’Aristote
3.3.4.1. Originalité par rapport d’autres philosophies
3.3.4.2. Approches d’Aristote
- Approche par la notion de fin
Le bien est la fin
Le bien suprême est la fin ultime, toujours choisie pour elle-même
Autre approche : le bien suprême est autosuffisant
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- Approche par l’office propre de l’homme
L’office propre de l’homme
Le bien humain requiert la vertu et sa mise en œuvre dans une forme de vie
Autres conditions
- Bonheur humain, bonheur divin
- Qui a accès au bonheur ?
4. L’âme
4.1. Les parties de l’âme
4.2. Affections, capacités et états de l’âme
5. La vertu
5.1. Définition générale
5.2. Vertus intellectuelles et vertus morales
5.2.1. Les vertus intellectuelles
La sophia (sagesse)
La phronèsis (sagacité) : 1e approche
Traits communs et différences entre la sophia et la phronèsis, et leur articulation
5.2.2. Les vertus morales
Définitions
Choisir le juste milieu
La raison intervient-elle dans la détermination de la médiété ?
5.2.3. Lien entre vertu morale et phronèsis (sagacité)
Position du lien
a/ Condition du lien
b/ Lien indissoluble
Collaboration de la vertu morale et de la sagacité
Complexité interne de la sagacité
La délibération
La décision
6. L’amitié
6.1. Définition et extension
6.2. Trois formes d’amitié
6.3. L’amitié, l’amour de soi, l’amour d’autrui et le besoin d’amis
6.4. Amitié et politique
7. La justice
7.1. Définition générale et étapes de l’examen
7.2. Thèses d’Aristote
8. Politique
8.1. Son importance
8.2. Statut épistémologique
8.2.1. Politique et sagacité
8.2.2. Politique et philosophie
8.3. L’éthique personnelle du législateur
9. Deux idéaux de vie : contemplation et vie politique
9.1. Position du problème
9.2. Eléments de la réponse d’Aristote
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10. Aristote et nous
10.1. Pourquoi un retour à Aristote ?
10.2. Thèmes aristotéliciens réfractaires à la modernité
10.3. Des manifestations du retour
H.Arendt, Condition de l’homme moderne
Objectif du livre et inspiration aristotélicienne
Les distinctions d’Arendt
P.Ricœur, « La raison pratique »
L’éthique de la vertu
Reprises d’Aristote
Caractéristiques de l’éthique de la vertu
Critiques adressées à l’éthique de la vertu
Transition: Mutations et ruptures par rapport à l’Antiquité et au Moyen Age :
1. Dans l'ordre de la connaissance
1.1. Un signe de ces mutations : l’évolution de la conception de la nature
1.2. Une nouvelle conception de la science et de la vérité
1.3. Conséquences
2. Dans l'ordre social
2.1. Nature et ordre social
2.2. La construction de l’ordre politique, ses deux concepts-clé -l'état de nature et le contrat social-
et leurs enjeux
3. Dans la réflexion morale
Chapitre III : Kant (1724-1804)
1. Introduction
1.1. Indications bibliographiques
1.2. Le contexte
1.3. Le projet kantien
2. Etapes de la réflexion sur la liberté
2.1. Première étape : la liberté comme idée de la raison (Critique de la raison pure, 1781 et
1787)
2.1.1. La structure du sujet connaissant
2.1.2. La dialectique de la raison, l’illusion transcendantale et la 3e antinomie
cosmologique
2.1.3. Conception du sujet
2.2. Deuxième étape : la liberté et la loi morale (Fondation de la métaphysique des mœurs,
1785)
2.2.1. La nécessité d’une métaphysique des mœurs
2.2.2. La volonté bonne
2.2.3. Le devoir et la loi morale
2.2.4. L’impératif hypothétique et l’impératif catégorique
2.2.5. Le principe d’universalisation de la maxime de l’action
La formule de base
1e explicitation et application
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2.2.6. Le principe du respect de l’humanité
La formule
Champ d’application
Deux remarques
2.2.7. Autonomie de la volonté
Explicitation
2.2.8. Le règne des fins
2.2.9. Les postulats de la raison pratique
2.3. Troisième étape : L’application des principes moraux (Doctrine de la vertu, 1797)
2.3.1. L’objet de la Doctrine de la vertu
Les fins a priori de la raison pure pratique
Vertu et devoirs de vertu
2.3.2. Devoirs d’obligation stricte et devoirs d’obligation large
2.3.3. Les fins à poursuivre
2.3.4. Les devoirs envers soi-même et les devoirs envers autrui
2..4. Un problème : la coexistence de deux ontologies (Critique de la faculté de juger, 1790)
2.4.1. Jugement déterminant et jugement réfléchissant
2.4.2. Le jugement de goût
La genèse des concepts empiriques
Le jugement de goût
Commentaires
Conclusions
Une synthèse d’Aristote et de Kant : la « petite éthique » de Ricœur
1. Soi-même comme un autre
1.1. La visée éthique
1.2. La confrontation à la norme morale
1.3. La sagesse pratique
2. « De la morale à l’éthique et aux éthiques »
2.1. Ethique et morale
2.2. La morale
2.3. L’éthique antérieure ou éthique fondamentale
2.4. Les éthiques postérieures comme lieux de la sagesse pratique
3. De Soi-même comme un autre à « De la morale à l’éthique et aux éthiques » : quelle
évolution ?
Chapitre IV : L’utilitarisme
1. Définition.
1.1. Approche générale
1.2. Les fondateurs et l’évolution de l’utilitarisme : quelques remarques
1.3. Réception et critiques
2. Caractéristiques fondamentales de l’utilitarisme
2.1. Un critère du bien et du mal : welfarisme
2.2. Une valeur suprême, augmentation du bien-être et diminution de la souffrance de tous les
êtres capables de ressentir plaisir et peine
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2.3. Un impératif moral
2.4. Une règle d’évaluation de l’action morale par ses conséquences (conséquentialisme)
2.5. Un principe d’agrégation
2.6. Un principe d’impartialité
2.7. Un calcul d’utilité
Conclusions
3. Des questions
3.1. Par rapport à la valeur suprême :
3.1.1. Comment définir le bien recherché ? :
L’approche de Bentham
L’approche de Mill
Les difficultés liées à l’approche par un état mental
Le choix actuel en faveur des préférences observables et les difficultés subsistantes
3.1.2. L’utilitarisme est-il une doctrine descriptive ou impérative ?
L’approche de Bentham
L’approche de Mill
3.1.3. L’impératif moral de l’utilitarisme concerne-t-il l’utilité individuelle ou l’utilité
totale ?
La réponse des utilitaristes
Commentaires
Evolution
Principe d’impartialité et conception de la personne
Principe d’agrégation et conception de la personne
Les droits fondamentaux
Des critiques contemporaines
Le caractère dérivé des droits fondamentaux
3.2. Par rapport au conséquentialisme :
3.2.1. Utilitarisme de l’acte ou utilitarisme de la règle ?
3.2.2. Exclusion des intentions ?
3.3. Par rapport au principe d’impartialité : Champ d’application du principe d’impartialité
4. L’utilitarisme et Kant
Conclusions
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