Union Populaire Républicaine | UPR
L’union du peuple pour rétablir la démocratie, en libérant la France de la prétendue union européenne, de l'OTAN et de l'euro
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et Vladimir Kornilov.
Le zouave français Eugène Libaut parvint à hisser le drapeau français en haut de la forteresse russe le 8 septembre
1855. La tour Malakoff tomba aux mains des Français, dirigés par le général Patrice de Mac Mahon, devenu
célèbre notamment pour cette victoire au cours de laquelle il prononça son fameux « J'y suis ! J'y reste ! »,
entraînant la chute de la ville.
Sa prise par les zouaves de l’armée française allait assurer la chute de Sébastopol, quelques jours plus tard, après
ce qui fut un des sièges les plus mémorables du XIXe siècle, et permettre la victoire alliée (Royaume-Uni, France,
l'Empire ottoman, et le Piémont-Sardaigne).
En France, la victoire fut célébrée avec faste :
mis à part lors de la bataille de Magenta (lors de la Campagne d'Italie), seul l'empereur Napoléon III pouvait
acquérir des titres à la suite d'une victoire, mais cette distinction fut octroyée au maréchal Pélissier.
une commune des Hauts-de-Seine, Malakoff, fut nommée en l'honneur de la victoire.
À la fin du XIXe siècle - dans le sillage de l'Alliance franco-russe, un monument aux morts a été dressé pour
honorer conjointement les soldats français et russes morts, dont les observateurs de l'époque soulignèrent
le comportement chevaleresque.
C'est à ce monument aux morts que les autorités russes invitantes nous ont proposé de déposer
conjointement des couronnes aux couleurs françaises et russes.
Reportage photos
Arrivée à la colline de Malakoff.
De gauche à droite : François Asselineau, Karim Sehrane, Alessya Miloradovitch
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