Les accords de libre-échange n’ont pas répondu
aux besoins des Canadiens
Alors, pourquoi continuer
à les négocier?
Les accords de libre-échange n’ont pas répondu
aux besoins des Canadiens
Alors, pourquoi continuer
à les négocier?
LE PREMIER ACCORD DE LIBRE-ÉCHANGE ENTRE LE CANADA ET LES ÉTATS-UNIS EN
1988 avait promis une prospérité illimitée, une croissance économique et de bons
emplois pour les Canadiennes et Canadiens en échange d'un nouvel ensemble de
règles accordant davantage de pouvoir aux sociétés et aux investisseurs privés.
Près de 30 ans plus tard, ils ont effectivement obtenu ce pouvoir. Dans quelle
mesure? Comprenez bien ceci… les investisseurs étrangers (et seulement eux) ont
le droit de poursuivre les Canadiens au sujet de toute politique en matière
d'environnement, de travail et de santé qui porterait atteinte à leurs profits, par le
biais de tribunaux bidon fonctionnant à l'extérieur de notre système judiciaire.
Aussi terrible cela soit-il, nous n’avons toujours pas vu la prospérité promise, la
croissance économique et les bons emplois. En fait :
Depuis 1988, le taux annuel de croissance du PIB au Canada, de croissance
des investissements et de croissance des emplois a été coupé de moitié en
dépit de la signature de 11 nouveaux accords de libre-échange;
Le Canada importe désormais 120 milliards de dollars de plus que ses
EXPORTATIONS à l’étranger;
Le Canada est le pays le plus souvent poursuivi en vertu des accords de
libre-échange; nous avons déjà dépensé plus de 150 millions de dollars en
pénalités, dont près d’un milliard en dommages potentiels qui nous sont
réclamés; et
Notre performance commerciale globale se porte d’ailleurs mieux avec les
pays où il n’y a pas d'accord de libre-échange en vigueur; allez savoir
pourquoi.
Le commerce a toujours été un moteur économique pour le Canada.
Malheureusement, les règles de libre-échange nuisent davantage qu’elles ne
contribuent à l’économie. Le Canada a clairement été un perdant.
Les partisans du PTP encore plus de prospérité, de croissance et de bons emplois,
en dépit des preuves du contraire. Vous nous excuserez, mais nous n’y croyons pas.
LE PREMIER ACCORD DE LIBRE-ÉCHANGE ENTRE LE CANADA ET LES ÉTATS-UNIS EN
1988 avait promis une prospérité illimitée, une croissance économique et de bons
emplois pour les Canadiennes et Canadiens en échange d'un nouvel ensemble de
règles accordant davantage de pouvoir aux sociétés et aux investisseurs privés.
Près de 30 ans plus tard, ils ont effectivement obtenu ce pouvoir. Dans quelle
mesure? Comprenez bien ceci… les investisseurs étrangers (et seulement eux) ont
le droit de poursuivre les Canadiens au sujet de toute politique en matière
d'environnement, de travail et de santé qui porterait atteinte à leurs profits, par le
biais de tribunaux bidon fonctionnant à l'extérieur de notre système judiciaire.
Aussi terrible cela soit-il, nous n’avons toujours pas vu la prospérité promise, la
croissance économique et les bons emplois. En fait :
Depuis 1988, le taux annuel de croissance du PIB au Canada, de croissance
des investissements et de croissance des emplois a été coupé de moitié en
dépit de la signature de 11 nouveaux accords de libre-échange;
Le Canada importe désormais 120 milliards de dollars de plus que ses
EXPORTATIONS à l’étranger;
Le Canada est le pays le plus souvent poursuivi en vertu des accords de
libre-échange; nous avons déjà dépensé plus de 150 millions de dollars en
pénalités, dont près d’un milliard en dommages potentiels qui nous sont
réclamés; et
Notre performance commerciale globale se porte d’ailleurs mieux avec les
pays où il n’y a pas d'accord de libre-échange en vigueur; allez savoir
pourquoi.
Le commerce a toujours été un moteur économique pour le Canada.
Malheureusement, les règles de libre-échange nuisent davantage qu’elles ne
contribuent à l’économie. Le Canada a clairement été un perdant.
Les partisans du PTP encore plus de prospérité, de croissance et de bons emplois,
en dépit des preuves du contraire. Vous nous excuserez, mais nous n’y croyons pas.